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ACCIDENTS - Risques

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De Paris à Fukushima : Les secrets d'une catastrophe (Intégrale) Anccli rapport VFinale web. Plan national de réponse à un accident nucléaire ou radiologique majeur. Valence : "Il faut arrêter les centrales nucléaires" martèle le Premier ministre qui a géré Fukushima au Japon. Naoto Kan doit visiter le laboratoire de la CRIIRAD, la Commission de Recherche et d'Information indépendantes sur la Radioactivité, ce mardi matin.

Valence : "Il faut arrêter les centrales nucléaires" martèle le Premier ministre qui a géré Fukushima au Japon

Lundi soir, il a présenté le film "Fukushima, le couvercle du soleil" au cinéma le Navire à Valence. Ce long-métrage, qui sort officiellement le 6 mars, retrace les premiers jours de la catastrophe nucléaire. "Jusqu'à l'accident, je pensais qu'avec la technologie, on arriverait à contrôler" L'ancien Premier ministre japonais veut alerter sur les dangers du nucléaire.

C'est devenu son combat. La Demi Heure Radio Active 12 fév 2019 : Climat, Nucléaire : concurrence des catastrophes ? EPR de Flamanville : les dessous de notre enquête. GLOBAL CHANCE. Les questions de sûreté et de sécurité des centrales et des usines nucléaires sont les grandes absentes du dossier présenté par le ministère de la transition écologique et solidaire pour cadrer le débat public en cours sur la PPE.

GLOBAL CHANCE

Tout en rappelant à chaque occasion qu’ils sont soumis aux décisions de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), les décideurs politiques et industriels ignorent, ou feignent d’ignorer, les déclarations de son président, Pierre-Franck Chevet : « Un accident majeur, comme ceux de Tchernobyl ou de Fukushima, ne peut être exclu nulle part dans le monde, y compris en Europe ». Page publiée en ligne le 4 juin 2018 Sur cette page :• Benjamin Dessus et Bernard Laponche : « La question du risque nucléaire est exclue du débat public sur l’énergie »• Pour aller plus loin : Changer de paradigme | Les Dossiers de Global-Chance.org Benjamin Dessus et Bernard Laponche, LeMonde.fr, samedi 2 juin 2018.

La sécurité nucléaire en Europe. Nucleaire La fin d un mythe. Carte de France "Nucléaire : danger permanent" Partager sur Facebook Cette carte est encore en cours d’amélioration, des fonctionnalités supplémentaires vont être mises en place progressivement.

Carte de France "Nucléaire : danger permanent"

Elle est développée entièrement avec des logiciels libres et l’affichage est optimisé pour le navigateur web Firefox (télécharger Firefox). Elle est sous licence "Creative Commons". Vous pouvez la diffuser et la réutiliser librement, sous réserve de respecter les conditions suivantes : mention du Réseau "Sortir du nucléaire", aucune modification, aucune utilisation commerciale. Cette carte existe également en version papier, au format poster 50 x 70 cm, à commander dans notre boutique en ligne. Les informations concernant les installations nucléaires sont généralement tenues secrètes ou difficiles à obtenir. Les sites miniers mentionnés sur la carte dans sa version papier sont fondés sur les données de l’inventaire MIMAUSA effectué par l’IRSN.

Bernard Laponche : “Il y a une forte probabilité d'un accident nucléaire majeur en Europe” - Le monde bouge. Physicien nucléaire, polytechnicien, Bernard Laponche est formel : la France est dans l'erreur.

Bernard Laponche : “Il y a une forte probabilité d'un accident nucléaire majeur en Europe” - Le monde bouge

Avec le nucléaire, elle s'obstine à privilégier une énergie non seulement dangereuse mais obsolète. Alors que d'autres solutions existent, grâce auxquelles les Allemands ont déjà commencé leur transition énergétique. Il est des leurs. Enfin, il était des leurs. Polytechnicien, physicien nucléaire, Bernard Laponche a participé, dans les années 1960, au sein du Commissariat à l'énergie atomique, à l'élaboration des premières centrales françaises. On présente toujours l'énergie nucléaire comme une technologie très sophistiquée. Pourquoi cette image s'est-elle imposée ? Parlons donc du combustible...Ce sont des crayons d'uranium, de l'uranium légèrement enrichi en isotope 235, pour les réacteurs français. « C’est incroyable qu’on n’ait pas encore fondu un cœur de réacteur » : des techniciens EDF s’inquiètent.

