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La dépendance numérique

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Collaboration autour de la dépendance aux écrans. Sitographie. Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ? 1. Les addictions numériques : Internet et les jeux vidéo La formule de M. Guy Almes selon laquelle il y a trois formes de mort : « la mort cardiaque, la mort cérébrale et la déconnexion du réseau »52(*) est particulièrement vérifiée chez les adolescents. Pour un certain nombre d'entre eux, la navigation sur Internet ou les jeux (notamment en ligne) sont devenus une drogue dont ils ne peuvent plus se passer. Une enquête sur les loisirs devant écran (Internet, jeux vidéo et télévision) a été menée auprès de 444 élèves de 3e scolarisés dans l'ensemble des collèges publics et privés d'une grande ville du Nord de la France53(*). En bref, s'il existe bien une cyberaddiction, plus puissante que la dépendance à la télévision, qui commence à prendre des proportions inquiétantes, la solution est connue : il s'agit du contrôle des parents, qui disposent des moyens pour couper la connexion ou pour maîtriser les horaires de navigation.

Selon M. . * 52 « There is three kinds of death in this world. Numérique et comportement : Entretien avec Michel Lejoyeux. Professeur de psychiatrie, de psychologie mais également spécialiste en addiction, Michel Lejoyeux nous parle de cet attrait parfois extrême que nous avons pour les nouvelles technologies. Appelée par certains addiction au numérique ou pathologie mentale, qu’en est-il réellement et comment s’en prémunir ? Spécialiste des comportements, Michel Lejoyeux est l’auteur de plusieurs ouvrages de développement personnel.

ARTE : On parle aujourd’hui de l’attrait poussé pour le numérique comme d’une addiction voire d’une pathologie dans certains cas. Quel est votre positionnement ? Je pense qu’il ne s’agit pas d’une addiction au sens où on l’entend quand on parle d’alcool ou de drogues. Dans ces cas-là, il s’agit de véritables addictions. Le terme attire l’œil et interpelle mais il convient de nuancer. Quels sont les effets observables au niveau cognitif de l’addiction au numérique ? Est-il possible que cette addiction puisse modifier ou perturber l’identité sexuelle ? Dépendance à Internet. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépendance à Internet (également nommée cyberdépendance cyberaddiction usage problématique d'Internet (UPI) ou trouble de dépendance à Internet (TDI)) désigne un trouble psychologique entraînant un besoin excessif et obsessionnel d'utiliser un ordinateur et interférant sur la vie quotidienne.

Des activités en ligne, telles que l'achat en ligne, si faite en personne, peuvent être considérées comme problématiques si celles-ci sont compulsives. Signes et symptômes[modifier | modifier le code] D'après le spécialiste français Romain Cally « sur le web, la compulsion apparaît lorsque l'internaute ne juge plus son comportement normal, mais ne peut pour autant éviter de se connecter. Symptômes psychologiques allégués[9] : Symptômes physiques allégués[10] : yeux secs ;maux de tête migraineux ;maux de dos ;syndrome du tunnel carpien ;repas irréguliers ou sautés ;mauvaise hygiène personnelle ;insomnies ou changements dans le cycle du sommeil. D. Psychologie : Dépendance au smartphone. Des utilisateurs de smartphone. La dépendance ou l'addiction au smartphone est un phénomène qui apparaît depuis la large diffusion des smartphones.

Il relève, du moins en partie, de la cyberaddiction (dépendance à Internet) qui peut se développer, notamment dans le cadre du nomadisme numérique, ou révèle souvent d'autres addictions[1]. Il peut ajouter à la dépendance au téléphone et à l'information disponible sur l'Internet une autre dépendance, à certains des réseaux sociaux qui se sont développés grâce à l'internet. Cette nouvelle addiction semble tendre, pour partie au moins, à se substituer à l'addiction à la télévision. Histoire[modifier | modifier le code] Pour la plupart des gens sondés le téléphone puis le smartphone sont d'abord un outil qui facilite la vie[8]. Il a pu [Quand ?] Les études scientifiques peu à peu produites sur le phénomène montrent aussi des tendances très différentes selon les générations et selon les pays et les cultures. Symptômes[modifier | modifier le code] Stress numérique. Le stress numérique est la conséquence de l’amplification des mécanismes de stress chez les personnes par un environnement où les technologies numériques sont omniprésentes.

Par exemple, en France, le nombre de cartes SIM actives, soit 80 millions[1], dépasse le nombre de Français, soit 66 millions. De plus, au moins trois réseaux sont simultanément disponibles pour plus de 99 % de la population. Cette expression identifie des conséquences du nouveau paradigme psychosocial amené par les technologies numériques, auquel est associé le caractère addictif du numérique[2]. En France, le stress numérique concerne près d'un salarié sur trois[3].

