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Un thème le sexisme

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Publicité Ariel - Partageons les Taches. Féminisme, état des lieux - vidéo. L'étude du CSA sur le sexisme dans la pub montre l'étendue des choses à changer. SEXISME - Les stéréotypes et autres préjugés sexistes perdurent dans les publicités diffusées à la télévision, selon une étude réalisée par le Conseil supérieur de l'audiovisuel et rendue publique ce mardi 31 octobre.

Le CSA a analysé des spots diffusés juste avant 20h sur l'ensemble des chaînes de la TNT afin d'établir un constat de départ, à la suite de la loi Egalité et citoyenneté de janvier 2017, qui a étendu ses missions au respect de l'image des femmes dans les publicités à la télévision. "2000 spots ont été examinés, avec des résultats qui montrent le maintien de stéréotypes et de clichés qui sont parfois d'un autre temps et qui sont en décalage avec la société", a expliqué à l'AFPSylvie Pierre-Brossolette, membre du collège du CSA chargée du droit des femmes. Parmi les principales conclusions, les femmes sont globalement sous-représentées dans les spots (46% des personnes représentées alors qu'elles constituent 52% de la population française).

À voir également sur Le HuffPost: Publicités sexistes : « Tout ce qui renvoie à une image de soumission participe à l’inégalité » Une femme, jambes écartées, en talons et collants résille. Une autre, très amaigrie, penchée sur un tabouret dans une position explicite. Ces deux visuels de la marque de luxe Saint Laurent (YSL) ont été épinglés, lundi 6 mars, par l’Autorité de régulation professionnelle de la publicité (ARPP). Comment Disney et ses princesses «façonnent» les petites filles   Exposées à des déguisements de princesses Disney, des jeunes filles de 3 à 5 ans changent d’attitude, notamment vis-à-vis des garçons, ont observé des chercheurs américains.

Comment Disney et ses princesses «façonnent» les petites filles  

Une étude qui confirme les stéréotypes portés par de nombreux dessins animés du studio américain. Les garçons se battent et accomplissent des exploits pendant que des filles, passives, rêvent de leurs princes. Les studios Disney, notamment, sont accusés de mettre en scène ces stéréotypes, qui influenceraient les enfants du monde entier. Beth Wiersma, une chercheuse de l’Université d’État du Dakota du Sud, a démontré en 2000 que les personnages féminins dans les films de Disney étaient beaucoup plus susceptibles d’exécuter des tâches ménagères que leurs homologues masculins, tandis qu’on retrouvait les hommes six fois plus souvent en position d’autorité. Le générique de Desperate Housewives expliqué pour illustrer la citation ou le détournement d'image.