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La butte « Sepp Holzer », « Hugelkultur »!

La butte « Sepp Holzer », « Hugelkultur »!
La butte »Sepp Holzer » est une très ancienne technique utilisée depuis des siècles en Europe de l’Est, appelée aussi là-bas « Hugelkultur« …et elle apporte de nombreux avantages…dans tous types de terrains… As-tu vu les vidéos de Sepp Holzer, le paysage de son exploitation?…c’est rempli de buttes, ce qui ajoute d’ailleurs un magnifique relief à son terrain…mais pas que ça… Il explique très bien tout cela dans son livre « La permaculture de Sepp Holzer« , mais je vais te dévoiler ici en quelques mots sa méthode…que tout le monde peut reproduire chez soi… As-tu déjà observé comment se portait la végétation sur des anciens tas de branches et de troncs décomposés, ou sur de vieux talus? Sepp utilise ce qu’il a sur place comme matériaux. En re-créant le cycle naturel de la forêt, où les végétaux (arbres, branches, feuilles,…) tombent sur le sol, se décomposent…et nourrissent leurs successeurs, grâce à la vie du sol. Quels sont les avantages à construire une ou des buttes « Hugelkultur« ?

http://www.lapermaculture.info/permaculture-du-sol/la-butte-permaculture-sepp-holzer-ou-hugelkultur

Tour d’horizon des légumes perpétuels et vivaces A une époque où l’on cuisine du durable (et pas que de lapin) à toutes les sauces, peut-être est-il bon de réfléchir à de nouvelles manières d’envisager nos propres légumes. Le jardinage ne serait-il pas lui aussi soumis à la frénésie consumériste au même titre que le reste? Nos légumes actuels sont le fruit d’une sélection basée sur une certaine façon de cultiver, de "consommer" le jardin. Buttes en "Hugelkulture" de Sepp Holzer, Autriche Chez Sepp Holzer, ce n'est pas à la pelle et à la pioche, mais au tracto-pelle que sont créées les buttes de culture selon le principe d'hugelkulture, sur une propriété de 45 ha. C'est au Krameterhof, que ce superman de la permaculture exerce une activité d'agriculture durable très diversifiée, en réinstallant des écosystèmes complets comprenant cochons, yaks, poissons d'élevage, des centaines d'espèces de fruitiers, de légumes, de céréales..., sur des flancs de montagne, auparavant plantés de pins en monoculture (produisant la fin de la biodiversité, l'érosion, des innondations...) Faire un tas en "hugelkulture" consiste à empiler toute sorte de matériaux bio-dégradables allant du tronc d'arbre entier à la pelouse arrachée avec sa terre... en passant par une vieille couverture en laine... ! Le sol ainsi constitué sera aéré et permettra la libre circulation de l'eau et de la grande diversité d'êtres vivants qui vont y trouver le gîte et le couvert. JooComments powered by Bullraider.com

C’est quoi, la biointensive ? Il y a plus d’un siècle, des maraîchers pratiquaient autour de Paris une méthode de culture intensive qui leur permettait, dans une région où la place était déjà comptée, de produire, de manière totalement biologique (les engrais chimiques et les pesticides n’étaient pas encore inventés), des grandes quantités de légumes d’excellente qualité, à partir de surfaces très réduites. L’apparition de la mécanisation, les progrès des moyens de transport et les engrais ont relégué cette méthode à de rares jardins d’amateurs éclairés : il était possible de produire plus loin de Paris, en quantité suffisante. Pourtant, de nombreux jardiniers auraient tout intérêt à en connaître les grands principes.

La culture sur buttes (fiche technique) Pour les bonnes raisons de pratiquer la culture sur buttes, voir ici. Deux grands courants pratiquent la culture sur buttes : le premier d’inspiration biointensive, le second d’inspiration permaculturale. La biointensive cherche en gros à maximiser le rendement aussi vite que possible en utilisant tous les moyens biologiques à disposition du jardinier. La permaculture recherche plutôt à imiter la nature, et à éviter les pratiques trop coûteuses en travail, quitte à obtenir un rendement plus faible ou à prendre plus de temps pour obtenir un résultat. Mais les deux ont des points communs, notamment l’utilisation des buttes, la création d’un écosystème complet, l’amélioration du sol. 1.

Votre jardin vous fatigue ? Buttez-le ! A en croire certains jardiniers, leur activité est une longue et épuisante lutte contre la nature : arracher sans trêve des mauvaises herbes qui repoussent toujours plus fortes. Retourner tous les ans un sol dont la seule préoccupation semble être de se tasser encore et toujours. Arroser encore et encore, ou, au choix, s’ingénier à drainer des sols gorgés d’eau. Et souvent au même endroit à quelques semaines d’intervalle. Jardin-forêt Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un jardin-forêt non comestible à Paris. Un jardin-forêt ou forêt nourricière est un jardin créé selon le modèle de la forêt naturelle. Il comporte différents étages de végétation tels des grands arbres (fruitiers ou à coques), des arbustes ou arbrisseaux (petits fruitiers), des buissons (à baies ou aromatiques) et des plantes herbacées (légumes vivaces, plantes aromatiques et médicinales). Il est conçu pour fournir une production alimentaire variée et nécessitant peu de travail.

