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Safer Internet Day: Many kids say it's 'important' to look good in selfies - CBBC Newsround. You've been telling us exactly what you think about social media. In particular, we wanted to find out what you really feel about selfies. So, for Safer Internet Day 2017, we spoke to a big group of 10 to 12-year-olds to see what they thought. Image copyright Getty Images How many post like to post them? How many do they take before they get the perfect snap? Do they edit their pictures before putting them online? See if you can guess what they said about social media with our quiz, and then read on to find out more about what they said.

How does social media make you feel? While many websites say you shouldn't have a social media account until you are 13, we found out last year that many 10 to 12-year-olds have at least one account. This year, the first thing they told us was that they enjoy to use it. More than 4 in 5 said they feel happy, sociable or excited when on social media.

Many also told us they'd feel left out if they didn't have it. Do you like to post selfies? Une avocate a réécrit les conditions d'utilisation d'Instagram comme si elles étaient expliquées à un enfant de 8 ans - Business Insider France. Aucun mineur qui utilise Instagram n'a lu en entier les conditions d'utilisation du réseau social. C'est ce qu'affirme un rapport des services du délégué britannique aux droits des enfants, intitulé "grandir à l'ère du numérique", publié le 5 janvier 2017 et repéré par le site d'information Quartz. Pour montrer l'opacité des conditions d'utilisation des réseaux sociaux, le rapport a demandé à une avocate du cabinet privé Shillings de "traduire" ces règles dans un langage "simplifié".

Selon une étude Ofcom, 43% des enfants britanniques entre huit et onze ans ont un compte sur Instagram (56% pour les 12-15 ans). 1. Tu as le droit de te sentir en sécurité quand tu utilises Instagram. 2. Officiellement, tu es propriétaire des photos et vidéos que tu postes, mais nous avons le droit de les utiliser, et de laisser d'autres personnes les utiliser, partout dans le monde. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. . - On peut t'envoyer des pubs ciblées en fonction de tes intérêts, que l'on surveille. 11. 12. 13.

Newsletter Superception #85. 21 janvier 2017 | Articles, Articles 2017, Newsletter, Newsletter 2017 | Par Christophe Lachnitt Bonjour, Un petit teasing pour débuter cette édition : j’ai enregistré cette semaine le premier épisode du Podcast Superception dont je vous avais annoncé la création avant Noël. Avec ce podcast, je complète mon offre de contenus sur les enjeux de perception. Il sera accessible en ligne dès qu’il aura été validé par iTunes. Si vous appréciez cette newsletter, n’hésitez pas à la recommander à vos amis et à l’évoquer sur les réseaux sociaux. Plus on est de fous, mieux on lit (car plus on peut échanger). Si vous avez des remarques et/ou suggestions, je suis à votre écoute à l’adresse email indiquée ci-dessous. Un grand merci pour votre fidélité, bienvenue aux nouveaux abonnés, bonne lecture et bonne semaine à toutes et tous.

Christophe Lachnitt (contact@superception.fr) Sommaire Best Of Superception Best Of Internet Si vous n’en lisez qu’un Best Of Twitter Ab hoc et ab hac. How Snapchat Kept Fake News Out - BuzzFeed News. Comment j'ai découvert ma double vie grâce à Google et Facebook. Facebook et Google nous pistent, nous le savons. Mais ils peuvent aussi largement extrapoler sur la vérité, et même inventer. Le biopic consacré à Edward Snowden est sorti cette semaine et c'était l'occasion de se replonger dans tous les bons conseils qu'il a l'habitude de donner.

Edward Snowden nous conseillait en avril 2015 sur la façon de bien choisir ses mots de passe. Le premier conseil c'est d'en changer souvent, et le second c'est de faire des phrases ou des groupes de mots comme "margaretthatcheresttressexy2017". Aujourd'hui depuis son compte twitter, @snowden, il commente régulièrement l'actualité ou retweete les enquêtes sur les méthodes d'espionnages des citoyens ou des journalistes. Cette semaine il a réagi à cette remarque "Les gens n'ont pas accès à vos pensées et vos sentiments", twittée par New York Times et retweetté par Snowden, avec cette réponse : La plupart des gens non (sous entendu la NSA ou d'autres y ont accès). Des préférences Facebook qui n'en sont pas.

