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Pourquoi on ne peut pas affirmer que « la pollution transporte le coronavirus » Il y a encore deux mois, comme probablement 4 milliards d’autres personnes, j’étais loin d’imaginer que la pandémie du Covid-19 allait bousculer mon quotidien et les travaux de recherche que je mène avec mon équipe à Sorbonne Université et à l’Université Libre de Bruxelles – nous travaillons sur la surveillance des concentrations des gaz dans l’atmosphère, à partir d’observations obtenues par satellite.

Pourquoi on ne peut pas affirmer que « la pollution transporte le coronavirus »

Dès le début de la pandémie, comme d’autres scientifiques et en collaboration avec les agences spatiales, nous avons pu documenter la baisse de la pollution associée à la chute de l’activité économique et à la limitation des déplacements. Dans le contexte anxiogène de la propagation rapide du virus, une étude de scientifiques italiens a jeté le trouble : elle estime que la pollution de l’air pourrait accélérer la propagation du SARS-CoV-2, en partant du constat que la pandémie a démarré à Wuhan (Chine) et dans la vallée du Pô (Italie), deux régions notoirement très polluées.

This lizard lays eggs and gives live birth. We think it’s undergoing a major evolutionary transition. Our earliest vertebrate (animals with backbones) ancestors laid eggs, but over millions of years of evolution, some species began to give birth to live young.

This lizard lays eggs and gives live birth. We think it’s undergoing a major evolutionary transition

There is a traditional dichotomy in vertebrate reproduction: species either lay eggs or have live births. However, as is often the case in biology, things aren’t as simple as they first appear, and there are a handful of vertebrate animals that do both. One of these is the three-toed skink (Saiphos equalis). Our recent research suggests the egg-laying S. equalis may currently be in the process of transitioning from egg-laying to giving live birth. Studying them gives us a unique opportunity to watch evolution in action. From eggs to babies, and back again? Sans titre. « Quoi qu’il en coûte » : la relance économique porte le risque de futures crises pandémiques. D’aucuns pourraient voir dans la crise sanitaire que nous impose le Covid-19 un cygne noir, à savoir un événement extrêmement rare, dont l’importance n’a d’égale que son imprévisibilité.

« Quoi qu’il en coûte » : la relance économique porte le risque de futures crises pandémiques

Ils se tromperaient lourdement tant les cris d’alerte quant à notre impréparation à faire face à des crises pandémiques de plus en plus probables se sont multipliés ces dernières années. Considérés rétrospectivement, les propos tenus par Bill Gates, le fondateur de Microsoft, lors de sa conférence Ted de 2015 – dans laquelle il annonçait que nous n’étions pas prêts à faire face à une pandémie – sont, par exemple, proprement vertigineux. La communauté scientifique internationale s’alarme depuis longtemps du poids des activités humaines sur l’augmentation de la probabilité de survenue de pandémies.

Les catalyseurs de ces scénarios pandémiques sont en effet multiples, et très bien documentés. Quelques considérations épistémologiques. « Que « les choses continuent comme avant » : voilà la catastrophe.

Quelques considérations épistémologiques

Elle ne réside pas dans ce qui va arriver, mais dans ce qui, dans chaque situation, est donné. »Walter Benjamin « C’est le négatif qu’il nous incombe encore de faire, le positif nous est déjà donné. »_ Franz Kafka En 1681, un auteur anglais nommé Thomas Burnet écrit Telluris Theoria Sacra et donne au mot catastrophe son sens moderne : un bouleversement fatal à une large échelle. [Photo : Jean-Pierre Sageot] Il suppose que la terre, autrefois parfaite et lisse, fut ravagée par une première catastrophe. « America First », de l’ambition hégémonique à l’effondrement sanitaire et social. Sous sa devise qui proclame sur fond noir « Democracy dies in darkness », le site Internet du Washington Post présente une carte mondiale de l’épidémie suivie d’un tableau actualisé plusieurs fois par jour du terrible décompte des cas et des décès dus au Covid-19.

« America First », de l’ambition hégémonique à l’effondrement sanitaire et social

Le 11 avril 2020, avec un nombre de morts qui dépasse désormais celui de l’Italie, les États-Unis sont passés en première position. Le slogan « America First » résonne alors de façon tragique. Les chiffres américains actuels sont-ils vraiment si inquiétants ? Les États-Unis comptent un peu moins de 330 millions d’habitants. Si l’on souhaite effectuer une comparaison entre le bilan humain enregistré dans ce pays immense et celui affiché par les pays d’Europe, il est préférable de considérer séparément la situation de chacun des États américains et de chaque pays européen en tenant compte non pas du nombre de décès absolu mais du nombre de décès pour 100 000 habitants.

(Tr)oppressé (1/10) - Sous haute tension. Straus-kahn. Le 5 avril 2020 par Dominique Strauss-Kahn Ancien ministre de l’Economie et des Finances,Ancien directeur-général du Fonds Monétaire International Une exclusivité Politique Internationale : voici, en avant-première, l’article que Dominique Strauss-Kahn vient de consacrer à la crise actuelle et à ses conséquences.

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