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Le mythe du digital native

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Les Z, ces « digital intuitives » La facilité d’accès aux supports numériques, le rapport intuitif aux nouvelles technologies et la familiarité fascinante avec le web social des membres de la génération Z redéfinissent les moyens de communication dans leur vie quotidienne.

Les Z, ces « digital intuitives »

De plus, ils leur offrent de nouvelles perspectives d'expression personnelle. Digital natives : démythifier le mythe des « natifs vs immigrants » du numérique (1) Digital natives (4) : désormais tous nomades à l’école. Cet article vient compléter la série sur les digital natives publiée précédemment.

Digital natives (4) : désormais tous nomades à l’école

Dans le mythe du « natif du numérique » (digital native) déjà évoqué pour The Conversation France et qui émerge en 2001 à travers les écrits du chercheur américain Marc Prensky, le rôle central joué par le phénomène de panique générée par les médias mérite d’être approfondi. Cette panique des « natifs vs immigrants » prend les médias prénumériques, avec des « contenus du patrimoine » (heritage content, dit Prensky) à leur propre piège. Ils se retrouvent à la fois juge et partie, devant ajuster leurs routines au déboulement d’un nouveau venu dans leur champ, Internet. Un média chasse (un peu) l’autre Dans ce double rôle, les médias ne sont plus de simples fenêtres sur le monde ou des filtres de la réalité, mais des opérateurs de changement.

Digital natives (1) : démythifier le mythe des « natifs vs immigrants » du numérique. Le mythe du « natif du numérique » (digital native) émerge en 2001 sous la plume du chercheur américain Marc Prensky dans un article publié en deux volets intitulé « Digital Natives, Digital Immigrants) ».

Digital natives (1) : démythifier le mythe des « natifs vs immigrants » du numérique

Il se fonde sur une idée principale polarisante : les jeunes nés après 1980 sont des indigènes du numérique de par leurs usages et ils apprécient les contenus « du futur » (future content) plutôt que ceux du « patrimoine » (legacy content). Leur style d’apprentissage et leur façon de traiter l’information sont radicalement différents de la génération des « immigrants du numérique » (digital immigrants). Digital natives (2) : la génération Y, l’entreprise et le pédagogue.

Le sujet des générations Y/Z suscite un intérêt croissant en entreprise, où il vient « rafraîchir » des thèmes plus anciens tels que le management intergénérationnel, la reconnaissance, l’exemplarité ou encore la marque employeur.

Digital natives (2) : la génération Y, l’entreprise et le pédagogue

En tant que professeur de management, cette question m’a interpellé en raison de sa prégnance lors des discussions avec des managers, mais aussi lors de rencontres organisées autour des grandes questions de l’entreprise et du management. Pour autant, la communauté académique ne s’est pas véritablement mobilisée pour analyser la réalité des questions sous-jacentes. Digital natives (3) : le monde au bout des doigts. Dans la société de l’image et de l’instantané, les jeunes générations ont les pensées « kaléidoscopes ».

Digital natives (3) : le monde au bout des doigts

Ils peuvent tout faire en même temps… regarder un film sur YouTube, parler avec un ami, envoyer un SMS, regarder le temps qu’il fait dehors, et imaginer la minute qui va suivre… pourvu qu’ils en changent le cours. En effet, plus de 75 % des jeunes ne peuvent s’imaginer un monde sans le web]( Aller vite et bien Il est vrai que depuis les années 90, les digital natives ont été nourris aux séries, à la Télé réalité, aux CD Rom, aux DVD Rom, à l’encyclopédie sur le net, à l’arrivée d’Internet et de MSM, de ICQ, des SMS, des Tatoos, Tribu et dès 2005 de Facebook. Les jeunes générations ont donc pris l’habitude d’aller vite et bien… à la recherche d’informations qui somme toute étaient virtuelles. Les digital natives existent-ils.

Dans ce cadre conceptuel renouvelé privilégiant le continuum entre technique et culture plutôt que l'opposition binaire entre mythe et réalité, il nous faut considérer les digital natives comme une figure performative, un être de papier qui fait agir et qui par-là se trouve doté d'une existence empirique.

Les digital natives existent-ils

Ainsi, parce qu'ils sont évoqués dans les représentations de l’échelle des âges imaginaires du numérique, les digital natives remplissent un rôle fonctionnel bien réel, celui de passeur d’usage intergénérationnel : « Le téléphone mobile avec le clavier non tactile, j'ai commencé à en être addict quand mes filles habitaient loin de moi. Ces messages courts, c'étaient ma seule façon de communiquer avec elles car au téléphone, elles ne répondaient pas.

Les «natifs du numérique» n'existent pas  Les jeunes de 2016 sont-ils différents des adultes ayant la charge de les éduquer? Chercheurs et journalistes proposent maints slogans prenant valeurs de concepts. Une étude qualitative sur les "Digital Natives" (15/24 ans) Les adolescents et Internet : en finir avec les idées reçues. Ils s’appellent Zoé, Mathys, Julie ou encore Loïc.