« Facebook n’assume pas son statut d’éditeur culturel » LE MONDE | • Mis à jour le | Par Karine Berger (Députée socialiste des Hautes-Alpes et membre de la commission des finances à l'Assemblée nationale) et Manuel Alduy (Ancien directe... Par Manuel Alduy (ancien directeur du cinéma de Canal+ et senior vice-président Sales and Development, 20th Century Fox Television Distribution France) et Karine Berger (députée socialiste des Hautes-Alpes et membre de la commission des finances à l’Assemblée nationale) L'actualité sur les réseaux sociaux : pas la priorité des internautes.

C’est ce que montre une étude réalisée par Spot.IM. Ses principales conclusions se présentent comme suit : 33% des internautes interrogés préféreraient voir moins d’articles d’actualité figurer dans les flux d’informations qui leur sont présentés sur les réseaux sociaux ;66% des personnes âgées de 18 et 19 ans choisissent les réseaux sociaux pour mettre en ligne des commentaires relatifs à des articles d’actualité alors que 60% de celles de plus de 60 ans privilégient les sites des médias pour ce faire. Le point d’inflexion à cet égard se situe entre 43 et 45 ans ;48% des participants à ce sondage affirment commenter des messages humoristiques, 36% des informations politiques, 36% des messages sur la cuisine et 30% des informations sur l’actualité mondiale.

(CC) Kevin Dooley En effet, comme je le soulignais il y a trois mois, les réseaux sociaux, en simplifiant à l’extrême le débat citoyen et dévoyant la formation des perceptions, délitent la démocratie. Harcèlement sur les réseaux sociaux : un algorithme pour protéger les enfants. Here's Why Facebook Removing That Vietnam War Photo Is So Important. Facebook is more than just a site where people share photos of their children or pets.

It has become a crucial way in which hundreds of millions of people get information about the world around them. And the tension between those two things is becoming difficult to ignore. In the latest controversy involving the giant social network’s news judgement, Facebook fb removed an iconic photo from the Vietnam War: A picture of a young Kim Phuc running naked down a road after her village was hit by napalm. When a Norwegian newspaper editor—who posted the photo as part of a series on war photography—tried to re-post it, along with a response from Phuc herself, his account was suspended. The editor-in-chief of Aftenposten‎, Espen Egil Hansen, then wrote an open letter to Facebook CEO Mark Zuckerberg criticizing him for doing so, entitled, “Dear Mark.

I am writing this to inform you that I shall not comply with your requirement to remove this picture.” Get Data Sheet, Fortune’s technology newsletter. The need for algorithmic accountability | TechCrunch. There is a new generation of companies exerting such great influence on society that they’re essentially becoming utilities. Google, Amazon, Facebook and Uber are near monopolies that provide services as integral to our modern life as power, telephone and transportation systems were a century ago. But there is a key difference between last century’s utilities and today’s: Instead of simply delivering a service, today’s utilities use algorithms to shape our entire life experience.

From the news we see and the routes we drive, to the price we pay for goods and services, algorithms influence them all. With algorithms in play, companies can optimize for every variable. From the outside, there’s no understanding of how decisions are made inside those software-driven black boxes, and no way to know if the companies are overtly or inadvertently behaving badly. This has to change, and these companies themselves must take the lead in creating algorithmic accountability in their services. Enfants sur les réseaux sociaux : faut-il interdire ou accompagner ?

La rentrée scolaire est passée, les enfants ont repris le chemin de l’école… mais nombre d’entre eux vont également cette année franchir un cap, virtuel : se connecter au vaste monde des réseaux sociaux. "Ils sont trop jeunes, ce n’est pas pour demain…" ? Détrompez-vous : si l’inscription sur un média social est officiellement interdite aux moins de 13 ans (conformément à la réglementation américaine de protection des mineurs, la COPPA) en France comme ailleurs, de nombreux enfants "trichent" dès 9 ou 10 ans et se connectent quand même à Facebook, Twitter ou Instagram, pour imiter leurs aînés.

