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De la participation à la mobilisation collective, la bibliothèque à la recherche de sa vocation démocratique. Abstract : The development of participatory practices in public institutions reflects both a tendency of citizens of 21st century democracies to nd the system of representative democracy unsatisfactory, and a tendency of elected representatives to seek legitimacy through hyper local politics.

De la participation à la mobilisation collective, la bibliothèque à la recherche de sa vocation démocratique

Institutionalizing participation limits it to the development of tools and procedures, or to pre-defined spaces or on pre-ordained projects. Institutionalized participation is therefore subject to two risks: being useless for participants or turning participants into puppets of the institution. How can an institution negate these risks and be a place in which or through which citizens can gain the power to act, in the democracy and on their democracy? This dissertation examines participatory practices in municipal libraries. (1) Tout le monde les boude : quels sont les livres les moins empruntés des bibliothèques parisiennes ? Et si on s’intéressait aux profondeurs des classements ?

(1) Tout le monde les boude : quels sont les livres les moins empruntés des bibliothèques parisiennes ?

A ceux qu’on ne retrouve jamais sur aucun podium ? Aux losers de la littérature ? La ville de Paris rend publique sur sa plateforme de données la liste des mille livres les plus réservés de ses bibliothèques. En clair, la crème de la crème des bouquins à la mode. Ceux qu’on s’arrache parmi les 3,35 millions de documents répartis entre les 57 établissements de la capitale. Les données existent, même si elles ne sont pas mises en avant sur le site des données de la ville de Paris. L’emprunt, moins de la moitié des usages Ces listes des livres mal aimés sont d’abord et surtout un outil de travail pour que les bibliothécaires puissent faire de la place dans leurs établissements.

Les livres jeunesses, titres les plus empruntés en bibliothèque en 2018. L’échantillon comprend cette année 170 bibliothèques de tailles et de profils différents contre 146 en 2016 et 167 en 2017. Au total, elles desservent près de 4,6 millions d’habitants et ont réalisé 13,5 millions de prêts, pour environ 459 000 acquisitions en 2018. Les ouvrages les plus empruntés sont les livres jeunesse (40 %). Un chiffre stable par rapport aux données de 2017. A la deuxième et troisième place, on retrouve la bande dessinée (29 %) en hausse par rapport à l’année précédente (27 % en 2017) et la fiction adulte (21 %), en légère baisse par rapport à 2017 (22 %).

Les « documentaires adultes » représentent 10 % des emprunts, contre 11% en 2017. La prédominance du genre jeunesse s’explique par une forte présence des jeunes (32 %) parmi les emprunteurs des bibliothèques publiques. Pourquoi certaines personnes ne vont-elles pas dans les bibliothèques ? Si les études sur les publics qui fréquentent les bibliothèques et leurs habitudes culturelles ne manquent pas, il est plus rare de s'intéresser de près à ceux qui ne sont pas usagers des établissements de lecture publique.

Pourquoi certaines personnes ne vont-elles pas dans les bibliothèques ?

Environ 60 % des interrogés ont déclaré ne pas avoir fréquenté de bibliothèque au cours des 12 derniers mois : le ministère de la Culture s'est penché sur ces publics pour en tirer quelques observations utiles. Médiathèque Les 7 Lieux (photo d'illustration, ActuaLitté, CC BY SA 2.0) Une précédente étude du ministère, en 2016, avait permis d'estimer, à partir des personnes interrogées, que 60 % des répondants ne s'étaient pas rendus dans une bibliothèque au cours des 12 derniers mois. Précision d'emblée, pour rassurer, qu'il s'agit là de non-usagers actuels, qui ont déjà fréquenté une bibliothèque : les non-usagers absolus sont estimés à 13 % parmi les répondants.

Le Silence comme service. « Il est des lieux privilégiés, où le silence impose sa subtile omniprésence, lieux dans lesquels peut particulièrement s’opérer son écoute, lieux où, souvent, le silence apparaît comme un bruit doux, léger, continu et anonyme [...]

Le Silence comme service

Parmi ces lieux où s’impose le silence, se distinguent la maison, ses salles, ses corridors, ses chambres et toutes les choses qui en constituent le décor, mais aussi certains monuments privilégiés : les églises, les bibliothèques, les forteresses, les prisons 1… » « The Sound of Silence » Le silence a-t-il encore sa place dans nos bibliothèques ? S’y impose-t-il partout et sans condition comme le « bruit doux, léger, continu et anonyme » que décrit Alain Corbin ? De cette nouvelle configuration sonore, le silence n’a toutefois pas été totalement exclu.

La convivialité au prix du bruit ? De l’habitat à la cohabitation en bibliothèque Mais qu’est-ce qu’« habiter » une bibliothèque ? Répondre à un besoin de silence Confort acoustique et service de silence. 2018 : bilan de l'année écoulée.