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E-learning letter - actualité & stratégies e-learning. Les productions théoriques - Balas-Chanel-ABC Développement - formations, analyse de pratiques, formation de formateurs. SITE Patrick ROBO. Développer un syllabus de cours. 28 septembre 2010 par Amaury Daele Étymologiquement, un syllabus est une « table des matières » (Altman & Cashin, 1992).

Dans l’enseignement supérieur, on s’accorde en général à dire qu’un syllabus est une présentation générale d’un cours qui reprend toutes les informations à savoir par les étudiant-e-s à son sujet: table des matières, objectifs, planification des activités, modes d’évaluation, informations pratiques, etc. (NB: En Belgique francophone, on appelle un syllabus ce qu’on appelle ailleurs un polycopié – ou « polycop' » – c’est-à-dire les notes du cours préparées par l’enseignant-e et reprenant tous les contenus chapitre par chapitre et éventuellement des exercices.

En anglais, on parlera éventuellement dans ce cas de textbook ou coursebook). L’objectif d’un syllabus est surtout descriptif. Il s’agit d’expliquer de quoi un cours parle et comment il s’organise. Il n’y a pas vraiment de règle générale concernant les informations que devrait contenir un syllabus. WordPress: Neurosciences. Initiatives et Innovations Pedagogiques. Bulletin électronique Infobulle, veille techno pédagogiques sur la FOAD et les TIC - Acteurs FPC. Infobulle est un bulletin mensuel pour accompagner les organismes de formation de la Région des Pays de la Loire dans le développement des formations ouvertes et à distance. Le fonds documentaire d'Infobulle s'enrichit en permanence avec une trentaine de sites d'informations rigoureusement sélectionnés et analysés chaque mois. Afin de répondre aux besoins de tous, Infobulle a introduit des ressources autour du "Développement Durable" dès 2004, mais sans bousculer vraiment le classement des thématiques.

Actuellement, les Compétences-clés s’imposent comme des références de la formation dans l’Europe et, depuis janvier 2009, les nouvelles thématiques d’Infobulle intègrent cette structuration : Pour consulter les numéros précédents :Les archives d'Infobulle Télécharger l'Infobulle n° 160 – Octobre 2016. Les 4 piliers de l'apprentissage d'après les neurosciences. D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. 1. L’attention L’attention est la capacité que nous avons à nous ouvrir à la réalité : l’attention ouvre notre esprit. Audrey Akoun et Isabelle Pailleau, auteurs de La pédagogie positive, la définissent comme Le mouvement cérébral qui va nous permettre d’orienter notre action en fonction d’un objectif, d’un centre d’intérêt… Grâce à elle, nous captons, par nos cinq sens, les différentes informations en provenance soit de notre environnement, soit de notre ressenti émotionnel ou psychologique.

Stanislas Dehaene ajoute que l’attention sert à sélectionner les informations, module massivement l’activité cérébrale et facilite l’apprentissage. Mais l’attention peut être sélective. Quelles conséquences pour l’enseignement ? 2. Stanislas Dehaene écrit : 3. 4. Les modes d'apprentissage : anciens et nouveaux médias de l'enseignement. Les modes d'apprentissage : anciens et nouveaux médias de l'enseignement De tout temps les modes et les conditions d'accès au savoir ont constitué un enjeu majeur pour le développement des personnes et des groupes sociaux. Ainsi, les " lieux de savoir " (temples, monastères, universités, musées…) ont-ils joué des fonctions centrales pour la création, la conservation, la protection, et la transmission des savoirs.

Ces fonctions se trouvent profondément bouleversées aujourd'hui par l'entrée dans ce que l'on appelle désormais une " société de la connaissance ". Le développement des réseaux dont, bien sûr, Internet, l'apparition de formes de mondialisation, de mutualisation mais aussi de commercialisation des savoirs, la dématérialisation des économies et le développement quasi-exponentiel des investissements immatériels rendent les processus d'actualisation ou de renouvellement des compétences plus indispensables que jamais.