Salle de commande d’une centrale nucléaire française, un jour d’automne 2017. L’arrêt de tranche – le réacteur et ses équipements –, nécessaire pour remplacer le combustible nucléaire et assurer l’entretien de l’installation, est terminé. Le moment est venu de remettre le réacteur en route. « Pour s’assurer que la réaction nucléaire reste sous contrôle, au franchissement de chaque pallier, les opérateurs doivent verrouiller manuellement un système de protection automatique du réacteur depuis le pupitre de commande », explique Louis, qui a travaillé pendant 20 ans en salle de conduite – le poste de contrôle des réacteurs [1].

Mais ce jour là, les deux opérateurs et les deux ingénieurs présents dans la salle de commande n’arrivent pas à activer le système de verrouillage manuel. En vingt ans, une profonde évolution des méthodes de travail « La salle de commande, c’est un lieu de pouvoir, c’est clair. Au nom de la performance économique, la maintenance amputée. Soupçons sur la sûreté de dix-huit réacteurs nucléaires français. Selon une note publiée jeudi par l’Autorité de sûreté nucléaire, certains générateurs de vapeur présentent des fragilités similaires à celles de la cuve de l’EPR de Flamanville.

Soupçons sur la sûreté de dix-huit réacteurs nucléaires français

LE MONDE | 23.06.2016 à 16h37 • Mis à jour le 24.06.2016 à 06h38 | Par Pierre Le Hir La série noire continue pour EDF. Et chaque nouvel épisode renforce les inquiétudes. L’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a révélé, dans une note publiée jeudi 23 juin, que « certains générateurs de vapeur de réacteurs d’EDF pourraient présenter une anomalie similaire à celle de la cuve de l’EPR de Flamanville [Manche] ». Concrètement, ont été décelées des zones de concentration importante en carbone, « pouvant conduire à des propriétés mécaniques plus faibles qu’attendues ».

En avril 2015, l’ASN avait révélé que l’acier des calottes (couvercle et fond) de la cuve de l’EPR en construction à Flamanville était fragilisé par une teneur excessive en carbone, dans certaines zones. Cinq-nouveaux-reacteurs-nucleaires-mis-a-l-arret-suite-aux-anomalies-du-creusot. Envoyé spécial. Un mystérieux nuage - 18 janvier 2018 (France 2)

Réacteurs: reprise progressive de la production chez Areva au Creusot. La production de l'usine Areva du Creusot, interrompue en 2016 à la suite d'irrégularités, a repris avec la coulée d'un élément destiné à la future centrale nucléaire d'Hinkley Point en Angleterre, a-t-on appris mercredi de sources concordantes.

Réacteurs: reprise progressive de la production chez Areva au Creusot

Energie : une nouvelle centrale pointée du doigt par le gendarme du nucléaire. L'Autorité de sûreté nucléaire a rendu un rapport sévère sur l'état de la centrale de Belleville-sur-Loire (Cher).

Energie : une nouvelle centrale pointée du doigt par le gendarme du nucléaire

Résultat : le site a été mis sous surveillance. Des travaux abandonnés et pourtant obligatoires, des canalisations rouillées qui fuient, des vannes laissant échapper de la vapeur avec un risque de contamination radioactive, des systèmes d'alimentation électrique de secours dont le fonctionnement peut faire défaut en cas d'accident... Ce ne sont que quelques-uns des nombreux exemples de dysfonctionnements constatés par l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) lors d'une «inspection renforcée» menée les 4 et 5 avril à la centrale nucléaire de Belleville-sur-Loire (Cher). LIRE AUSSI> La centrale nucléaire de Belleville-sur-Loire placée sous «surveillance renforcée» Cette inspection a donné lieu à un rapport au vitriol, que nous nous sommes procuré.

Seine-Maritime. Les photos de l’improbable accident à la centrale nucléaire de Paluel. Jeudi 31 mars 2016, sur le chantier de grand carénage de la centrale nucléaire de Paluel (Seine-Maritime) : lors de son transfert, un générateur de vapeur de 465 tonnes est tombé de toute sa hauteur à l’intérieur d’un bâtiment de la centrale.

