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La civilisation Etrusque : origines et histoire

La civilisation Etrusque : origines et histoire
Peuple habitant l'Italie dans l'Antiquité et qui prospéra au VIIe siècle, les Étrusques restent un mystère sur bien des points. D'où viennent-ils ? Comment vivaient-ils ? Pourquoi ont-ils disparus ? Cohabitant avec leurs voisins Celtes, Romains et Grecs, ils laisseront une trace importante dans la culture romaine qui leur survivra. Origines et implantation de la civilisation Etrusque L'origine des Etrusques est aujourd'hui encore assez floue. Les Etrusques vont d'abord fonder Tarquinie, une cité proche la mer Thyrénienne, puis se développer sur la zone côtière et l'intérieur des terres. Organisation politique et religieuse Les Etrusques forment des cités-états, parfois regroupées par 12 (dodécapoles), unies par des liens religieux, mais non politiques. Jusqu'au Ve siècle avant J. Non loin des villes se trouvaient les grandes nécropoles. Sciences Les Etrusques avaient une bonne connaissance de l'anatomie humaine. La langue et les arts L'armée La fin d'une civilisation Bibliographie Related:  ETRUSQUES

The Mysterious Etruscans - Pre-Roman Civilisation in Italy La grotte Chauvet-Pont-d'Arc Aller au contenu Page d'accueil Menu du site Glossaire En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation des cookies. En savoir plus Fermer ce volet Musée d'Archéologie nationale Accéder au contenu Visite virtuelle Découvrez la grotte originale, salle par salle Vidéo 18 décembre 1994 : récit de la découverte Au plus près de l'art pariétal Explorez les images très haute définition des œuvres de la grotte La vallée de l'Ardèche L'environnement à l'époque paléolithique Les Hommes de Chauvet-Pont d'Arc Culture et société des Aurignaciens et des Gravettiens La recherche Le programme, les enjeux, l'équipe La découverte et la conservation Préserver et transmettre un patrimoine inaccessible Chronique de la grotte Ressources vidéos sur l'histoire de la grotte et les recherches Visitez la réplique de la grotte Informations pratiques pour visiterla réplique de la grotte Un projet de haute technologie Un incroyable défi technologique, artistique et scientifique La technique est extraordinaire

D.H. Lawrence, Croquis étrusques Dès le printemps 1926, lors d'un séjour en Ligurie, D.H. Lawrence envisage de se rendre sur les hauts lieux de l'histoire étrusque avec l'intention d'écrire sur ce sujet, qui le passionne de longue date. La fascination de D.H. Lawrence pour l'Étrurie et pour la civilisation étrusque est déjà présente dans des textes antérieurs à cette époque. Ainsi du poème « Cyprès », rédigé en septembre 1920, ou d'une lettre adressée à la mère de Frieda Weekley, le 10 septembre 1921. « Voilà la Toscane, et nulle part ailleurs les cyprès ne sont aussi beaux, aussi fiers, pareils à des flammes noires venues des temps primitifs, avant l'arrivée des Romains, lorsque les Étrusques étaient encore là, élancés, beaux et sereins, d'une élégance nue, les cheveux noirs et les pieds étroits ». Désireux de pénétrer le secret, désormais « perdu », de ses « précieux » Étrusques, D.H. Cependant, dès la fin du mois d'avril 1927, D.H. « [...] La visite de Cerveteri est pour D.H. Angèle PaoliD.R.