Du stress au syndrome d'épuisement professionnel[4] et d'usages libres aux dépendances numériques, les enjeux sont multiples. Numérique : nouveau paradigme et nouvelles dimensions, nouveaux risques[modifier | modifier le code] Un nouveau paradigme et de nouvelles dimensions[modifier | modifier le code] Stress et numérique[modifier | modifier le code]

L'addiction aux smartphones, un problème de santé publique à Taiwan - Asie-Pacifique. Regarder son téléphone portable dans la rue est devenu une habitude. Traverser la rue en vérifiant ses courriels est aussi devenu courant. A Taiwan, ce pourrait être bientôt interdit et passible d'une amende de 7 euros environ. Dix-sept élus taiwanais ont déposé une proposition de loi afin de réduire le nombre d'accidents de la route liés aux smartphones. La proposition de loi taiwanaise vise tous les piétons qui traversent la rue en regardant un écran. Des accidents de plus en plus nombreux Les smartphones et tablettes sont à l’origine de plus en plus d’accidents à Taiwan. Une addiction qui touche les plus jeunes Et cette tendance en cache une autre, l’addiction aux smartphones. Le smartphone, le « doudou » des ados Que font ces jeunes adolescents avec leur téléphone dernier cri ?

Pour en savoir plus : → sur la proposition de loi → sur une jeune femme renversée par un taxi → sur l'addiction aux smartphones en chiffres → sur la santé des jeunes. Sources informelles. Il n’y a pas d’addiction aux objets numeriques. C’est aussi simple que cela. J’ai participé à l’émission Le téléphone sonne : “Smartphones et réseaux sociaux: les nouvelles addictions” et j’ai été assez surpris de constater qu’il y avait encore un discours culpabilisant et pathologisant sur les objets numériques. J’ai pu entendre du docteur Willam Olivenstein Lowenstein que l’effet de ces objets était comme la cocaïne. Que les mondes numériques étaient des mondes de la stimulation perpétuelle et de la vitesse. Que 5% des jeunes joueurs de jeux vidéo développaient une addiction. Si j’étais américain, je dirais que c’est de la “bullshit psychiatry”.

En français, on pourrait dire “psychiatrie de bazar” Il n’y a pas d’addiction aux objets numériques. La première clinique pour “dépendance aux jeux video” a été ouverte en Hollande en 2006 par le Smith and Jones Centre, un centre de traitement pour les toxicomanes. Il n’y a pas d’addiction aux objets numériques. Il n’y a pas d’addiction aux objets numériques, c’est aussi simple que cela. WordPress: J'aime chargement… MOOC @ddict? (@Numaddict) | Twitter. Accro au numérique ? Les nouvelles addictions... - La gazette de Danièle : "Des idées et des Arts...". Nous en avons tous un usage régulier, à partir de quel moment pouvons-être considérés comme addicts aux nouvelles technologies ? Comment cette addiction se traduit-elle au quotidien ? Michael Stora : Cela ne se traduit pas tant en terme d’heures passées sur les nouvelles technologies qu’en termes de rupture des liens sociaux réels.

L’addiction se manifeste par un décrochage de la vie sociale : refus de participer à des repas de famille, moins de sorties en couple, abandon de ses responsabilités de parent... Pour les enfants cela commence par l’absence de présence au repas du soir et cela peut aller jusqu’à la déscolarisation. Les nouvelles technologies mettent la vie sociale au second plan petit à petit. Il faut faire le distinguo entre les moments excessifs et l’addiction. Dan Véléa : La « e-dépendance » et le concept de cyberdépendance sont apparus vers le milieu des années 1990. Les premiers écrits sont nord-américains, Ivan Goldberg, suivi en 1996 par mes écrits français. Michael Stora : Deloitte : les comportements numériques des français. Images Site Web pour cette image Les usages mobiles chez les "mobile addicts".

Infographie de SIMM-TGI de lemonde.fr Recherche par imageImages similaires Les images peuvent être soumises à des droits d'auteur. §. Est-ce que l’utilisation de Facebook affecte le cerveau et la façon de penser ? Une nouvelle infographie proposée par Best Masters In Psychology : Facebook psychology : Is addiction affecting our minds a capitalisé des données chiffrées de différentes études sur la captation de l’attention, la concentration ou les modifications du cerveau produites par une utilisation intensive (temps passé) de Facebook et plus largement de l’Internet. Trouble d’utilisation d’Internet (UID) officiellement reconnu par les psychiatres américains Si l’on souligne habituellement les bénéfices du numérique pour les individus et les organisations, l’infographie indique que l’addiction à l’Internet est reconnue comme telle officiellement par l’Association Américaine de Psychiatrie (American Psychiatric Association, APA) avec le trouble d’utilisation d’Internet, Internet Use Disorder (IUD) défini ainsi par l’association en partant de 9 dispositions de l’Internaute « affecté » : A.

B. C. D. E. F. G. H. I. Flux RSS. Cyberdependant.over-blog.com - La Cyberdépendance en image - Psychoweb. Une série au ton résolument humoristique pour évoquer cette dépendance récente. L'une des premières parutions officielles date de 1996. La psychologue américaine, Kimberly Young, présentait à un colloque de l'APA (American Psychological Association) un article intitulé: Internet Addiction : The emergence of a New Clinical Disorder. Contrairement aux idées reçues, les Ados ne sont pas les plus touchés, la tranche d'âge la plus "cyberdépendante" se situant entre 20 et 30 ans. L'internet tue! Comme pour toute dépendance, le cyberdépendant sous-estime souvent son addiction. La cyberdépendance existe bel et bien au travail! La cyberdépendance est souvent considérée comme une pathologie à part entière, de la classe des addictions, au même titre que l'alcoolisme ou la dépendance au jeux de hasard (casino).

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