Selon une étude Ipsos-Médiamétrie de 2015, 88% des 15–24 ans sont inscrits sur au moins un réseau social, mais, plus étonnant, comme l’illustre l’opérateur Orange : 57% des 11–12 ans et 26% des 9–10 ans le sont aussi. Faut-il voir dans cette exposition précoce un danger à interdire à tout prix, ou faut-il "faire avec" et accompagner plutôt que de punir ? Divina Frau-Meigs. Laurence Bee. 12 réseaux sociaux en fiches pratiques pour une utilisation pédagogique. Dans le cadre de l’enseignement des MITIC (Médias, Images et Technologies de l’Information et de la Communication) à l’école, le centre Fri-Tic (centre de compétences responsable de tous les aspects en lien avec les MITIC) dans le domaine de l’enseignement du canton de Fribourg (Suisse) met à jour régulièrement des fiches signalétiques sur les principaux réseaux sociaux grand public et leur possible utilisation dans un cadre pédagogique.

Ces fiches réseaux sociaux (liste complète ci-dessous) diffusées sous licence Creative Commons décrivent avec précision les infos nécessaires et principales fonctions, pratiques numériques avec ces plateformes tout en portant un regard critique et des possibilités pédagogiques avec ces services. Les fiches utilisent une grille commune d’analyse (voir en fin d’article). 12 services de réseaux sociaux analysés Fiche d’analyse Facebook (pdf) Fiche d’analyse Twitter (pdf) Fiche d’analyse Spotify (pdf) Fiche d’analyse Snapchat (pdf) Fiche d’analyse Skype (pdf) Bilan.

How Trolls Are Ruining the Internet. This story is not a good idea. Not for society and certainly not for me. Because what trolls feed on is attention. And this little bit--these several thousand words--is like leaving bears a pan of baklava. It would be smarter to be cautious, because the Internet's personality has changed. Once it was a geek with lofty ideals about the free flow of information.

Now, if you need help improving your upload speeds the web is eager to help with technical details, but if you tell it you're struggling with depression it will try to goad you into killing yourself. Psychologists call this the online disinhibition effect, in which factors like anonymity, invisibility, a lack of authority and not communicating in real time strip away the mores society spent millennia building. Related The people who relish this online freedom are called trolls, a term that originally came from a fishing method online thieves use to find victims.

They've been steadily upping their game. From: Joel Stein Joel Maybe. Information numérique : l'ivresse d'ivraie. Facebook est au coeur d’une nouvelle affaire avec sa rubrique “Trending Topics“. Au mois de mai dernier, le groupe de Mark Zuckerberg avait été accusé par des conservateurs, outre-Atlantique, de censurer les contenus d’obédience républicaine sur cette rubrique.

Celle-ci ne s’adresse qu’aux abonnés américains de Facebook auxquels elle montre les sujets d’actualité les plus populaires sur le réseau. J’avais alors expliqué dans un édito de la Newsletter Superception pourquoi cette polémique me semblait très exagérée. “Trending Topics” se retrouve de nouveau au centre de l’actualité ces jours-ci. La semaine dernière, Facebook a annoncé qu’il transférait la conception de cette rubrique d’une équipe éditoriale composée de 26 personnes à un algorithme d’intelligence artificielle. Cette fausse nouvelle affirmait que Megyn Kelly avait été licenciée par la grande chaîne conservatrice en raison de son soutien à la candidature d’Hillary Clinton (voir la capture d’écran reproduite ci-dessous). Quand les trolls font la loi sur les médias sociaux. Ecoeurés par des flots d'insultes ou de menaces sur les réseaux sociaux, de plus en plus de stars et de journalistes ferment leurs comptes Twitter ou Instagram, accusés de devenir, par leur passivité, des "facilitateurs de haine".

Dernier en date, Justin Bieber, star mondiale aux 78 millions de fans sur Instagram, a quitté le réseau après des insultes contre sa nouvelle petite amie. Plus grave, les "trolls", surnom de ces insulteurs protégés par l'anonymat, déversent publiquement et sans tabou des torrents d'injures racistes, sexistes ou homophobes, allant jusqu'aux menaces de viol ou de mort. Ce phénomène, qui peut toucher tout un chacun, est mis en évidence lorsqu'une star claque bruyamment la porte. Choquée par des propos racistes et misogynes, Leslie Jones, seule vedette noire du dernier "Ghosbusters", a fermé son compte Twitter en juillet.