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Humour

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A la ferme des 1000 vaches... Augmentation historique de l'électricité. La blague de 1er avril de Mediapart. Vous le savez, la théorie transhumaniste commence à devenir une réalité avec la société Google.

La blague de 1er avril de Mediapart

Celle-ci en fait depuis longtemps son cheval de bataille et elle finance pour cela des laboratoires de recherche qui sont en pointe dans ce domaine très controversé de la science. A ce propos, le journal Sud-Coréen Chosun ( 속보 ) vient de publier une information exclusive qui risque de faire grand bruit : un des centres de recherche financé par Google a réussi à mettre au point une mémoire artificielle, qui a la particularité de pouvoir être greffée directement sur le cerveau humain ! Les chercheurs ont réussi l’exploit de relier un petit boitier-mémoire numérique, de la taille d’un ongle et qui est implanté chirurgicalement derrière l’oreille, à trois zones différentes du cerveau qui contiennent des données de notre mémoire. Dès 2015, assure l’équipe, l’opération pourra devenir banale et le Trick sera vendu dans tous les supermarchés.

Nous sommes des grenouilles ! (dans une marmite) Olivier Clerc, écrivain et philosophe, vous soumet un petit compte d'une grande richesse d'enseignement.

Nous sommes des grenouilles ! (dans une marmite)

Il s'agit du principe de la grenouille chauffée : "La grenouille qui ne savait pas qu'elle était cuite" (a méditer et à faire suivre, c'est cruellement vrai) Imaginez une marmite remplie d'eau froide dans laquelle nage tranquillement une grenouille. Le feu est allumé sous la marmite, l'eau chauffe doucement. Elle est bientôt tiède : la grenouille trouve cela plutôt agréable et continue à nager La température continue à grimper. L'eau est maintenant chaude. Noël Mamère quitte EELV. Il neigeait. L’art de tromper la nature. Pour étudier la faune sauvage, les biologistes font appel à des animaux automates. 1 février 2013 | Partager : Tromper les vrais animaux à l’aide de faux est une mé­thode de plus en plus utilisée par les biologistes.

L’art de tromper la nature

Le but, disent-ils, est d’effectuer des études ciblées et répétées sur la manière dont les animaux réagissent face à d’autres créatures. Cette tendance est favorisée par la baisse régulière du prix des moteurs, des capteurs et des puces informatiques qui composent de tels robots. Certains animaux semblent ne demander qu’à y croire. Les leçons d'un marché de l'argent qui ne marche plus, Chroniques. Quand les étrons voleront… ... tu seras cheffe d'escadrille*.

quand les étrons voleront…

Une actrice connue, désireuse de se lancer dans la carrière électorale, a fièrement affirmé sur France 5, le 4 mars, qu'elle était un "étron libre". Voilà une façon baroque de se mettre en selle. Sa langue a-t-elle seulement fourché, perdant la syllabe "lec" en route (elle aurait voulu dire "électron") ou son ignorance a-t-elle parlé ? Nous nous garderons de trancher. Rappelons qu'un étron est une crotte "consistante et bien moulée" (Littré) . * Tribut à Georgius et à son "Quand les andouilles voleront" ("et quand elles auront des éperons, tu seras chef d'escadron") Signaler ce contenu comme inapproprié Martine Rousseau et Olivier Houdart sont les correcteurs du Monde.fr.

« Wanted » : la SNCF offre une prime pour retrouver ses wagons perdus. Mon Figaro : Albaret-Sainte-Marie croule sous les règles absurdes. Devant l'avalanche de normes, les maires ruraux se sentent souvent bien seuls.

Mon Figaro : Albaret-Sainte-Marie croule sous les règles absurdes

Ce matin, Monsieur le maire a été réveillé aux aurores. Tourisme écolo aux USA : les horreurs du monde industriel. De Los Angeles au Kentucky, des associations organisent des visites des sites les plus pollués du pays : les « toxic tours ».

Tourisme écolo aux USA : les horreurs du monde industriel

A Brooklyn, New York, en août 2007 (Mike Segar/Reuters) Le Grand Canyon, Monument Valley, Ground Zero ou les collines de San Francisco… vous en rêviez pour vos vacances aux US ? C’est d’un ringard ! Suivez plutôt les chemins du nouvel éco-tourisme américain : les « misery (ou toxic) tours », excursions sur les sites les plus pollués, massacrés, salis, empoisonnés par l’industrie et la croissance urbaine. Ce n’est pas encore une tendance lourde du marché touristique, mais gardez celle-ci en tête : avec la montée en puissance de la « green attitude » - qui ne faiblit pas malgré la crise économique, les environnementalistes enfoncent le clou. Parmi plusieurs circuits originaux, celui des alentours de Los Angeles (présenté ici par le quotidien USA Today) est un des plus faciles à effectuer. Passage par la ville de l’asthme. Les OGM s'incrustent. Pollution : vision d'avenir.