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Qu'est-ce que la démocratie. La démocratie est un régime politique dont le principe est celui du gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple.

Qu'est-ce que la démocratie

Il s’oppose à des régimes où le pouvoir est détenu par une seule personne, la monarchie absolue par exemple, ou par un petit groupe d’individus, ce que l’on appelle l’oligarchie. Plusieurs formes d’exercice du pouvoir par le peuple (l’ensemble des personnes ayant le statut de citoyen) sont possibles. On parle alors de démocratie directe ou de démocratie représentative, cette dernière étant la plus répandue. Dans le cadre d’une démocratie représentative, les citoyens élisent des représentants qui vont exercer le pouvoir en leur nom : ce sont des élus. En France, nous trouvons des représentants à plusieurs niveaux : local (une commune, un département, une région) ou national (Assemblée nationale, présidence de la République).

Le droit de vote accordé aux citoyens ne suffit pas pour qualifier un régime politique de démocratique. France Culture - La Grande Table - L'historien et la démocratie. Second volet de notre réflexion sur les failles de notre démocratie et les idées pour y remédier.

France Culture - La Grande Table - L'historien et la démocratie

L'historien Michel Winock nous parle de son rapport "Refaire la démocratie" qui part du constat que "nos régimes peuvent être dits démocratiques mais [que] nous ne sommes pas gouvernés démocratiquement" (Pierre Rosanvallon, Le bon gouvernement) . Comment faire progresser la démocratie? Comment remédier au défaut de représentativité des institutions démocratiques? France Culture - Fabrique de l'Histoire - Les citoyens et l'exercice du pouvoir. Une histoire (1/4) : Crise de la représentation : quelles sont les alternatives ? La notion de représentation en politique est de plus en plus violemment contestée.

France Culture - Fabrique de l'Histoire - Les citoyens et l'exercice du pouvoir. Une histoire (1/4) : Crise de la représentation : quelles sont les alternatives ?

Nées au Brésil, dans les forums sociaux mondiaux, les ZAD, les mouvements d’occupation des places de type « Occupy », Indignés, Nuit debout… tour d’horizon des alternatives à la démocratie représentative avec Yves Sintomer, professeur au département de science politique de l'Université de Paris 8 et directeur adjoint du Centre Marc Bloch de Berlin dans le cadre de la journée spéciale "France Culture ouvre le Grand débat". On disait les démocraties occidentales épuisées, les opinions publiques indifférentes à la chose politique. Le mouvement des Gilets Jaunes ne vient-il pas démentir ce genre d'analyses ? Yves Sintomer : J’ai toujours défendu l’idée qu’il ne s’agit pas en réalité d’un désintérêt pour le politique, mais pour une certaine politique institutionnelle.

Bibliographie Musique diffusée. Démocratie(s) ? — #DATAGUEULE. Le grand entretien : radicaliser la démocratie. Le mythe de la démocratie réelle. Aujourd'hui Caroline Broué et Antoine Mercier reçoivent Sandra Laugier , professeure de philosophie à l’université Paris-I Panthéon-Sorbonne, et Albert Ogien , directeur de recherches au CNRS, pour leur dernier essai, Le Principe Démocratie - Enquête sur les nouvelles formes du politique , paru aux éditions La Découverte.

Le mythe de la démocratie réelle

Dans leur précédent ouvrage, Pourquoi désobéir en démocratie ? , les deux auteurs analysaient la multiplication des actes de désobéissance civile en régime démocratique. Dans ce nouvel essai ils se penchent, avec un regard à la fois sociologique et philosophique, sur l'expansion du domaine de la désobéissance en examinant les nouveaux mouvements de protestation qui revendiquent une "démocratie réelle", par opposition à la démocratie représentative, et les révoltes contre les dictatures.

Musique diffusée : People have the power , Patti Smith. Pour réecouter la première partie de l'émission cliquez ici. France Culture - Concordance des temps - Actualité de Démosthène. En 1926, Georges Clemenceau, alors âgé de 84 ans, rédigea, pour l’offrir à Marguerite Baldensperger, son ultime amour, un essai consacré à Démosthène. Après d’autres, il donnait à Démosthène la figure du dernier grand homme d’Athènes avant que ne disparut sa liberté du fait des conquêtes de Philippe II, roi de Macédoine, et de l’empire créé par le fils de celui-ci, Alexandre le Grand.

Ce portrait, peint avec une verve juvénile, se fondait sur une assimilation historique implicite mais limpide avec lui-même, pourfendeur des défaitistes de 1917. Entendez au premier rang Joseph Caillaux, coupable, aux yeux du Tigre, d’avoir songé à accepter des concessions envers l’envahisseur allemand. Et Clemenceau de stigmatiser la faiblesse du peuple athénien, n’apportant au courage du leadeur qu’un soutien insuffisant et intermittent.

Programmation sonore : - Lecture d’un extrait de Contre Midias de DEMOSTHENE , par Daniel MESGUICH dans Les après-midi de France culture , le 15 décembre 1975. France Culture - Fabrique de l'Histoire - Histoire des Assemblées (1/4) : Naissance d'une assemblée à Athènes. France Culture - Fabrique de l'Histoire - Les citoyens et l'exercice du pouvoir. Une histoire (2/4) : Figures de la participation citoyenne dans la Grèce antique. France Culture - Fabrique de l'Histoire - Libéralisme (3/4) : Les penseurs du libéralisme au XVIIIe. Peut-on parler d'un ou de plusieurs libéralismes au siècle des Lumières ?

