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Actualité articles 2 - vieillissement

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Limite de Hayflick. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Limite de Hayflick

Découverte d'une molécule-clé du vieillissement. Découverte d'une molécule-clé du vieillissement Des chercheurs américains du Collège de médecine Albert Einstein ont identifié un nouveau mécanisme impliqué dans le vieillissement biologique.

Découverte d'une molécule-clé du vieillissement

Ils ont ensuite pu utiliser ce mécanisme pour accroître de 20 % l’espérance de vie d'un groupe de souris. Ces scientifiques ont découvert que plus les souris vieillissaient, plus le niveau de la protéine NF-kB augmentait dans l'hypothalamus de ces rongeurs. En bloquant l'action de cette protéine, ces chercheurs ont pu augmenter à 1.100 jours l’espérance de vie des souris, alors que celle-ci est en moyenne de 800 jours. Ces recherches ont également montré que les souris dont la protéine avait été bloquée conservaient une meilleure masse musculaire, des os plus solides, et une meilleure mémoire que leurs congénères du groupe témoin. Le gène du vieillissement découvert. Des chercheurs en biologie de l'Université de Fribourg ont mis en évidence, chez le ver nématode, un gène, présent également chez l'être humain, qui pourrait être au centre d'un système génétique coordonnant le développement, la reproduction et le vieillissement.

Le gène du vieillissement découvert

Le vieillissement est caractérisé par une détérioration des fonctions physiologiques qui mène inéluctablement à la mort. Cette dégradation de l'organisme augmente considérablement le risque de pathologies liées à l'âge, telles que le cancer, le diabète, les maladies cardiovasculaires et neurodégénératives. Le secret du vieillissement. Adeline Mantyk Un biologiste résout l’énigme de la longévité des palourdes multicentenaires, une découverte déterminante pour l’avenir de la science du vieillissement cellulaire.

Le secret du vieillissement

Dans sa quête des palourdes Arctica Islandica, Daniel Munro a mis à contribution les pêcheurs de la province : les espèces les plus âgées peuvent se nicher jusqu’à 60 m de profondeur! (source: USDA/Public domain). Daniel Munro, doctorant en biologie à l’UQAR, a fait la découverte du secret de la longévité d’un type de palourdes, Artica islandica, l’animal vivant le plus longtemps sur Terre. Stress oxydant, vieillissement cellulaire. L’oxygène est indispensable pour vivre, mais il est également toxique !

Stress oxydant, vieillissement cellulaire

L’organisme a besoin d’oxygène pour vivre et pour produire de l’énergie. Cette énergie permet à notre organisme de vivre (d’effectuer de l’exercice physique, de bouger, de manger…). Cependant, une partie de cet oxygène n’est pas utilisée correctement et c’est cette petite partie de l’oxygène qui produit des déchets toxiques : des espèces réactives de l’oxygène que l’on appelle radicaux libres. Ceux-ci deviennent néfastes pour un certain nombre de molécules organiques comme nos gènes, nos protéines ou nos lipides. En effet, les protéines deviennent raides et les lipides deviennent rances. Les radicaux libres sont des molécules qui possèdent un ou plusieurs électrons non appariés (libres). Le stress oxydant est tout simplement un déséquilibre entre la production de radicaux libres et la capacité des mécanismes protecteurs de l’organisme à neutraliser ces composés toxiques avant qu’ils occasionnent des dégâts.

La dépression fait vieillir les cellules ! Le Cri (Skrik en norvégien) es un tableau expressionniste du peintre Edvard Munch.

La dépression fait vieillir les cellules !

Cette œuvre symbolise l’homme moderne emporté par une crise d’angoisse profonde. Ses cellules devaient probablement vieillir à toute allure… © Christopher Macsurak, Flickr, cc by 2.0 La dépression fait vieillir les cellules ! Comment l’espace accélère le processus du vieillissement humain ? Comme si les astronautes, qui séjournent dans l’espace, n’avaient pas déjà assez de problèmes liés à la santé, une nouvelle étude démontre que les conditions de microgravité accélèrent le vieillissement biologique et l’apparition de maladies cardio-vasculaires en affectant les cellules des vaisseaux sanguins.

Comment l’espace accélère le processus du vieillissement humain ?

Autrement dit, les êtres humains ne sont pas faits pour l’espace. Même après de courtes expositions à la microgravité, les astronautes subissent une atrophie musculaire, la perte de leur densité osseuse, des déficiences de la réponse immunitaire et un déconditionnement cardio-vasculaire. Syndrome de vieillissement précoce. Cet article est extrait de l'ouvrage « Larousse Médical ».

syndrome de vieillissement précoce

Toute affection se caractérisant par des manifestations de vieillissement cutané survenant très tôt dans la vie. Différents types de vieillissement précoce Les syndromes de vieillissement précoce sont très rares et, le plus souvent, d'origine héréditaire. On en distingue trois types. Progéria. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Progéria

La progéria, ou syndrome de Hutchinson-Gilford, est une maladie génétique extrêmement rare[1] qui provoque des changements physiques qui ressemblent fort à une sénescence accélérée de ceux qui en sont atteints (vieillissement accéléré dès la première ou la deuxième année). Il n'y a pas de traitement spécifique connu. Historique[modifier | modifier le code] Maladie rarissime décrite en 1886 par Jonathan Hutchinson[2] et par Hastings Gilford en 1897[3].

Syndrome de Werner. Acrogeria. Acrogeria (also known as "Gottron's syndrome"[1]) is a cutaneous condition characterized by premature aging, more especially in the form of unusually fragile, thin skin on the hands and feet (distal extremities).[1] The prefix "acro" stems from the Greek akros which alludes to "extremity, tip" while the suffix "geria" comes from the Greek gerôn which means "elder".

Acrogeria

This is one of the classic congenital premature aging syndromes, occurring early in life, among which are: pangeria (Werner's syndrome), progeria (Hutchinson-Gilford's syndrome) and acrogeria (Gottron's syndrome) and was characterized in 1940.[2] Onset is in early childhood, it progresses over the next few years and then remains stable over time with morphology, colour and site remaining constant. A bruising tendency has been observed.[3] It is believed that Gottron syndrome may affect more females than males. Approximately forty cases have been reported in the medical literature, since the discovery of the disorder.