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Sars-cov-2

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Se protéger contre le sars-cov-2, ep.1 : bientôt la 2e vague ? Les entreprises appelées à constituer des stocks de masques. Se protéger contre le sars-cov-2, ep.2 : comment s'informer ? Le Covid, un phénomène médiatique sans précédent, selon une étude.

Épisode 3 : interpréter les chiffres

Épisode 4 : dangerosité du sars-cov-2. Épisode 5 : les masques. Se protéger. Facteurs de risque. Politiques publiques. Les études de EndCoronavirus.org. La moitié des contaminations se produirait avant l’apparition des premiers symptômes sous forme d’aérosols infectieux. Le coronavirus SARS COV 2, à l’instar de nombreuses maladies infectieuses, sait se propager en toute discrétion en utilisant non seulement des sujets infectés et contaminants, mais sans symptômes apparents, mais aussi en mettant à profit les jours qui précédent l’apparition des premiers symptômes lors d’une infection plus classique.

La moitié des contaminations se produirait avant l’apparition des premiers symptômes sous forme d’aérosols infectieux

Dans une synthèse rapide et non exhaustive de la littérature scientifique publiée le 8 juillet, Santé Publique France a cherché à quantifier ces modes de contaminations silencieux. Avec 25 % des cas asymptomatiques et 50 % des contaminations lors des phases pré-symptomatiques, ils seraient bien plus importants que prévu. Des chiffres inquiétants qui renforcent encore l’hypothèse d’aérosols infectieux et requièrent un changement rapide de doctrine de protection. Un quart des cas sont asymptomatiques Une contagiosité maximale 3 jours avant et 8 jours après les symptômes Des médecins français se mobilisent en faveur d’une obligation du port du masque. Immunité(s) contre le SARS-CoV-2 : votre thriller de l’été ! L'exploration de notre réaction immunitaire face au SARS-CoV-2 possède toutes les caractéristiques d'un bon roman de plage.

Immunité(s) contre le SARS-CoV-2 : votre thriller de l’été !

Existence (ou pas) et persistance (ou pas) d'une immunité humorale (les anticorps), place de l'immunité cellulaire (les lymphocytes CD4 et CD8), immunité croisée avec les coronavirus des rhumes, rôle des interférons de la muqueuse respiratoire dans l'apparition des formes sévères... les rebondissements ne manquent pas ! Pour ne rien arranger, les médias grand public, perdus dans la jungle immunitaire, soufflent le chaud et le froid à grands renforts de titres souvent aussi erronés qu'alarmistes. Il nous a semblé qu'il était temps, avant la pause estivale des VIDAL News, de faire un point sur les dernières découvertes en la matière. Des faux positifs, pas des réinfections. SEOUL — South Korea’s infectious disease experts said Thursday that dead virus fragments were the likely cause of over 260 people here testing positive again for the novel coronavirus days and even weeks after marking full recoveries.

Des faux positifs, pas des réinfections

Oh Myoung-don, who leads the central clinical committee for emerging disease control, said the committee members found little reason to believe that those cases could be COVID-19 reinfections or reactivations, which would have made global efforts to contain the virus much more daunting. “The tests detected the ribonucleic acid of the dead virus,” said Oh, a Seoul National University hospital doctor, at a press conference Thursday held at the National Medical Center. He went on to explain that in PCR tests, or polymerase chain reaction tests, used for COVID-19 diagnosis, genetic materials of the virus amplify during testing, whether it is from a live virus or just from fragments of dead virus cells that can take months to clear from recovered patients.

Les adeptes de films d'horreur feraient mieux face à la pandémie. Une nouvelle étude met en lumière le fait que les individus qui regardent beaucoup de films d’horreur et du genre post-apocalyptique, ainsi que les personnes qui ont une curiosité morbide, semblent être plus résistants psychologiquement et moins affectés négativement vis-à-vis de la pandémie actuelle de COVID-19, qui fait rage dans le monde entier. « Les consommateurs de films d’horreur avaient tendance à montrer moins de détresse psychologique », a expliqué Coltan Scrivner, de l’Université de Chicago.

Les adeptes de films d'horreur feraient mieux face à la pandémie

La recherche a été motivée par une question de Penny Sarchet, rédactrice en chef du magazine New Scientist. Dans une conversation Twitter avec le chercheur spécialisé dans le domaine de l’horreur, Mathias Clasen, de l’Université d’Aarhus, au Danemark, Sarchet s’est demandé : « Les gens qui aiment les films apocalyptiques/d’horreur (que j’ai toujours détesté !) Seraient-ils plus résistants au traumatisme de cette pandémie ? ». Social distancing alters the clinical course of COVID-19 in young adults: A comparative cohort study. Six familles de symptômes. Retracted coronavirus (COVID-19) papers. We’ve been tracking retractions of papers about COVID-19 as part of our database.

Retracted coronavirus (COVID-19) papers

Here’s a running list, which will be updated as needed. (For some context on these figures, see our letter in Accountability in Research.) Retracted Temporarily retracted “Experimental Treatment with Favipiravir for COVID-19: An Open-Label Control Study,” published in Engineering on March 18, 2020 and temporarily retracted, now back online, all without explanation. Expressions of concern. CORONAVIRUS. Informations Covid-19.