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Chine

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Tianjin : plus de 100 morts, des habitants évacués par crainte d’une pollution chimique. Les habitants de la zone proche du site des explosions qui ont secoué mercredi le port de Tianjin, dans le nord-est de la Chine, étaient en cours d’évacuation samedi 15 août, par crainte d’une contamination par des composants chimiques toxiques, a annoncé l’agence de presse officielle Chine nouvelle. Le dernier bilan officiel fait état de 104 morts et 720 blessés. Vingt et un pompiers figurent parmi les victimes et d’autres sont portés disparus, ce qui fait de l’événement la catastrophe la plus meurtrière en Chine pour les soldats du feu depuis soixante ans. De nouvelles déflagrations ont retenti dans la matinée sur la zone portuaire touchée, projetant dans les airs une épaisse colonne de fumée noire, tandis que les autorités tentent toujours de maîtriser les incendies provoqués par les explosions de mercredi.

Selon l’Institut national de recherche et de sécurité (INRS), les cyanures de sodium et de potassium ne sont pas inflammables ni combustibles. Substances chimiques dangereuses. La Chine parvient à stabiliser sa croissance. LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Harold Thibault (Shanghaï, correspondance) Le gouvernement de Pékin parviendra-t-il à stabiliser l’économie chinoise ?

C’est la question qui est désormais ouvertement posée alors que la deuxième puissance mondiale traverse une phase de turbulences. Des signes positifs ont été donnés en ce sens, mercredi 15 juillet, les statisticiens faisant état d’une progression du PIB de 7 % sur un an au deuxième trimestre de 2015, un rythme similaire aux trois mois précédents, tout juste en ligne avec l’objectif fixé pour l’année et plus rapide que ne l’anticipaient la majorité des économistes. Stabilisation après quatre baisses des taux d’intérêt Dans la mesure où les officiels au niveau local ont tendance à enjoliver les données qu’ils fournissent à l’administration centrale en temps de ralentissement, ces chiffres ne doivent être lus qu’à titre indicatif. L’économie chinoise maintient le cap à grand renfort d’interventions de l’Etat. Pourquoi la Chine dévalue le yuan. LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Harold Thibault (Shanghaï, correspondance) Dans un mouvement inattendu, la Chine a dévalué sa monnaie de près de 2 %, mardi 11 août au matin.

Cette annonce revient de fait à apporter un coup de pouce aux régions dont l’économie repose principalement sur les exportations – qui ont reculé de 8,3 % sur un an en juillet –, tout en concédant un rôle plus important à la loi de l’offre et de la demande dans l’établissement du taux de change du yuan. Une exigence du Fonds monétaire international (FMI) pour que la monnaie chinoise rejoigne ses devises de réserve. A la différence des Etats-Unis ou de la zone euro qui laissent le niveau des changes s’établir librement, la République populaire établit administrativement chaque matin un cours pivot autour duquel sa monnaie ne pourra pas varier de plus de 2 %, à la hausse ou à la baisse.

Effondrement des marchés. Retour en chiffres sur treize ans de présence occidentale en Afghanistan. L'OTAN a officiellement mis fin mercredi à sa présence en Afghanistan. En 13 ans, au moins 17 000 civils afghans ont été tués dans la guerre contre les talibans. Après treize ans de présence, l'armée française a officiellement quitté l'Afghanistan mercredi 31 décembre. Un retrait qui correspond à la fin de la mission de l'Organisation du traité de l'Atlantique nord (OTAN) dans le pays. Treize années d'une intervention militaire occidentale post-11 Septembre marqué par le déploiement de centaines de milliers d'hommes, de nombreuses victimes civiles et militaires pour un résultat bien fragile.

Lire l'analyse : L’OTAN se retire, l’armée afghane livrée à elle-même 140 000 C'est le nombre de soldats de l'OTAN présents en Afghanistan en 2011, au plus fort de l'engagement de la coalition internationale. Début 2015, environ 12 500 militaires resteront sur place avec pour objectif d'assister et de former l'armée afghane, dans le cadre de la mission « Soutien résolu ». Après Pékin, la Corée du Sud étend sa zone de défense aérienne. La mer de Chine, inquiétante zone de périls. L’océan Pacifique porte de moins en moins bien son nom. Depuis des mois, l’on ne compte plus les incidents, provocations et intimidations entre la Chine et ses voisins. Tous ses voisins, au premier rang desquels les Etats-Unis, puissance navale dominante de cette partie du globe depuis 1945. Le dernier épisode est symptomatique de cette inquiétante escalade. Le 23 novembre, unilatéralement, Pékin a instauré une « zone aérienne d’identification » sur une grande partie de la mer de Chine orientale (celle-ci s’étend de la Corée du Sud à Taïwan et englobe, notamment, le petit archipel des îles Senkaku, administré par le Japon et revendiqué par la Chine).

Pour protester contre cette initiative, les Américains, puis les Japonais et les Sud-Coréens ont dépêché, à trois reprises, des avions militaires dans cette zone controversée. Avant que la Chine ne réplique en faisant d...

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