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Innovation mangement

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Bernard Stiegler: «L’accélération de l’innovation court-circuite tout ce qui contribue à l’élaboration de la civilisation» «Disruptif». Le terme, dixit le dictionnaire de l’Académie française, dérive du latin disrumpere, «briser en morceaux, faire éclater». Dans le langage des entreprises du numérique, «l’innovation disruptive», c’est l’innovation de rupture, celle qui bouscule les positions établies, court-circuite les règles du jeu, impose un changement de paradigme. De Google à Uber, la «disruption» bouleverse nos vies connectées. Mais à quel prix ?

Directeur de l’Institut de recherche et d’innovation du centre Pompidou, fondateur de l’association Ars Industrialis, le philosophe Bernard Stiegler consacre son travail aux effets des mutations technologiques. Dans son dernier ouvrage, Dans la disruption, comment ne pas devenir fou ? (éditions Les liens qui libèrent), il analyse ce phénomène qui «prend de vitesse les organisations sociales» au risque de la désintégration et de la mélancolie collective. Vous décrivez la disruption, cette accélération de l’innovation, comme une «nouvelle forme de barbarie». Le truc génial de Mirego pour booster la fierté de ses employés! Un luxueux petit livre noir... Photo: Mirego Le 2 juin dernier, quelque 200 personnes faisaient la fête dans les tout nouveaux locaux québécois de Mirego, une firme spécialisée dans les applications mobiles, lorsque quelque chose d'inattendu est survenu en fin de soirée.

Chacun s'est en effet vu remettre un exemplaire d'un luxueux petit livre noir dont la couverture indiquait simplement «Culture Book - 1ère édition». De quoi s'agissait-il? D'un livre splendide de près de 200 pages, imprimé sur du beau papier et richement illustré. D'un livre, oui, mais d'un livre inédit puisqu'il présente en long et en large toute la culture de l'entreprise qui a collaboré à la création, entre autres, de l'application de La Presse+ et de celle qu'utilisent les vendeurs de Bombardier pour présenter sur iPad les appareils du constructeur aéronautique québécois. Découvrez mes précédents billets Mon groupe LinkedIn Ma page Facebook Mon compte Twitter Le principe est simple... Résultat? Télétravail dans le secteur privé.

Matériel de travail Lorsque le télétravail s’exerce à domicile, l’employeur doit fournir, installer et entretenir les équipements nécessaires au télétravail. Cette obligation doit être respectée si les installations électriques et les lieux de travail sont conformes. Si, exceptionnellement, le télétravailleur utilise son propre équipement, l’employeur en assure l’adaptation et l’entretien. Protection des données L'employeur a une obligation de protection des données utilisées et traitées par ses salariés, y compris le télétravailleur.

Cette obligation s'applique que le télétravailleur utilise le matériel de l'employeur ou son propre matériel. Information sur l'usage des équipements L'employeur informe le salarié de toute restriction d'usage d'équipements ou outils informatiques ou de services de communication électronique. L'information doit prévenir l'utilisateur des sanctions en cas de non-respect de ces restrictions. Priorité à l'accès à un poste sans télétravail Entretien annuel. Le corpoworking, un état d'esprit à insuffler chez les grands groupes | L'Atelier : Accelerating Innovation. Les entreprises en mal d'innovation auraient tout intérêt à se diriger vers le corpoworking, qui, en permettant d'intégrer l'esprit du coworking en leur sein, aurait la capacité de favoriser l'open innovation.

Dans le cadre de l’événement des Tiers Lieux organisé par l'Atelier et qui aura lieu demain 4 juin 2015, Nathanaël Mathieu, co-fondateur du cabinet de conseil LBMG Worklabs s'exprime sur l'émergence du corpoworking. L'Atelier : Le coworking en entreprise (ou corpoworking) n'est pas un concept récent, mais il subit depuis quelques temps une évolution. A quoi est-elle due ? Nathanaël Mathieu : Il y a beaucoup de visions différentes du coworking.

Si sa dynamique (et notamment celle du corpoworking) se débloque, c'est aussi en lien avec le développement des espaces dédiés (de 0 à 300 espaces en 8 ans). Le coworking est quelque chose de reconnu en France, c'est pourquoi de plus en plus d'entreprises souhaitent s'en inspirer pour faire évoluer leur conception du travail. « Le bore out est un déficit de la motivation autonome » Moins connu que le burn out, mais tout aussi délétère, le syndrome du bore out était au programme de la soirée-débat organisée par le Club Agora du Développement RH jeudi dernier, en présence de Jérôme Tougne, directeur associé du cabinet Stimulus*. Aussi étonnant que cela puisse paraître, l’ennui peut faire des ravages sur la santé, au même titre que l’excès de stress. « Alors que le burn out est une pathologie du stress, le bore out est un déficit de la motivation autonome » explique Jérôme Tougne, qui précise que le bore out n’est pas une entité clinique définie, mais une série de troubles issus de la sous-occupation au travail : mélancolie, tristesse, manque d’intérêt, ralentissement psychomoteur, culpabilité (« je suis payé à ne rien faire »), dévalorisation, trouble du sommeil, indécision.