Les adolescents et Internet : en finir avec les idées reçues

Ce sont des adolescents qui n’ont pas connu « le monde sans internet ». Pour cette raison, On dit souvent d’eux qu’ils sont des « digital natives » dotés de capacités innées, inscrites même dans leur développement biologique . On voit en eux aussi souvent des consommateurs passifs du numérique, aliénés aux logiques économiques déployées sur les réseaux. On va même jusqu’à les considérer comme des « mutants », étranges êtres d’une sphère lointaine… et pourtant si proche. Bref, de Zoé, Mathys, Julie et les autres, on dit beaucoup de choses. La parole aux adolescents. Natifs du numérique. Kids Speak Out on Student Engagement. A while back, I was asked, "What engages students? " Sure, I could respond, sharing anecdotes about what I believed to be engaging, but I thought it would be so much better to lob that question to my own eighth graders. The responses I received from all 220 of them seemed to fall under 10 categories, representing reoccuring themes that appeared again and again.

So, from the mouths of babes, here are my students' answers to the question: "What engages students? " 1. Working with their peers "Middle-school students are growing learners who require and want interaction with other people to fully attain their potential. " "Teens find it most interesting and exciting when there is a little bit of talking involved. 2. "I believe that when students participate in "learning by doing" it helps them focus more. "We have entered a digital age of video, Facebook, Twitter, etc., and they [have] become more of a daily thing for teens and students. 3. "I believe that it all boils down to relationships. 4. Generation Z and the Future of Technology. La génération Y est elle impossible à former ?

La « Génération Y » est elle composée de « Digital natives » forcément passionnés de Technologies de l’Information et de la Communication (TIC)?

La génération Y est elle impossible à former ?

L’usage de ces technologies serait il un moyen infaillible d’intéresser les « jeunes » salariés et de leur permettre d’apprendre? « Digital natives »? « Nos étudiants ont radicalement changé. Les étudiants d’aujourd’hui ne sont plus ceux que notre système d’éducation a été conçu pour enseigner » s’exclamait Marc Prensky dans son article « Dignital Natives, Digital Immigrants« , publié en 2001. Pour lui, l’irruption des TIC au sens large représente une véritable rupture: « les étudiants d’aujourd’hui pensent et traitent l’information fondamentalement différemment de leurs prédécesseurs ». Après la génération Y, la génération C ! La relation de la génération Y au numérique.

Les étudiants ne sont pas des mutants ! Par Laure Endrizzi, Chargée d’étude et de recherche au service Veille et Analyses, Institut français de l’Éducation (ENS de Lyon) Il ne suffit pas d’être pratiquant des technologies pour développer des usages experts quand on enseigne ou quand on apprend.

Les étudiants ne sont pas des mutants !

Cela vaut pour les enseignants qui ont aujourd’hui, peu ou prou, adopté la bureautique et sont devenus des grands consommateurs de technologies standard (diaporama et courriels), mais dont les usages en matière d’informatique connectée restent le plus souvent cantonnés à la sphère privée. "Génération quoi", la série documentaire sur la génération Y. Emmanuelle Duez : "La génération Y est un symptôme de la remise en cause des entreprises"

A quoi ressemblera l’entreprise de demain ?

Emmanuelle Duez : "La génération Y est un symptôme de la remise en cause des entreprises"

C’est le sujet sur lequel nous travaillons au sein de The Boson Project. Nous sommes persuadés qu’elle n’aura rien à voir avec l’entreprise d’aujourd’hui. Le monde est confronté à un changement de paradigme et il est nécessaire de mobiliser le capital humain des entreprises pour répondre aux nouveaux enjeux qu’il fait naître. L’entreprise de demain sera agile. Elle devra pouvoir se disloquer pour retrouver sa capacité à expérimenter. L’un des sujets les plus importants, dans le cadre de ces multiples changements, est le passage du contrôle à la confiance.

Faut-il poser des limites à la transparence ? De nouvelles limites viendront se poser de façon naturelle, car la transparence fait peur. Constatez-vous une forme de défiance du monde de l’entreprise envers la génération Y ? La Génération Y, génération apprenante, génération exigeante ? La Génération Y, est une notion souvent abordée, dont aujourd’hui chacun se saisit à sa façon et y apporte sa propre définition. Ce concept est ainsi vu comme une sorte de nébuleuse incompréhensible. On le retrouve principalement dans les sciences de l’éducation et dans la culture managériale. C’est d’ailleurs cette dernière qui y apporte une définition la plus synthétique : « La Génération Y désigne les personnes nées entre 1978 et 1994. […] Cette génération, qui a grandi avec l’ordinateur, Internet et les nouvelles technologies, se caractériserait par la recherche constante de nouveauté et d’épanouissement personnel, une certaine impatience, l’hostilité envers les formes traditionnelles de hiérarchie, le désir de progresser rapidement, la volonté de sortir du lot et l’envie de concilier travail, vie personnelle et engagement citoyen. » Les Y deviennent également de plus en plus acteurs de leurs propres apprentissages.

Générétion Y et Z - une grille de lecture simplificatrice. Les adolescents et Internet : en finir avec les idées reçues.