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Les nécropoles étrusques

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La nécropole de Populonia

La nécropole de Véies. La nécropole de Banditaccia (Cerveteri) La nécropole de Tarquinia (Monterozzi) Site étrusque. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Site étrusque

Croquis d'une tombe à Véies (illustration tiré du livre de George Dennis, chapitre II : Véies - le cimetière) Fresque d'une tombe du site de Monterozzi Vestiges de temple du site de Fiesole Le site étrusque a pratiquement été la seule source d'informations qui a permis de reconstituer la civilisation des Étrusques car peu de textes de leur langue ou des auteurs romains à leur sujet nous sont parvenus d'autant plus que la prégnance de la Rome antique a pratiquement occulté cette pré-histoire romaine. Vestiges[modifier | modifier le code] Les quelques traces de leur architecture ont souvent été intégrées dans les ouvrages plus récents (murailles et portes à Pérouse), et seuls quelques sites, comme celui de Poggio Civitate, laissent des traces de leurs fabriques.

Sites remarquables des nécropoles[modifier | modifier le code] Principaux[modifier | modifier le code] Secondaires[modifier | modifier le code] Tombes isolées[modifier | modifier le code] Imagerie et mythes grecs dans l'art funéraire de l'Etrurie méridionale, IV-IIIème siècles. Tombe étrusque. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Tombe étrusque

Urne biconique dans son puits de pierre (reconstitution au musée Guarnacci de Volterra). Tombe à édicule ; La Tomba Ildebranda de Sovana Tranchée d'accès à la tombe creusée dans la roche (Populonia). La tombe étrusque obéit aux nombreux rites funéraires en vigueur suivant les périodes de sa civilisation : de l'urne cinéraire simple enfouie dans le sol puis dans un puits, à la banquette de pierre recevant le corps du défunt habillé des attributs de sa fonction, puis aux sarcophages, à bas-reliefs ou figurés, des tombes collectives rassemblant les membres d'une même famille (noble), décorées de fresques, rassemblant un mobilier funéraire riche. Plusieurs types s'en dégagent dont la dénomination est descriptive. Typologie des tombes[modifier | modifier le code] Individuelle : Ce sont pour la plupart des tombes à fosse, creusées dans le sol puis fermées (et signalées) par un tas de pierre : Collective : À la veille de la décadence étrusque[1] :

Rite funéraire étrusque. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Rite funéraire étrusque

Gravure d'un exemplaire d'urne-cabane Urne biconique dans son puits de pierre (reconstitution au musée Guarnacci de Volterra) Sarcophage architectonique à bas-relief figuré Le rite funéraire étrusque évolue avec le développement de la culture étrusque de la fin de l'âge du fer à l'époque romaine, soit pendant plusieurs siècles avant notre ère, partant de l'incinération, passant ensuite à l'inhumation, et retournant à la crémation. Les rites probables[modifier | modifier le code] Comme pour d'autres rites funéraires les offrandes (nourriture et boisson), les objets familiers du défunt accompagnent le mort dès les plus anciennes sépultures : des petits objets métalliques (les seuls retrouvés) ont été retrouvés dans les urnes-cabanes ; le casque du combattant, le collier de la femme, posés sur les urnes biconiques ou les têtes de canope de Chiusi (boucle d'oreille féminisant la tête stylisée asexuée)

. — Pline l'Ancien, H.N. Classification[2] : Catégorie:Nécropole étrusque.