Seine-Maritime. Les photos de l’improbable accident à la centrale nucléaire de Paluel

L’ASN (Autorité de sûreté nucléaire) a immédiatement diligenté une enquête. Dans un courrier en date du 8 avril 2016, elle met en évidence la probabilité de plusieurs défaillances et regrette que des images du chantier qui auraient pu être captées, aient disparu. Toutes, certainement pas, puisque le député Europe Écologie-Les Verts de Paris, Denis Baupin, publie en date du mardi 12 avril 2016, une image du générateur, après sa chute. Fuite radioactive à la centrale nucléaire du Bugey : quatre associations portent plainte. Mercredi 7 mars 2018, en décembre 2017, une fuite radioactive a été détectée à la centrale nucléaire du Bugey, à 35 km de Lyon.

Fuite radioactive à la centrale nucléaire du Bugey : quatre associations portent plainte

Quatre associations portent plainte et en appellent à l’arrêt immédiat de la centrale, qui cumule les risques de toute sorte. Le 20 décembre 2017, EDF a détecté une concentration anormale de tritium dans un piézomètre (tube permettant l’accès à la nappe phréatique) sur le site de la centrale nucléaire du Bugey. La concentration de cette substance radioactive, qui peut provoquer de graves dommages à l’ADN, atteignait 670 Becquerels par litre. Envoyé spécial. Barrage de Vouglans : le scénario catastrophe - 13 septembre 2018 (France 2) Le réacteur numéro 2 de Fessenheim maintenu à l’arrêt à cause d’une anomalie. Arrêté par EDF le 13 juin, le réacteur est maintenu à l’arrêt en raison d’une anomalie détectée sur un générateur de vapeur de la centrale nucléaire.

Le réacteur numéro 2 de Fessenheim maintenu à l’arrêt à cause d’une anomalie

Le réacteur numéro 2 de Fessenheim (Haut-Rhin), arrêté par EDF le 13 juin, est maintenu à l’arrêt en raison d’une anomalie détectée sur un générateur de vapeur de la centrale nucléaire présentant une irrégularité de fabrication, selon l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN). Les générateurs de vapeur sont des échangeurs de chaleur qui transforment l’eau du circuit secondaire du réacteur en vapeur pour alimenter les turbines générant l’électricité. « L’ASN a suspendu le certificat d’épreuve [nécessaire à la mise en service] qu’elle avait délivré à Areva en 2012 », a annoncé l’ASN.

Areva a annoncé mardi poursuivre ses analyses, qui ont conclu, jusqu’ici, « que l’anomalie n’était pas préjudiciable à la sûreté de l’exploitation ». Centrale nucléaire de Fessenheim : chiffres clés, fonctionnement, histoire. France needs to upgrade all nuclear reactors. EDF sommé de revoir rapidement la sûreté de 30 réacteurs.

Canicule c'est chaud...!

Bruno Comby : "Ces drones sont en train de cartographier les centrales" Bruno Comby : "Ces drones sont en train de cartographier les centrales" Royal "prête à donner le feu vert" au prolongement de 10 ans des centrales nucléaires. Risque terroriste : des failles dans la sécurité des centrales nucléaires. Durant dix-huit mois, Greenpeace a fait travailler des experts internationaux sur la protection de notre parc nucléaire face au risque terroriste. Les conclusions sont inquiétantes. Ils sont sept. Sept experts des questions nucléaires et du terrorisme, mandatés par l'ONG de défense de l'environnement Greenpeace pour échafauder les pires scénarios d'attaques sur nos 19 centrales nucléaires. Objectif : identifier les failles de sécurité, et alerter les pouvoirs publics et EDF, l'exploitant de notre parc nucléaire, sur le danger que cela représente. Sauf que les conclusions du rapport sont tellement alarmistes que les experts et Greenpeace, pourtant rompus aux hypothèses les plus inquiétantes, ont décidé de ne rendre publique ce mardi matin qu'une version « light », expurgée des informations les plus sensibles. « Il s'agit d'alerter l'opinion et les pouvoirs publics, justifie Yannick Rousselet, chargé de campagne auprès de Greenpeace.

