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Biais cognitifs

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Ce que nos processus psychologiques nous disent sur la désinformation. L’analyse de nos processus psychologiques pourrait expliquer pourquoi la désinformation a autant de succès.

Ce que nos processus psychologiques nous disent sur la désinformation

Image: AS. Pourquoi partage-t-on des contenus mensongers ? Pourquoi les fausses nouvelles restent convaincantes, même après avoir été debunkées ? Comment explique-t-on au final leur succès, malgré tous les efforts déployés pour les combattre ? Les effets psychologiques provoqués par la désinformation permettent de répondre à ces questions. Selon l’auteur, la psychologie permet d’expliquer pourquoi nous sommes vulnérables à la désinformation, pourquoi la corriger est si difficile et comment la prévenir. Nombre de ces concepts, originairement issus du monde universitaire, font désormais partie du langage courant. Pourquoi nous sommes vulnérables Selon Tommy Shane, notre vulnérabilité face aux fausses informations s’explique à travers plusieurs processus psychologiques, qui peuvent être regroupés en deux catégories principales, caractérisées par la simplicité et la croyance. À vrai dire. Infox : quand le raisonnement s'efface derrière l'émotion.

Pourquoi les faits ne suffisent pas à convaincre les gens qu’ils ont tort. Avez-vous déjà rencontré des gens qui changent d’avis quand vous leur exposez des faits qui sont contraires à leurs convictions ?

Pourquoi les faits ne suffisent pas à convaincre les gens qu’ils ont tort

Moi jamais. Pire, les gens semblent renforcer leurs croyances et les défendre avec acharnement quand il y a des preuves accablantes contre elles. L’explication est liée au fait que notre vision du monde nous semble menacée par des preuves factuelles qui ne vont pas dans son sens. Les créationnistes, par exemple, contestent les preuves de l'évolution comme les fossiles ou la génétique parce qu'ils s'inquiètent que des forces séculières empiètent sur la foi religieuse. Les anti-vaccination se méfient des firmes pharmaceutiques et pensent que l'argent corrompt la médecine. Dans ces exemples, les conceptions du monde profondes de ces partisans sont perçues comme étant menacées par les rationnalistes, ce qui fait de ces derniers « l'ennemi à abattre ». Petit guide exhaustif des biais cognitifs – Buster Benson. J’ai passé de nombreuses années à consulter la liste Wikipedia des biais cognitifs chaque fois que j’ai eu le pressentiment qu’une forme de pensée était un biais cognitif « officiel » mais que je ne m’en rappellais pas en détail.

Cela a toujours été une référence inestimable pour m’aider à identifier les failles cachées de mon propre raisonnement. Rien d’autre de ce sur quoi j’ai pu tomber ne m’a semblé aussi compréhensif et succinct. Cependant, honnêtement, la page Wikipedia est légèrement bordélique. Ne vous Trumpez pas ! Ou comment « l’effet Trump » explique le comportement humain, pas seulement la politique américaine. Nos biais cognitifs expliquent beaucoup de nos erreurs d’appréciations.

Ne vous Trumpez pas ! Ou comment « l’effet Trump » explique le comportement humain, pas seulement la politique américaine

Comment les prendre en compte ? Comment les dépasser ? C’est ce que nous explique l’anthropologue et spécialiste en sciences cognitives et psychiatrie culturelle, Samuel Veissière. Peut-on ne pas devenir le « Trump » des autres ? …Tribune. C'est quoi un biais cognitif ? Comment les biais cognitifs trompent notre cerveau. 25 biais cognitifs qui nuisent à la pensée rationnelle.

Les biais cognitifs sont des formes de pensée qui dévient de la pensée logique ou rationnelle et qui ont tendance à être systématiquement utilisées dans diverses situations.

25 biais cognitifs qui nuisent à la pensée rationnelle

Ils constituent des façons rapides et intuitives de porter des jugements ou de prendre des décisions qui sont moins laborieuses qu'un raisonnement analytique qui tiendrait compte de toutes les informations pertinentes. Ces jugements rapides sont souvent utiles mais sont aussi à la base de jugements erronés typiques. Le concept a été introduit au début des années 1970 par les psychologues Daniel Kahneman (prix Nobel en économie en 2002) et Amos Tversky pour expliquer certaines tendances vers des décisions irrationnelles dans le domaine économique. Depuis, une multitude de biais intervenant dans plusieurs domaines ont été identifiés par la recherche en psychologie cognitive et sociale. Certains biais s'expliquent par les ressources cognitives limitées. Voici une liste de 25 biais cognitifs fréquents : Le. Biais cognitif. Les biais cognitifs peuvent être organisés en quatre catégories : les biais qui découlent de trop d'informations, pas assez de sens, la nécessité d'agir rapidement et les limites de la mémoire.

Biais cognitif

Modèle Algorithmique: John Manoogian III (jm3) Modèle Organisationnel: Buster Benson. L'étude des biais cognitifs fait l'objet de nombreux travaux en psychologie cognitive, en psychologie sociale et plus généralement dans les sciences cognitives. Certains de ces biais peuvent en fait être efficaces dans un milieu naturel tel que ceux qui ont hébergé l'évolution humaine, permettant une évaluation ou une action plus performante ; tandis qu'ils se révèlent inadaptés à un milieu artificiel moderne. Définition[modifier | modifier le code] Selon Jean-François Le Ny, psychologue spécialisé dans la cognition : « Un biais est une distorsion (déviation systématique par rapport à une norme) que subit une information en entrant dans le système cognitif ou en sortant. Biais mnésique[modifier | modifier le code]