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Société

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Low tech : comment entrer dans l’ère de la sobriété énergétique pour vivre sans polluer. Basta !

Low tech : comment entrer dans l’ère de la sobriété énergétique pour vivre sans polluer

: Face à la pénurie de ressources, les réponses techniques sont souvent mises en avant. Pourquoi la troisième révolution industrielle, avec ses produits high-tech et ses technologies « vertes », nous conduit-elle dans l’impasse, selon vous ? Philippe Bihouix [1] : Les high-tech sont encore en mesure de répondre, en partie, aux risques de pénurie. On le voit dans le cas des énergies fossiles : nous sommes capables d’aller chercher des ressources moins accessibles, comme les gaz de schiste, les pétroles de roche-mère, voire même des carburants à base de charbon ou de gaz.

Des « prix Pinocchio » pour dénoncer l'irresponsabilité et l'hypocrisie des multinationales face à la crise climatique. Cette année, les prix Pinocchio - le grand prix de l’irresponsabilité et de l’hypocrisie des multinationales, organisé par les Amis de la terre avec plusieurs autres associations - seront entièrement consacrés à l’enjeu climatique, COP21 oblige.

Des « prix Pinocchio » pour dénoncer l'irresponsabilité et l'hypocrisie des multinationales face à la crise climatique

Les nominés incluent plusieurs géants de l’énergie - EDF, Engie, Total, Shell et Chevron - mais aussi des représentants des secteurs agricole (Avril-Sofiprotéol, Yara), minier (Anglo American) et financier (BNP Paribas). Comme les années précédentes, Basta ! Et l’Observatoire des multinationales sont partenaires médias des prix Pinocchio. Dans un mois environ, Paris accueillera la COP21 – la 21e Conférence internationale sur le climat –, une échéance cruciale pour empêcher, pendant qu’il est encore temps, les conséquences les plus catastrophique du changement climatique. Les prix Pinocchio, organisés par les Amis de la terre et leurs partenaires, cherchent précisément à dénoncer l’influence néfaste et les faux discours des multinationales. COP21 : J-30 ! Il n'y aura pas d'accord salvateur, mais beaucoup de choses à gagner. La bataille qui se joue aujourd’hui sur la question du climat est décisive pour les conditions de vie à venir.

COP21 : J-30 ! Il n'y aura pas d'accord salvateur, mais beaucoup de choses à gagner

Elle n’est ni gagnée, ni perdue. Elle se joue en ce moment même. Et quand Alternatiba dit “en ce moment même”, nous ne faisons pas référence à la tenue de la COP21 à Paris en décembre, mais à la période des quelques années que nous avons devant nous. Protecting our planet. Qu'attendent les citoyens de la conférence de Copenhague ? La prochaine conférence de Copenhague qui aura lieu du 7 au 18 décembre prochain sera-t-elle un succès ?

Qu'attendent les citoyens de la conférence de Copenhague ?

Une question que nous, citoyens du monde, nous nous posons avec plus ou moins de ferveur…Selon une récente enquête de l’Observatoire climatique de la banque HSBC, 65 % des citoyens interrogés dans le monde espèrent un accord international sur la lutte contre le changement climatique… Cette troisième enquête annuelle "Observatoire HSBC de la confiance climatique", menée auprès de 12.000 personnes dans 12 pays différents (1.000 dans chaque), révèle que l’espoir est particulièrement fort au Brésil (86 %) mais aussi au Mexique (83 %).

La France (73 %) et l ‘Allemagne (70 %) sont également très enthousiastes, tandis que les Etats-Unis ne sont motivés qu’à 45 %. Dialoguons - Plateforme participative. Le journalisme participatif : définition, évolutions, état des lieux / E-dossier de l'audiovisuel : Journalisme, Internet, libertés. Franck Rebillard est professeur des universités à l’Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3 UFR Communication.

Le journalisme participatif : définition, évolutions, état des lieux / E-dossier de l'audiovisuel : Journalisme, Internet, libertés

Parmi ses thèmes de recherche : Information et journalisme en ligne ; Espace public et numérique ; Pluralisme, diversité de l'information ; Industries culturelles et médiatiques ; Communication internet et édition web. Membre du département ICM (Institut de la communication et des médias), il est actuellement responsable scientifique du partenariat pour la mise en place d'un Observatoire Transmédias (ANR / Ina, 2010-2013), et du programme IPRI - Internet, pluralisme et redondance de l'information(ANR, 2009-2012).