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Neurosciences

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Le cerveau à tous les niveaux. Qu’est-ce qu’on a vraiment dans la tête ? Les cellules gliales doivent interagir avec les neurones pour pouvoir fonctionner efficacement.

Qu’est-ce qu’on a vraiment dans la tête ?

Cette conférence décrit ces cellules, leurs fonctions et leurs interactions dans le cerveau normal mais aussi en situation pathologique. Les cellules gliales, sont dix fois plus importantes, en quantité, que les cellules nerveuses de notre cerveau. Elles occupent l'espace laissé vacant par les neurones. Ces cellules créent, autour d'eux, une sorte de microenvironnement qui les isole de tout contact avec les autres tissus.

Leur nom vient du terme "glu". Écouter Les cellules du cerveau : qu’est-ce qu’on a dans la tête ? Une conférence enregistrée en mars 2018, dans le cadre de la "Semaine du Cerveau 2018", organisée par le Département d'études cognitives de l'ENS. Alain Bessis, directeur de recherche au CNRS, professeur attaché à l’ENS. Mémoire (INSERM) Dossier réalisé en collaboration avec le Pr. Francis Eustache, Directeur de l'unité Inserm-EPHE-UCBN U1077 "Neuropsychologie et neuroanatomie fonctionnelle de la mémoire humaine" – Octobre 2014 La mémoire repose sur cinq systèmes de mémoire © Inserm, G.

Auzias/S. Recherche à suivre : Mémoire (INSERM) Cerveau et Apprentissage. Neuroéducation, apprentissage et enseignement. A la découverte du cerveau - Fédération pour la Recherche sur le Cerveau (FRC) Les activités physiques Rester actif est sans doute ce que l’on peut faire de mieux pour la santé de son cerveau. De nombreuses études l’ont démontré : faire de l’exercice physique régulier favorise le bon fonctionnement du cerveau.

Il améliore l’humeur, diminue l’apparition de troubles cognitifs et stimule le renouvellement des neurones et l’apparition de nouvelles connexions entre eux. > En savoir plus Les activités intellectuelles Tout comme le reste du corps humain, le cerveau doit être entretenu pour le maintenir en bonne santé. > En savoir plus L’alimentation Nous savons tous aujourd’hui qu’avec une alimentation équilibrée, saine et en quantité suffisante, nous aurons toutes les chances d’être en bonne santé.

> En savoir plus L’anatomie du cerveau et du système nerveux Le cerveau constitue le centre de contrôle du corps humain, il gère tout ce que nous faisons. > En savoir plus. Bataille des cerveaux. Prise de décision : mon cerveau choisit-il à ma place ? Sommes-nous libres des décisions que nous prenons ?

Prise de décision : mon cerveau choisit-il à ma place ?

Qu’est-ce qui conduit nos choix ? Le libre arbitre peut-il se traduire au niveau neurologique. Bref, qu’est-ce qui préside à nos prises de décisions ? Une question qui occupe les philosophes depuis les origines de nos civilisations, et à laquelle les neurobiologistes ont commencé à apporter des réponses complémentaires depuis le milieu du 20ème siècle. Des expériences réalisées ces dernières années tendent même à prouver que notre cerveau s’active plusieurs secondes avant le début de la prise de décision consciente. Prise de décision : mon cerveau choisit-il à ma place ? Le reportage du jour Est-il possible de modifier les stratégies de prises de décision ? Écouter 6 min LA_METHODE_SCIENTIFIQUE - Reportage "expérience sur la prise de décision chez des souris" à l'Institut des Neurosciences de Paris Saclay. Séminaire « Le Corps du Texte » L'oubli (INSERM) Courbe oubli Ebbinhaus(DRHAT) Consolidation mnésique (DRHAT) ExpérienceMemoEssentiels(DRHAT)

BiologieApprentissage(DRHAT) Éducation, plasticité cérébrale et recyclage neuronal - Psychologie cognitive expérimentale - Stanislas Dehaene - Collège de France - 06 janvier 2015 09:30. Dans le domaine de l’apprentissage, il est vain d’opposer l’inné et l’acquis, l’environnement et l’hérédité.

Éducation, plasticité cérébrale et recyclage neuronal - Psychologie cognitive expérimentale - Stanislas Dehaene - Collège de France - 06 janvier 2015 09:30

Dès 1949, le psychologue canadien Donald Hebb l’énonce : Deux facteurs déterminent la croissance intellectuelle : un potentiel inné, absolument indispensable, et un environnement stimulant, tout aussi indispensable. Il est inutile de se demander lequel est le plus important. On pourrait supposer que l’intelligence croît jusqu’à la limite fixée par l’hérédité ou par l’environnement – le minimum des deux. Dans un environnement parfait, c’est la structure innée qui donne le rythme ; mais en partant d’une hérédité de génie, c’est l’environnement qui domine. Les neurosciences contemporaines confirment qu’il n’existe aucune contradiction à affirmer, simultanément, l’origine génétique des principaux circuits du cerveau humain, et leur capacité à se modifier sous l’effet de règles d’apprentissage, elles-mêmes gouvernées par des mécanismes cellulaires et moléculaires innés. Les grands principes de l'apprentissage (Stanislas Dehaene)

Dehaene-piliers apprentissage (transcript) L’apprentissage de l’orthographe - Psychologie cognitive expérimentale - Michel Fayol - Collège de France - 20 novembre 2012 14:30. Peut-on décoder la conscience ? Dehaene Grands Principes De L'Apprentissage (College De France 2012) Les neurosciences peuvent-elles éclairer l'éducation? - Franck Ramus. Quand les neurosciences rencontrent l’éducation. Eric Gaspar - LA NEUROPEDAGOGIE OU COMMENT APPRENDRE A MIEUX APPRENDRE. Les neuromythes - Elena Pasquinelli. On n'utilise que 10% de son cerveau - Les idées reçues de Max Bird.