France Culture - Fabrique de l'Histoire - Libéralisme (3/4) : Les penseurs du libéralisme au XVIIIe

Et que pouvait signifier ce libéralisme dans une société d'Ancien régime ? On peut remonter un peu avant, au milieu du XVIIe siècle, en particulier avec les théologiens jansénistes qui vont imaginer une société qui n'est plus tout à fait régulée par les liens politiques, religieux et moraux mais également par les liens de ce qu'ils appellent "l'amour propre éclairé", c'est-à-dire une forme d'intérêt individuel.

Et de celui-ci va émerger une forme d'optimum social diraient les économistes, quelque chose qui va engendrer un intérêt collectif pour la société. France Culture - Démocratie (1/3) : Démocratie et libéralisme, je t’aime moi non plus ? Débat : « La démocratie représentative est-elle à bout de souffle ? » - 28 minutes - ARTE. Podcast de la revue « Conflits » - Tocqueville Et L'Amérique. France Inter - La marche de l'Histoire - Alexis de Tocqueville. Au cœur de la pensée de Tocqueville, il y a cette conviction, nourrie de son expérience des États-Unis : la liberté est plus efficace que les actes d'autorités décidés d'en haut. C’était il y a bien longtemps, Valery Giscard d’Estaing imaginait que deux Français sur trois pourraient devenir de vrais libéraux habités par l’esprit de mesure et le respect des autres.

En 1848, quand Alexis de Tocqueville se soumit aux premières élections au suffrage universel – masculin, et qu’il fut élu, il avait lui aussi pensé qu’avec un peu de temps, beaucoup d’éducation et des influences sociales bénéfiques, les individus pourraient être conduits à faire un bon usage de leur liberté. tels qu’il les a vus en 1830 : la liberté, en répandant son énergie dans tout le corps social s’avère bien plus efficace que les actes d’autorité décidés d’en haut. Chili, l'autre 11 septembre (1/4) : « La révolution Allende » Un documentaire de Alain Devalpo et Jean-Philippe Navarre - Premier volet Jusqu’aux attentats à New York, en 2001, la journée du 11 septembre évoquait le coup d’état au Chili et la mort du président socialiste Salvador Allende, en 1973.

Chili, l'autre 11 septembre (1/4) : « La révolution Allende »

A l’époque, le gouvernement américain n’était pas la cible du terrorisme. Chili, l'autre 11 septembre (2/4) : « Les braises de l'espoir » Un documentaire d'Alain Devalpo et Jean-Philippe Navarre - Deuxième volet Jusqu’aux attentats à New York, en 2001, la journée du 11 septembre évoquait le coup d’état au Chili et la mort du président socialiste Salvador Allende, en 1973.

Chili, l'autre 11 septembre (2/4) : « Les braises de l'espoir »

A l’époque, le gouvernement américain n’était pas la cible du terrorisme. Au contraire, il fut le chef d’orchestre d’une campagne de terreur qui déboucha sur une dictature au sud du continent. A l’occasion des 40 ans de cet épisode historique, ce feuilleton documentaire propose d’aller à la rencontre de témoins qui ont traversé ces quatre décennies. Chili, l'autre 11 septembre (3/4) : « Le flambeau de l’utopie » Un documentaire d'Alain Devalpo et Jean-Philippe Navarre - Troisième volet Jusqu’aux attentats à New York, en 2001, la journée du 11 septembre évoquait le coup d’état au Chili et la mort du président socialiste Salvador Allende, en 1973.

Chili, l'autre 11 septembre (3/4) : « Le flambeau de l’utopie »

A l’époque, le gouvernement américain n’était pas la cible du terrorisme. Au contraire, il fut le chef d’orchestre d’une campagne de terreur qui déboucha sur une dictature au sud du continent. A l’occasion des 40 ans de cet épisode historique, ce feuilleton documentaire propose d’aller à la rencontre de témoins qui ont traversé ces quatre décennies. Ils avaient construit une utopie. Chili, l’autre 11 septembre (4/4) : « Canto Libre » Un documentaire de Luis Briceno et Jean-Philippe Navarre - Quatrième volet En confrontant un vieil électrophone portable, une incroyable collection de 33 tours et les auteurs de ces disques, Sur les Docks retrace l’histoire du mouvement culturel qui se développe au Chili en 1970 en parallèle à l’accès au pouvoir de l’Unité Populaire de Salvador Allende.

Chili, l’autre 11 septembre (4/4) : « Canto Libre »

Au-delà de la chanson contestataire, nous découvrirons la puissance de liberté et d’expérimentation d’un mouvement qui marqua l’Amérique latine et les liens de ses artistes avec la France, avant et après le coup d’état du 11 septembre 1973. Avec les témoignages de : Pourquoi la démocratie ne nous protège plus ? La démocratie, garante de pluralité ou système politique vertical à bout de souffle?

Pourquoi la démocratie ne nous protège plus ?

La juriste Monique Chemillier-Gendreau nous éclaire à ce sujet dans "Régression de la démocratie et déchaînement de la violence" (Textuel, 2019), son dernier ouvrage. Rendez-vous avec l’auteure de Régression de la démocratie et déchaînement de la violence, un court essai où la juriste Monique Chemillier-Gendreau dresse les plans d’une nouvelle architecture mondiale pour une société plus juste. Au lendemain du G7 et tandis que manifestations et contestations de toutes sortes se multiplient, l'auteure affirme la violence comme inhérente à toute société humaine et pose la question de sa légitimité.

La violence serait l'écho tragique d'une forme de surdité du pouvoir. Pour contenir celle-ci, il s'agit d'accepter le caractère multiple des démocraties et des peuples qui les constituent.