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Llefaou

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Comment les images de corps sexualisés nous font tolérer le harcèlement. Un chercheur belge publie une étude montrant que les images de corps féminins sexualisés ont un effet direct sur notre manière de nous représenter les femmes. Pour notre cerveau, la femme devient une sorte d’objet dont on peut jouir ou que l’on peut posséder. Ces images ont un effet catastrophique, prouvé scientifiquement, sur les relations hommes-femmes et dans la perception que les femmes ont d’elles-mêmes. Newsletter info Recevez chaque matin l’essentiel de l'actualité. OKNe plus afficher × Ces recherches sont une nouvelle pierre dans la mare, s’il en fallait encore dans le contexte #MeToo, pour pousser les publicitaires à revoir leurs codes et leurs pratiques.

Des pubs omniprésentes au point qu’on les croit… normales Une cambrure de rein en page A4 de votre magazine « beauté », une jeune femme allongée de façon suggestive sur un canapé à la station de métro ou encore un joli décolleté pour promouvoir un parfum à la télé. Des corps perçus comme des objets Les ressources scientifiques. La lutte contre le sexisme doit commencer à l’école. Bérengère Stassin, Université de Lorraine La « ligue du LOL » : une expression sordide, censée être drôle et désormais synonyme de l’onde de choc qui a bouleversé les grands médias français en février 2019. Le milieu du journalisme, de la communication et de la publicité découvre un réseau d’individus qui pratique ou a pratiqué le harcèlement sexiste, misogyne et même raciste dans leur environnement professionnel. Le scandale, plus de deux ans après les affaires révélées par #MeToo et le mouvement #BalanceTonPorc, met la lumière sur d’autres cas de violences et de harcèlement en écoles de journalisme.

Il révèle surtout que ce type de comportements, discours et pratiques trouvent leur origine à l’école, dans le supérieur, mais aussi dans le secondaire. Sexisme ordinaire Ces révélations viennent appuyer un autre phénomène : celui d’un sexisme ordinaire, admis, voire encouragé, comme en témoigne la « Tribune des 100 ». Les filles soumises aux stéréotypes de genre Révéler, dénoncer, partager. Analyse des stéréotypes de genre dans la publicité. Etude de cas sur base de la vidéo Pop Modèles. Article rédigé par Justine Deham (Profil Linkedin) dans le cadre du cours Médias, philosophie et citoyenneté (Master en éducation aux médias, Ihecs, 2018-2019). Dans le cadre de cet article, nous avons choisi d’aborder la représentation de la femme dans la publicité au travers de la vidéo Pop Modèles : « Les stéréotypes de genre dans la publicité ».

Sur base d’une analyse de ce dispositif et de ses enjeux, nous proposons ensuite une activité pédagogique (réalisable avec des enfants de 10-12 ans). Pourquoi analyser les stéréotypes de genre dans la publicité ? Même si nous partons d’une vidéo et donc d’un objet médiatique, il s’agit d’un phénomène bien plus large. Ainsi, depuis le milieu du 18e siècle, la presse féminine existe, mais c’est seulement dans les années 1950 que la femme est représentée dans de nombreuses et diverses publicités (Dufossé, Gautier & Rébillon, 2013). Une méthode d’analyse de contenu basée sur la philosophie : l’analyse des présupposés épistémologiques et éthiques.

Sites gouvernementaux

Education nationale. Rapports et chiffres. Centre Hubertine Auclert | Centre francilien pour l'égalité femmes-hommes. Préserver les sources de l’histoire des féminismes - Archives du Féminisme.