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Adapter son management à ses salariés

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"Irrespectueux", "has been"... Au travail, les générations ne sont pas tendres entre elles. Dans un monde idéal, les nouvelles recrues, les trentenaires, les "quadra" et les cadres grisonnants cohabiteraient en harmonie dans les entreprises. Les jeunes pousses apporteraient des idées fraîches ; leurs collègues aguerris transmettraient leurs méthodes de travail et ouvriraient leurs carnets d'adresse. Las, les dirigeants peinent encore à faire travailler ensemble jeunes et moins jeunes, à en croire une étude sur les stéréotypes entre générations publiée ce jeudi 17 décembre. IMS Entreprendre pour la cité, un réseau de 270 entreprises, a sondé 3000 managers sur le regard plus ou moins bienveillant que les salariés portent les uns sur les autres, suivant leur âge.

Les 20-35 ans, "motivés" ou "volatils"? Les 20-35 ans, regroupés non sans controverses sous la bannière "génération Y", se perçoivent en majorité comme "dynamiques, efficaces et motivés". Autre motif de blocage, l'attention qu'ils accordent à la conciliation entre leur travail et leur équilibre personnel. La génération Y en entreprise, pas si rebelle… Et si on laissait les employés choisir leurs managers. L'enthousiaste Henry Stewart (@happyhenry, blog) semble avoir toujours un large sourire accroché au visage. Il est le PDG de Happy, une entreprise de formation en informatique londonienne qui dispense des cours à quelque 20 000 personnes chaque année. Cette PME est souvent citée comme l'une des meilleures entreprises britanniques en ce qui concerne le bien-être au travail (elle a plusieurs fois remporté le concours Best Place to work).

Est-ce que s'appeler Happy suffit à rendre son personnel et ses clients heureux ? Est-ce à dire que pour être heureux au travail la méthode Coué suffirait ? Le bonheur au travail ? Sérieux ! "Si les gens travaillent mieux quand ils se sentent bien, alors quel devrait être l'objectif principal du management ? " Image : Henry Stewart bondissant sur la scène de Lift en demandant son avis au public. "Qu'est-ce qui devrait changer dans les organisations si elles se préoccupaient avant tout du bonheur au travail ? Hubert Guillaud. Le choc des générations. Vous avez envie de savoir comment pensent, agissent et vivent les Baby Boomers, la Génération X et la Génération Y ? Voici quelques éléments de réponses. À l'ère où quatre générations travaillent ensemble, parfois avec une différence d'âge d'un demi-siècle, Hudson s'interroge sur leurs façons de penser, d'être et d'agir.

Une étude internationale menée par le cabinet de conseil en recrutement et en talent management auprès de 28 000 professionnels dans 22 langues différentes (via le BAQ, un questionnaire développé par son propre centre de R&D) met en parallèle les manières d'aborder le monde du travail, d'appréhender l'entreprise et le management des baby-boomers, X, Y et Z. Si l'étude pose certaines évidences, comme le fait que l'ambition s'atténue avec l'âge ou que les hommes sont moins enclins à soutenir les autres, elle révèle aussi des informations plus surprenantes : les baby-boomers seraient plus persuasifs, décideurs et extravertis que les Y.

Quels impacts pour les entreprises ? Les 12 travaux du manager de demain. Génération Z : la définir et la manager. Nés à partir de 1995, les successeurs de la génération Y ne vont pas tarder à débouler dans les bureaux… et à chambouler pas mal d'habitudes. Rythmes plus souples, hiérarchie pyramidale dynamitée, dématérialisation des postes... Les premiers Z nés en 1995 arrivent en stage et changent déjà les règles du jeu dans l'entreprise.

Comment se préparer à les accueillir pour réussir à les intégrer ? "Il vaut mieux leur donner des objectifs et les laisser travailler par eux-mêmes" Règle numéro un : ne cherchez pas à les canaliser. Alexandra Gaudin, DRH de l'agence de communication Australie, qui a signé quatre contrats professionnels de Z, confirme : "Ils sont dans l'attente de nouveaux défis : je leur confie régulièrement des missions ponctuelles en plus de leurs objectifs à tenir sur un an et demi. "Ils sont dans l'attente de nouveaux défis : je leur confie régulièrement des missions ponctuelles en plus de leurs objectifs à tenir sur un an et demi" Mais pourquoi un tel besoin ? Les Z, ces esthètes décomplexés. Comment évolue la génération Z au quotidien et quelles sont ses grandes aspirations ?

