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Formation "La place des femmes dans les arts" - 24 mai 2019

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Collection des ressources présentées lors de la formation "La place des femmes dans les arts" organisée dans le cadre du plan académique de formation de l'académie de Versailles au musée d'Orsay le vendredi 24 mai 2019

Indications pratiques Place des femmes dans l'histoire des arts. Programme du 24 mai. Les femmes artistes au XIXème siècle: accessibilité au monde de l'art et enseignement Être une femme en France au XIXème siècle La place des femmes dans les arts Pauline MORTAS, doctorante à l'Université Paris I Panthéon Sorbonne Visite guidée dans les collections du Musée d'Orsay Visibilité des femmes dans les arts et dans les musées Ressources / Bilan/ Organisation Mise au point scientifique Images de femmes dans les arts du XIXème Guide conférencier du Musée d'Orsay.

Programme du 24 mai

Questionnaire - Bilan du stage ""La place des femmes dans les arts" Survey. Orsay en mouvements. Place aux femmes! Un mur pour partager des contributions à l'enseignement de l'histoire des femmes dans le secondaire. Diaporama de Pauline Mortas pour la formation du 24 mai 2019. Pauline MORTAS. Femmes et hommes face à la virginité. Être vierge, c’est-à-dire n’avoir jamais eu de relations sexuelles, constitue pour le christianisme l’état de pureté spirituelle suprême, pour les hommes comme pour les femmes.

Femmes et hommes face à la virginité

Une rose épineuse La défloration au XIXe siècle en France Pauline Mortas. Pauline Mortas, Une rose épineuse. La défloration au XIXe siècle en France. 1Ce livre dense est issu du mémoire de master 2 de sa jeune auteure qui aborde l’épineuse question de la perte de la virginité féminine au siècle de Balzac et Michelet.

Pauline Mortas, Une rose épineuse. La défloration au XIXe siècle en France

Si le terme « défloration » est préféré aux vocables alternatifs comme « dépucelage » ou « première fois », c’est parce que son usage est largement dominant dans les sources. #4 - Une rose épineuse de Pauline Mortas. Une rose épineuse La défloration au XIXe siècle en France Pauline Mortas. Replay d'Art d'Art - « La Naissance de Vénus », d'Alexandre Cabanel - France 2. Jules Cavelier Pénélope. L'Eté ou Ruth et Booz, tableau des 4 saisons de Poussin. Jean-François Millet Des glaneuses. Honoré Daumier La blanchisseuse. Honoré Daumier La République. Alfred Stevens Ce qu'on appelle le vagabondage. Gustave Courbet L'Origine du monde. La Source (Courbet) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

La Source (Courbet)

La Source est un tableau peint en 1868 par Gustave Courbet, exposé au musée d'Orsay. Sur la droite du tableau, une femme nue vue de dos et aux cheveux ramenés en chignon, est appuyée sur un rocher couvert de mousse et tend la main sous un filet d'eau. Ses pieds sont en partie dans l'eau qui s'accumule en un bassin. Le tout est entouré d’arbustes et de feuillus, exprimés en des couleurs sombres.

Le peintre a inscrit en bas à droite et en rouge « Courbet, Gustave 68 ». Portrait du marquis et de la marquise de Miramont par James Tissot. Edouard Manet La dame aux éventails. Olympia (Manet) Olympia est un tableau célèbre d'Édouard Manet conservé au musée d'Orsay à Paris.

Olympia (Manet)

Peinte en 1863, l'œuvre fut exposée pour la première fois au Salon de 1865[1], créant un scandale retentissant[2]. L'œuvre représente au premier plan une jeune femme blanche nue, le pied gauche encore chaussé d'une mule, allongée sur un divan et un châle de cachemire blanc, dans un intérieur décoré de tentures vertes et de tapisseries. Posée sur deux oreillers satinés, elle est accoudée sur son bras droit, la main gauche sur la naissance de ses jambes, le regard porté vers le spectateur[3].

Au second plan, derrière le lit, à droite, une femme noire lui présente un bouquet de fleurs devant un fond vert ; un chat noir se dresse sur l'extrémité droite du lit, la queue levée. Poème Triolets fantaisistes par Charles CROS. Triolets fantaisistes par Charles CROS par Ann Sidonie a plus d’un amant, C’est une chose bien connue Qu’elle avoue, elle, fièrement.

Poème Triolets fantaisistes par Charles CROS

Notice d'Oeuvre. Pierre Auguste Renoir Maternité. Andrea Solari. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Andrea Solari

La princesse Mathilde, JB Carpeaux. Auteurs Carpeaux, Jean-BaptisteValenciennes, Nord (59) (France) 1827 - Courbevoie, Hauts-de-Seine (92) (France) 1875 Description.

La princesse Mathilde, JB Carpeaux

Résultats Google de recherche d'images correspondant à. Berthe Morisot Le berceau. Eva Gonzalès Une loge aux Italiens. Femme faisant du crochet, Lucie Cousturier. Louise Abbema par Sarah Bernhardt. Sarah Bernhardt par Louise Abbema. L'internement forcé de Camille Claudel. Sculptrice de génie, Camille Claudel (1864-1943) défia le sexisme du monde de l'art et parvint à s'imposer comme une artiste de tout premier plan.

L'internement forcé de Camille Claudel

Élève, maîtresse et muse de Rodin, elle s'affranchit peu à peu de son influence pour trouver sa propre voie et rencontrer le succès dès les années 1890. Ses admirateurs ne manquent alors pas et les comptes-rendus critiques de ses œuvres sont souvent élogieux. Citons le texte passionné de l'écrivain Octave Mirbeau paru en une du Journal, le 26 avril 1896 : « On dirait, ma parole, à entendre les critiques, que son buste d'enfant, taillé par elle-même, en plein marbre, est un joli ouvrage de dame, et rien de plus. Alors que c'est, en réalité, un vrai et puissant chef-d'œuvre [...].

Catherine Gonnard, Élisabeth Lebovici, Femmes/artistes, artistes femmes. Paris, de 1880 à nos jours. 1En limitant leur sujet au Paris de la fin du XIXe siècle au début du XXIe siècle, Catherine Gonnard et Élisabeth Lebovici montrent non seulement que le XXe siècle est le siècle où les femmes prennent place dans l’histoire de l’art, mais que l’histoire de leur visibilité ne suit pas le découpage des courants artistiques conçus par l’histoire de l’art.

Catherine Gonnard, Élisabeth Lebovici, Femmes/artistes, artistes femmes. Paris, de 1880 à nos jours

On pourrait regretter que le cadre géographique ne soit pas plus élargi dans la deuxième moitié du siècle, alors que New York l’emporte sur Paris, et que la scène internationale au début du XXIe siècle s’ouvre à d’autres aires culturelles. Cependant, en choisissant ce cadre plus resserré, la démonstration gagne en pertinence. Inventer son genre dans le langage de la télévision – GLAD!

Les histoires de la télévision française accordent peu de place aux émissions de divertissement dit « populaire » que sont les programmes de variétés des années 1950 et 1960. On y décrit les émissions de variétés d’après-guerre comme une émanation de la radio et du music-hall1, ou comme un genre spécifique de la télévision fortement influencé par l’audience et les pressions de l’industrie du disque2.

Pour leur reconnaissance, il faut attendre les plateaux à invités multiples du couple Maritie et Gilbert Carpentier, à partir de 1961, ou les émissions de Jean-Christophe Averty, qui bousculent les téléspectateurs à partir de 19633. AWARE — Archives of Women Artists Research & Exhibitions.