background preloader

4.1 Comment appréhender le management opérationnel ?

Facebook Twitter

Commerce : « Les chaînes de valeur mondiales resteront durablement perturbées » Tribune.

Commerce : « Les chaînes de valeur mondiales resteront durablement perturbées »

Aurions-nous prévu que la crise du Covid-19, qui avait déjà mis à mal les chaînes d’approvisionnement mondial des entreprises à l’hiver 2020, continuerait de perturber gravement l’ensemble de l’industrie mondiale ? Les entreprises ont bâti leurs budgets 2021 en tablant sur une crise qui ne devait durer que quelques mois, le temps que tout rentre dans l’ordre et que chacun reprenne sa vie d’avant. Mais les chaînes de valeur continuent à souffrir des effets de la crise sanitaire alors que l’économie connaît un fort rebond, avec une croissance mondiale qui devrait dépasser les 6 % en 2021. Cette situation risque de se prolonger et ce que les entreprises subissent aujourd’hui pourrait bien devenir leur nouvelle normalité.

Cela fait un an que chaque semaine réserve son lot de ruptures. Lire aussi Article réservé à nos abonnés Epices, laine, jouets, smartphones... les pénuries sont parties pour durer. Le constructeur automobile Tesla rejoint le club des entreprises valant plus de 1 000 milliards de dollars. Tesla, leader mondial de la voiture électrique, a cassé la barre des 1 000 milliards de dollars (861 milliards d’euros) de capitalisation boursière, lundi 25 octobre.

Le constructeur automobile Tesla rejoint le club des entreprises valant plus de 1 000 milliards de dollars

La firme développée par Elon Musk rejoint le club des géants américains ayant franchi ce seuil : Apple, Amazon, Microsoft, Alphabet (la maison mère de Google) et Facebook, qui est retombée depuis. Toutes sont des entreprises du numérique, Tesla se développant de plus en plus dans la conduite automatique – le logiciel à cet effet est vendu en option au prix de 10 000 dollars. Ses véhicules électriques ont parfois été qualifiés d’« iPhone sur roues ». « Wild $T1mes ! », a twitté Elon Musk, jeu de mot entre le « trillion de dollars » atteint et « les temps agités ». Lire aussi Article réservé à nos abonnés Elon Musk, portrait d’un électron libre La firme d’Elon Musk vaut plus que toutes les entreprises du secteur.

. « Tesla vaut désormais la capitalisation boursière combinée des dix constructeurs automobiles suivants. Renault lance un plan de restructuration prévoyant 2 000 départs et 2 500 embauches d’ici à 2024. Renault a lancé, jeudi 16 septembre, des négociations avec les syndicats en vue d’un « accord social triennal » 2022-2024 qui impliquerait un grand nombre de départs, mais aussi des embauches, avec la « volonté de positionner la France au cœur des activités industrielles et de recherche et développement [du groupe] », en y installant « des technologies d’avenir », a précisé le constructeur dans un communiqué.

Renault lance un plan de restructuration prévoyant 2 000 départs et 2 500 embauches d’ici à 2024

Le groupe automobile « envisage la production de neuf nouveaux véhicules en France à l’horizon 2025 », « dont une majorité 100 % électrique ». Outre les « 500 créations nettes d’emplois », en embauchant notamment des « compétences-clés », Renault prévoit pour ses salariés « 10 000 formations et reconversions sur l’ensemble des métiers », a-t-il ajouté. Des annonces « dans le bon sens » Article réservé à nos abonnés Lire aussi Luca de Meo veut « soigner le cœur de Renault » L’ingénierie et les fonctions support fortement touchées Cap sur l’électrique Le Monde avec AFP. Amazon contre Alibaba et les 40 dragons. Juin est le mois des courses de bateaux-dragons à Shanghaï comme à Chicago. On y voit des équipes de vingt pagayeurs parfaitement synchronisés filer sur leur pirogue à la proue de démon. Bateau-Dragon est aussi le nom de code du plan d’Amazon pour devenir un acteur global de la logistique. Comprenez un monstre d’efficacité et d’innovation dans le transport international de marchandises qui, un jour, dépassera tous les autres, y compris Alibaba et ses 40 dragons.

« La 5G porte une promesse d’amélioration directe de la productivité du capital » Tribune.

« La 5G porte une promesse d’amélioration directe de la productivité du capital »

Depuis deux siècles, le progrès technologique est la source principale de la croissance économique, c’est-à-dire de la croissance des revenus moyens de la population. On s’attendait donc, en théorie, à observer les mêmes effets avec les technologies de l’information et de la communication, progrès technologique majeur qui a révolutionné nos vies et nos manières de travailler. Et pourtant, la traduction de ces modifications radicales en matière de productivité globale ou de revenu moyen ne se manifeste guère. Robert Solow, prix Nobel d’économie 1987, évoquait déjà, à l’époque, ce paradoxe auquel il a donné son nom, en observant que l’on voyait des ordinateurs partout… sauf dans les statistiques de productivité !

Lire aussi Culture. Beaucoup a été écrit sur la résolution de ce paradoxe. D’autres économistes ont prôné la patience. Énorme dérapage d'Elon Musk lors d'une conférence téléphonique. Les investisseurs institutionnels français financent trop peu la tech - Numerique. Ebly va augmenter sa production de 30 % - Quotidien des Usines.