Radioscopie du phénomène avec une série d’articles sur la mode, le numérique et les relations au travail. Avec les Z, c’est tout ou rien. D’un côté, ils rejettent les codes prédéfinis pour sortir des cases en affirmant un style basique, neutre et discret. De l’autre, ils vont dans l’excès, l’exubérance et l’autodérision afin de prendre de la distance et sortir de l’atmosphère morose dans laquelle ils sont nés. Le style, expression identitaire par excellence Une culture de l’esthétique Pour tous les ados, la mode -et le style en général- tient une place importante dans leur quotidien. Une multiplicité de looks Fini le total look, place au jeu sur les marques et les époques. Simplicité, neutralité et discrétion Besoin de rien ou presque Ne voulant surtout pas être stigmatisés par des étiquettes, les Z s’émancipent des codes vestimentaires de leurs prédecesseurs. Ni fille, ni garçon De la légèreté avant tout. La G?n?ration Y - Julien Pouget.

Intégrer et manager la génération Y. Il y a quelque mois que je n’ai pas abordé la question de la génération Y sur ce blog. A l’occasion de la sortie du livre de l’auteur du blog lagenerationy.com, Julien Pouget un ancien collègue, c’est l’occasion de revenir sur ce thème. Son livre, Intégrer et manager la génération Y se découpe en 4 grandes parties : les grands principes et chiffres autour du concept de génération YLa question de l’attraction par les entreprises de cette générationCelle de son intégrationEt enfin celle de son management Dans un précédent billet pour un plateau TechToc TV (avec Julien Pouget entre autre), la question de l’attraction et l’intégration a été largement développée.

Je vais donc plutôt m’attacher à la partie qui concerne le management et thème de ce blog oblige, voir comment « un management de la génération Y » peut se confondre sur de nombreux points avec un mode de management collaboratif ou management 2.0. Génération Z, un recrutement VRAIMENT différent. Génération X, génération Y et maintenant génération Z: l’évolution est en marche! Certains ne seront pas d’accord sur ce découpage générationnel mais il reste tout de même intéressant pour comprendre les tendances de fond.

La génération Z, celles et ceux qui sont nés après 1995 et qui ont moins de 20 ans, sont les collaborateurs que demain vous recruterez. Et ils frappent déjà aux portes des entreprises! En France, ils sont 16 millions. Il est donc temps de se projeter dans un futur (très très) proche et d’imaginer la vie d’entreprise avec eux. Il n’est jamais trop tard pour anticiper l’avenir! The Boson Project et BNP Paribas ont réalisé une enquête intitulée « La Grande Invazion » et qui traite de la génération Z et sa vision de l’entreprise. 3123 jeunes femmes et hommes de toute la France âgés de 15 à 20 ans ont participé. La génération Z a une vision internationale La génération Z a un œil sur le monde qui l’entoure et possède une vision à l’internationale Demain, tous entrepreneurs?

Pour recruter la génération Z, les entreprises devront changer d'outils. Ultra connectés et en attente de relations plus humaines, la nouvelle génération pousse les ressources humaines à se réinventer. Les jeunes nés à partir des années 90 commencent à entrer en force sur le marché du travail. Pour trouver un emploi, ils n'ont nullement l'intention de se limiter à l'envoi massif de CV et de lettres de motivation sur des sites Internet sans âme. Pour eux, l'entreprise ne doit pas être en position de force et sélectionner les candidats sur des motifs qu'ils jugent futiles.

Les employeurs ont donc intérêt à revoir entièrement leurs outils de recrutement. "La génération Z recherche un recrutement agile, mobile, digital et humain" François Geuze, maitre de conférences en ressources humaines à l'université de Lille est catégorique : "La génération Z a un nouveau rapport au travail. D'après le spécialiste, cette nouvelle génération changera à court terme le secteur du recrutement. "Chez Carrefour, 60% de nos recrutements a lieu chez les moins de 26 ans"