Le secret professionnel du sourire des Étrusques - Arts & Spectacles Tête votive de jeune homme - Musée national des Etrusques de la Villa Giulia © Mauro Benedetti "Un sourire flotte sur la France. C’est un sourire venu du Sud, il illumine le Nord ; la ville de Paris et la ville de Lens en particulier. Quand je vais dans une des capitales du Sud, Rome, l’une de mes visites presque systématiques est pour le musée de la Villa Giulia. Le musée de la Villa Giulia se trouve dans une belle maison dessinée par Vasari et Vignola pour un pape Jules, d’où son nom, et c’est le Musée national étrusque. Charles Dantzig Canope sur son trône- Soprintendenza per I Beni Archeologi della Toscana © Antonio Quattrone Statuette de chef - Musée national des Etrusques de la Villa Giulia © Mauro Benedetti Bibliographie : Catalogue exposition Louvre Lens Etrusques, un hymne à la vie, Gallimard-musée Maillol DH Lawrence, Promenades étrusques, Gallimard Françoise Gaultier & al., L’Art étrusque, cet chefs-d’œuvre du musée du Louvre, Somogy

Les Etrusques et la Méditerranée Cerveteri était considérée dans l'Antiquité comme "la plus prospère et la plus peuplée des cités d'Étrurie", ainsi que l'écrit l'historien grec Denys d'Halicarnasse. Cette cité, que les Étrusques appelaient Kaisra, les Romains Caere et les Grecs Agylla, est en effet emblématique de la grandeur de la civilisation étrusque : elle a occupé une place centrale en Italie et en Méditerranée tout au long du 1er millénaire avant J.-C. L'histoire de Cerveteri et de ses habitants, les Cérétains, n'est pas connue seulement par les textes antiques : elle émerge peu à peu du sol depuis deux siècles. Après le Louvre-Lens, l'exposition sera présentée à Rome, au Palazzo delle Esposizioni, du 14 avril au 20 juillet 2014. Commissariat de l'exposition : Françoise Gaultier, Laurent Haumesser, Musée du Louvre ; Paola Santoro, Vincenzo Bellelli, CNR-ISMA ; Alfonsina Russo, Rita Cosentino, Soprintendenza per i Beni Archeologici dell'Etruria Meridionale - Scénographie : BGC Studio - Graphisme : Margaret Gray

Sarcophage des époux de Cerveteri Ce monument exceptionnel, sarcophage ou urne cinéraire, provient de Caere, une cité célèbre à l'époque archaïque pour sa sculpture en argile. Il figure les défunts tendrement enlacés, à demi étendus sur un lit dans l'attitude de banqueteurs, selon une mode née en Asie Mineure. Ceux-ci font le geste de l'offrande du parfum, un rituel qui caractérise, avec le partage du vin, la cérémonie funéraire. Un exemple de la sculpture en terre cuite de Caere Le Sarcophage des époux a été trouvé en 1845 par le marquis Campana dans la nécropole de la Banditaccia à Cerveteri, l'antique Caere. Banquet et rituel funéraires Cette urne se présente sous la forme d'un lit sur lequel reposent les défunts dans l'attitude des banqueteurs. L'influence de la Grèce de l'Est Le style du monument témoigne de l'influence qu'exercent les artistes de la Grèce de l'Est sur l'art étrusque, en particulier les Ioniens qui émigrent en grand nombre dans la seconde moitié du VIe siècle av. Bibliographie

The Clay Models Used to Analyze Entrails in the Ancient World - Atlas Obscura The ancient world offered up tons of unusual ways of telling the future and divining the will of the gods. These methods ranged from cleromancy (interpreting lots that were cast) to the Homeric practice of ornithomancy (interpreting the flight of birds). In second-millennium B.C. Mesopotamia, professional oracle-priests—a.k.a. barutu—would ritually sacrifice an animal—think oxen, goats, sheep, cattle—and read the entrails (a process called extispicy). Very often, the priests chose to inspect and evaluate a sacrificed animal’s liver, which was deemed the location of the soul and number-one site for all internal activity. Each liver model was uniquely shaped, with divinatory interpretations inscribed for future generations. Both the divine inscription on the organs and the barutu writing them down represented a very early tradition of literacy. Barutu also held important roles at court; one named Asqudum was chief baru/royal counselor to Zimri-Lim and his predecessors.

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