Sécurité des centrales : «EDF va investir 700 millions d'euros supplémentaires» Durant dix-huit mois, Greenpeace a fait travailler des experts internationaux sur la protection de notre parc nucléaire face au risque terroriste. Que nous apprend-il ? « Que nous connaissons un déficit historique de la protection de nos installations», s'alarme Yves Marignac, l'un des contributeurs du rapport.

LIRE AUSSI >Que dit le rapport publié par Greenpeace ? Face à ces conclusions, quels moyens apporter aux installations nucléaires ? La réponse du directeur du parc nucléaire d'EDF, Philippe Sasseigne. Face aux nouvelles formes de menaces, la sécurité des 19 centrales est-elle suffisamment assurée ? Philippe Sasseigne.Tous les moyens sont mis en oeuvre, et de manière coordonnée, entre EDF et l'Etat, pour l'assurer. Mais le fait que la plupart des centrales aient été construites à une époque où le risque terroriste n'existait pratiquement pas ne constitue-t-il pas une faiblesse ?

Nucléaire, la Bombe Humaine - Documentaire sur les risques des centrales atomiques (HD 1080p) Les terrifiants aveux du Président de l'ASN devant l'Assemblee Nationale. Un accident nucléaire coûterait jusqu'à 5.800 milliards d'euros. L'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) va publier les résultats détaillés de ses travaux sur le coût d'un accident nucléaire, après la publication dimanche 10 mars par le "JDD" sur la base d'un rapport de 2007 d'un chiffrage maximum de 5.800 milliards d'euros, qu'il affirme être "fort peu réaliste".

Ce rapport confidentiel de l'IRSN (Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire), cité par le "Journal du dimanche" (JDD), évaluait le coût d'une catastrophe nucléaire, en incluant les pertes économiques mais aussi les coûts environnementaux et les dépenses de santé. Selon ce rapport établi en 2007, le coût d'un accident majeur pouvait aller de 760 milliards d'euros pour un "cas de base" à 5.800 milliards d'euros, soit l'é"quivalent de trois années de PIB, dans le cas d'une situation particulièrement catastrophique. "Fort peu réaliste" Dans un communiqué publié dimanche, l'IRSN affirme que le chiffre de 5.800 milliards d'euros est "fort peu réaliste".

Estimation des coûts d’accidents nucléaires en France : Méthodologie appliquée par l’IRSN. En 2013, la publication par l’IRSN des premiers résultats de ses investigations relatives au coût d’un accident nucléaire entraînant des rejets radioactifs importants (lire l’actualité du 19 février 2013) avait soulevé une polémique en raison du niveau important (et inattendu pour nombre d’observateurs) des coûts médians pour deux types différents d’accidents estimés.

L’IRSN publie aujourd’hui un rapport méthodologique sur ce sujet. Alors que l’attention s’est focalisée en 2013 sur le chiffrage total des conséquences d’un accident dans notre pays, l’importance de ce nouveau rapport réside surtout dans l’approche analytique qu’il propose pour les différentes composantes de ce coût, dont certaines pourraient être maîtrisées et donc réduites par la mise en œuvre précoce de mesures publiques appropriées. IRSN PRP CRI SESUC 2013 00261 methodologie cout accident. ♫ Arithmétique de l'accident nucléaire - la Parisienne Libérée. Scandale de contrefaçon nucléaire en Corée du Sud. Des pièces fabriquées par Areva ont été copiées par un employé d'une centrale. Et installées sur au moins deux sites. LE MONDE | 03.09.2012 à 15h16 • Mis à jour le 03.09.2012 à 15h40 | Par Philippe Mesmer (Tokyo, correspondance) Tchernobyl, la nature reprend ses droits. De Paris à Fukushima : Les secrets d'une catastrophe (Intégrale)

À Fukushima, une catastrophe banalisée, par Philippe Pataud Célérier (Le Monde diplomatique, avril 2018) Face aux pupitres d’écolier, le tableau noir est encore couvert de signes. Idéogrammes, nombres, croquis. Fukushima, Une Population Sacrifiée. Catastrophe nucléaire de Fukushima : chiffres clés pour le huitième anniversaire - L'ACROnique de FukushimaL'ACROnique de Fukushima. A l’approche du huitième anniversaire de la catastrophe nucléaire à la centrale de Fukushima, voici quelques chiffres clé tels qu’ils apparaissent dans les médias, les sites officiels et les 2 500 articles de ce site.