Les légumes perpétuels Voici une curieuse façon de cultiver un potager mais que les futés du jardinage adopteront volontiers. Parmi les légumes, un certain nombre peuvent survivre plusieurs années et continuer à produire pendant de longs mois. Plus besoin de labourer, semer et conserver la récolte ! Rustiques, ils peuvent pousser partout en France, parmi les fleurs ou le potager pourvu que l’endroit soit ensoleillé. Les légumes perpétuels sont souvent proches des espèces sauvages aussi leur saveur souvent typée fait le bonheur des gourmets. On le dit perpétuel car vous n’avez pas besoin d’arracher la plante pour consommer les bulbes et il reste en place de nombreuses années.

Les plantes Compagnes La présence de chaque espèce dans un système donné est étroitement liée à celle des autres : arbres, oiseaux, mammifères, insectes et micro-organismes du sol vivent en relation intime. L'association de cultures favorise la création de milieux riches, diversifiés et plus équilibrés. Une couverture végétale est créée, elle protège le sol de l'érosion, favorise l'infiltration de l'eau, réduit l'évaporation et par sa décomposition, améliore la fertilité et la structure du sol.

Collection de 6 légumes perpétuels (1 Chou Daubenton,1 Poireau perpétuel,1 Ail rocambole,1 Oignon rocambole,1 Chénopode, 1 Raiponce) 1 chervis, 1 Oignon rocambole,1 Chou Daubenton,1 oseille épinard,1 Ail,1 cive Famille: Mixtes Fatigué de semer et de planter tous les ans, vous avez renoncé au potager? Essayez donc notre collection de légumes anciens perpétuels. Une fois en terre, vous les récolterez plusieurs années...sans trop forcer! La collection comprend : - 1 chervis : le goût de ce poireau est plus doux que celui des variétés courantes. Jardinage : Construire un châssis Débutant 1/2 journée Le jardinier qui sommeillait en vous se réveille et vous avez des envies de châssis pour le forçage de vos jeunes plants en début de printemps, à l’abri des pluies, des dernières gelées et des limaces. Alors, lancez-vous dans la construction d’un châssis en bois. La solution la plus simple : une ancienne fenêtre, quelques planches, une dizaine de vis et juste un peu de patience. Voici une méthode simple pour construire un châssis. Matériel pour construire un châssis

Poêle fusée (rocket stove) - On loge à pied… Nous sommes fiers de vous annoncer que nous allons passer l’hiver au chaud, en ne consommant que du bois, et encore assez modérément… car nous avons découvert le Rocket-stove (littéralement « poêle-fusée »). C’est un poêle de masse à auto-construire. Enfin, les puristes me pardonneront, ce n’est pas un « vrai poêle de masse », mais un poêle à inertie. En bref, ce système de chauffage est magique pour les raisons suivantes : la facilité de sa mise en œuvre (3 jours à 3 personnes)son faible coût de construction (pour nous, au total, environ 450€, tubage de la cheminée inclus)l’économie de consommation de bois qu’il permet de faire comme un poêle de masse car il permet de restituer toutes les calories du bois brûlé (les gaz qui sortent son presque froids, et de plus, il permet de valoriser le petit bois et les essences à combustion rapide comme le peuplieril permet de brûler le bois de façon très écologique : à la sortie il n’y a pas de fumée seulement du CO2 et de la vapeur d’eau

Créer une mare naturelle Les plantes immergées dans l’eau peuvent être fixées au fond, simplement en les lestant avec une motte d’argile et en les lançant aux endroits choisis. Pour les autres plantes, creusez des trous de 5 à 15 cm de profondeur et plantez. La meilleure époque de plantation se situe de mars à juin. Les poissons sont à bannir des mares. En effet ils sont beaucoup trop voraces et auraient vite fait de dévorer les plantes et insectes faisant la richesse de votre mare.

Association de plantes Un article de Encyclo-ecolo.com. Les cultures associées ou l'association de culture L’alternance et l’association des cultures consistent à faire des cultures associées à leur mutuel bénéfice. Cette technique de cultures associées est aussi appelée "compagnonnage de plantes". Dans l'agriculture moderne, les associations d’espèces de plantes ont quasiment disparu. Principalement les associations de graminées et de légumineuses qui sont très fréquentes dans la nature, notamment dans les systèmes prairiaux.

Les adventices au potager Quel jardinier n’a jamais pesté contre une herbe envahissante au potager : “mes cultures sont envahies par cette saloperie…”. Pourtant, chaque plante spontanée, chaque herbe, outre l’abri qu’elle constitue pour toute une faune utile, joue un rôle essentiel au jardin. Jamais elle n’est là par hasard, mais elle répond au contraire à un besoin (un manque, un excès, un déséquilibre…) L’objectif de cet article est ainsi de mieux connaître quelques adventices (le terme que devrait employer tout jardinier bio) fréquemment rencontrées au potager, non pas non pour chercher à tout prix à les éradiquer, mais plutôt pour comprendre les raisons de leur présence et mettre en oeuvre les actions en découlant (décompactage du sol, apport ou non de matières organiques, cultures d’engrais verts…) ou simplement l’accepter, sachant que lorsqu’elle aura rempli son rôle, une adventice disparaîtra d’elle même pour, en général, laisser place à une végétation moins gênante pour les cultures…

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