Socio-constructivisme

Qualité: à finaliserDifficulté: intermédiaire Amélioré par Fatou-Maty Diouf Tout comme chez Piaget et le constructivisme, le socio-constructivisme défend que l'individu construit ses connaissances par le biais de l'expérimentation et de la découverte. Néanmoins, cette approche met d'avantage l'emphase sur l'importance de l'environnement social et culturel dans l'apprentissage. Si la construction d'un savoir est personnelle, celle-ci s'effectue, cependant, dans un cadre social. Effectivement, l'individu n'est pas seul, il est entouré d'autres personnes qui ont un impact sur lui et son développement. Nous pouvons grossièrement distinguer deux approches du socio-constructivisme dans la littérature. Cette carte conceptuelle de Luca Guiachino donne une vue d'ensemble des approches et manières d'apprentissage du Socio-constructivisme: la zone proximale de développement (ZPD), la metacognition, le conflit socio-cognitif, la personne-plus et les situations d'apprentissage. 2.1 ZPD et pédagogie
Jean Piaget
Jean Piaget en 1967-1968. Jean Piaget, né le 9 août 1896 à Neuchâtel et mort le 16 septembre 1980 à Genève, est un biologiste, psychologue et épistémologue suisse connu pour ses travaux en psychologie du développement et en épistémologie à travers ce qu'il a appelé l'épistémologie génétique (ou structuralisme génétique). Ses travaux apportent un éclairage sur l'« intelligence », comprise comme une forme spécifique de l'adaptation du vivant à son milieu, ainsi que sur les stades d'évolution de celle-ci chez l'enfant. Jean Piaget est le fils aîné d'Arthur Édouard Piaget (1865-1952), professeur de littérature médiévale, et de la française Rebecca Susanne Jackson (1872-1942)[2], fille de William Fritz Jackson (petit-fils de James Jackson). À l'âge de onze ans, Jean Piaget, élève au collège latin de Neuchâtel, écrit un court commentaire sur un moineau albinos[3] aperçu dans un parc. Son intérêt pour les mollusques se développe après l'adolescence. Les notions de périodes impliquent que :
Résonance et agentivité
Nous sommes liés les uns aux autres par résonance et par empathie : par résonance, nous reflétons automatiquement les attitudes et les mimiques des autres, tandis que par empathie nous ressentons ce qu'ils éprouvent, ce qui nous permet de leur venir en aide. En revanche, l'agentivité nous garantit que nous sommes les maîtres de nos actes, ce qui évite toute confusion entre soi et autrui. Jacqueline Nadel et Jean Decety La contagion des émotions par résonance fait que si l’on voit quelqu’un pleurer, on est triste. Pourtant, des mécanismes d’inhibition font que l’on ne pleure pas. © Graham French / Masterfile Jacqueline Nadel est directeur de recherche dans le Laboratoire vulnérabilité, adaptation et psychopathologie, CNRS UMR 7593, à l’Hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Jean Decety, professeur de neurosciences sociales, dirige le Laboratoire de neurosciences cognitives et sociales de l’Université de Chicago. En résonance dès la naissance La capacité à relier une action et une perception...
A. Bandura. Auto-efficacité. Le sentiment d’efficacité personnelle
1Albert Bandura est docteur en psychologie et enseigne à l’université de Stanford (Californie). Il est l’auteur de L’Apprentissage social (Mardaga, 1985). 2Depuis les années 80, Albert Bandura s’intéresse au sentiment d’efficacité personnelle. Ce concept s’inscrit dans le cadre de la théorie sociocognitive (théorie issue du béhaviorisme et du cognitivisme). 3Le sentiment d’efficacité personnelle désigne les croyances des individus quant à leurs capacités à réaliser des performances particulières. L’expérience active de maîtrise est une des sources les plus influentes sur la croyance en l’efficacité personnelle car elle est fondée sur la maîtrise personnelle des tâches à effectuer. 4Ces quatre sources d’information permettent aux individus d’acquérir un certain degré d’efficacité personnelle pour un comportement donné.
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