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Féminisme

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How to Talk to Kids About Sexy Dolls Without Sex-Shaming. “Is it slut shaming to dub Polly Pocket 'Polly Prostitute'?

How to Talk to Kids About Sexy Dolls Without Sex-Shaming

No, it isn’t,” Rebecca Hains wrote in response to comments on this Jezebel article by Margot Magowan. I disagree, but I know where Magowan, Hains, and the artists behind the recent craze for Bratz doll make-unders are coming from. I really do. Shopping for Halloween costumes for my daughter when she was 3 sent me into a seething rage over the aisles full of sexy costumes for the 4 to 6 age group. It’s both disturbing and depressing that companies market “sexy” to little girls who are way too young to understand what sexy means. But there are ways to do this that involve slut-shaming, and ways that don’t. Hains argues that representations of women and girls can’t be slut-shamed because they’re not real people and therefore can’t feel shame. Non mixité : l'agressivité des agressées.

En quelques jours, j'ai pu assister à plusieurs scènes très caractéristiques de la relation des hommes au féminisme.

Non mixité : l'agressivité des agressées

Si vous interrogez beaucoup de hommes dits de gauche en 2016, ils se diront tout à fait féministes mais viendra le moment où il faudra transformer l'essai. Viendra le moment où il faudra assister à du militantisme féministe. 11 influential feminists share the best lessons they've learned from other women. In a society that often tries to knock women down, one of the greatest sources of power women have is the ability to lift each other up.

11 influential feminists share the best lessons they've learned from other women

Through taking the time to mentor, advise, listen and simply care, a woman supporting another woman does some pretty radical things. Notably, it sends a rather radical "f-you" to a society steeped in gender inequality — a society that often tells women to see each other not in shared womanhood, but as enemies. Le partage des tâches, enjeu féministe primordial : « Et toi, concrètement, comment tu fais ? » Ben je fais comme ça. Comme un mec, oui » En matière de féminismes, il y a les combats publics, « La Cause », « Les Luttes », toutes ces prises de position relativement visibles et « théorisables », dirons-nous, mais il y a aussi (et je suis tentée de dire « surtout ») les combats féministes du quotidien, qui sont tout aussi importants, tout aussi rudes à mener.

Le partage des tâches, enjeu féministe primordial : « Et toi, concrètement, comment tu fais ? » Ben je fais comme ça. Comme un mec, oui »

Le partage des tâches est l’un de ces combats, et pas des moindres à mon sens. Parce que quand on a fini de poser certaines évidences, notamment l’inégalité persistante de la répartition des tâches ménagères au sein du couple hétéro-patriarcal et la nécessité de ne plus remercier quand on est « aidée », qu’est-ce qu’on fait, concrètement ? On fait ce qu’on peut, avec ce qu’on a. Situons le contexte : à première vue, je suis une espèce de « cliché de normalité ». Quand j’ai emménagé avec mon compagnon, en 1997, j’avais une très forte envie de nid. MAIS COMMENT FAIT-ELLE, CETTE VILAINE, te dis-tu, écoeurée ? Bonnes conduites ? (Deuxième partie) Première partie Un mot pour un autre, " dites/ne dites pas " : c’est le jeu d’enfant auquel on veut réduire, sous l’appellation commune de " correction politique ", tout un travail de questionnement du vocabulaire employé pour désigner les minorités.

Bonnes conduites ? (Deuxième partie)

Dans le premier numéro, je disais que cela procédait d’une confusion entre lexique et discours. Les contempteurs du pc ne connaissent que les squelettes du langage. Au mieux, ils pèchent par ignorance. Ou par esprit de sérieux. Au moment où le port du ruban rouge s’est imposé comme le signe d’une compassion obligatoire à l’égard des malades du sida, des militants d’Act Up ont inventé un humour d’un incontestable mauvais goût. Ces plaisanteries étaient publiées dans Cosmopolitan ou Le Figaro, elles étaient immédiatement sanctionnées par une action d’Act Up. Collectif des créatrices de bande dessinée contre le sexisme. Inside the Torturous Fight to End Revenge Porn.

HISTOIRE(S) — IVG : Ma grand-mère, ma mère et moi. Lettre aux hommes que j’aime (et qui me le rendent bien) Cette lettre je l’adresse à tous les hommes qui sont dans ma vie, à un degré ou un autre.

Lettre aux hommes que j’aime (et qui me le rendent bien)

Vous me faites du mal. Pas souvent, mais parfois. Et je vais vous expliquer pourquoi. Vous me faites du mal parce que vous n’êtes pas des femmes et que chacun d’entre vous, au moins une fois, vous vous êtes permis de me dire comment je devrais être en tant que femme ou en tant que féministe. Et si ce ne fut pas le cas, vous avez devant moi critiqué des femmes pour des choses insensées. Vous êtes sexistes. Je le dis d’autant plus facilement puisque je considère que je le suis moi-même, sexiste. Nous vivons dans un système patriarcal infusant de l’inégalité à tous les niveaux depuis notre naissance : nous avons des réflexes sexistes quotidiens. Vous critiquez le physique des femmes : et oui c’est problématique parce que notre société semble n’attendre de celles-ci qu’une chose : qu’elles soient sexy et désirables aux yeux des hommes. Vous me faites du mal parce que vous m’en demandez plus qu’à aucun homme.

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