Un tableau clinique qui ressemble à celui de la dépression. Qui est concerné ? Une pathologie de la privation Le bore out est également une pathologie de la privation de besoins non satisfaits. Ces outils digitaux qui augmentent l'engagement des collaborateurs. Les entreprises peuvent tenir compte des attentes de leurs salariés grâce à une nouvelle solution : les softwares d'engagement.

La France est championne du monde… du désengagement au travail, selon une étude menée par Steelcase et Ipsos en 2015. La cause ? Des bureaux bruyants, un manque d'intimité ou des objectifs peu liés à la réalité. Pour éviter cette situation et prendre en compte les attentes des salariés, les entreprises se laissent séduire par des solutions qui permettent d'écouter les collaborateurs en temps réel : les logiciels d'engagement.

"Les pays anglo-saxons ont compris depuis plusieurs années qu'il était possible de s'appuyer sur les outils digitaux pour stimuler l'engagement de tous au travail. D'ailleurs, les pionniers du secteur de l'engagment software, viennent de là-bas. La plateforme ZestMeUp propose plusieurs modules. Autre solution innovante proposée par les softwares d'engagement, les sondages. "Je pense que l'avenir est aux softwares d'engagement. Et aussi. 0316 Manager Un Collaborateur En Télétravail ? De plus en plus d’entreprises font le choix du télétravail à différents niveaux de collaboration, transition digitale oblige : Nos terminaux en tout genre nous permettent de travailler à distance par l’échange d’information en temps réel, et nous disposons presque tous d’une connexion Internet, où que nous nous trouvions.

Par ailleurs, le besoin d’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle est de plus en plus présent, et il est prouvé que sa prise en compte par l’entreprise améliore sa productivité globale. CQFD. Les effets du télétravail sur la productivité Le télétravail est alors choisi pour plusieurs raisons : Il est réputé notamment pour ses vertus d’améliorateur de la qualité de vie des salariés, et pour sa capacité à réduire les coûts pour l’entreprise. Le télétravail améliore aussi la productivité en renforçant l’autonomie des équipes et en favorisant l’équilibre vie pro-vie perso des collaborateurs.

Les risques du télétravail Manager en réinventant l’évaluation. Le management collaboratif, gage de performance pour l’entreprise - Courrier cadres. Management De nouvelles pratiques managériales sont à l’honneur depuis quelques années : après le management agile ou humain, la tendance est aujourd’hui au management collaboratif. Il place l’homme au centre de l’organisation, bouleversant ainsi les modes organisationnels traditionnels reposant sur un système hiérarchique et pyramidal. Les précisions de Pascal Christin, consultant CSP Formation en management et leadership. Le management collaboratif est l’envie de faire ensemble, d’aimer faire ce que l’on fait avec les autres et de grandir ensemble chacun à son rythme.

Poursuivre un objectif communCette pratique favorise la coopération au sein des équipes et avec les managers. Ce principe managérial prend en compte l’intérêt et les objectifs communs pour donner l’envie et la motivation à chacun de performer, et ce en toute autonomie. Favoriser la prise d’initiative et la créativitéAujourd’hui, les modèles hiérarchiques et pyramidaux de nos sociétés ne fonctionnent plus ! Les Bonnes Questions du Manager Agile #1: De quoi as-tu besoin... Une question de manager Agile, un élément de base du Servant Leadership, une question de Leader tout simplement… Le problème… vous le connaissez déjà… Alors vous qui me lisez, quand cette question vous a-t-elle été posée pour la dernière fois? Et vous autres Managers, quand l’avez vous posée pour la dernière fois? Le déficit est évident! Pourtant c’est une Clé pour la relation de confiance Même si certaines réponses pourront parfois, notamment les premières fois, être déstabilisantes (de concision… « Besoin de Rien » ou pour leur côté excessif), la question pose une intention et permet incontestablement d’entrer en relation.

Le manager s’intéresse de manière effective à l’activité se son collaborateur, et lui propose son soutien. C’est une clé pour l’Action Dans certains cas compliquées, cette simple question peut devenir une bouffée d’oxygène qui peut débloquer certaines situations. C’est une clé pour l’Action ET la Responsabilisation C’est une Clé pour l’Auto-organisation… aussi!

Follow Me: La fin de la hiérarchie est-elle un mythe ? | Obifive HR Valley le blog. Agilité, horizontalité, intelligence collective, structure plate… Ces termes inondent nos journaux, résonnent dans toutes les conférences et s’affichent allègrement sur les « slides » de tout bon RH moderne. Il semble en effet qu’une profonde réflexion sur le management et la répartition du pouvoir dans les organisations soit à l’œuvre. Tant mieux. Pour autant, ces discours sur la liberté des salariés et l’abolition des titres laissent à penser que nous irions vers un modèle d’organisation sans hiérarchie, un « monde sans chef ». Est-ce vraiment le cas ? Un modèle sans hiérarchie est-il réellement réalisable, et surtout est-il souhaitable ? Bureaux de Zappos à Las Vegas – © Robert Scoble via Flickr Erhard Friedberg, le célèbre sociologue et co-fondateur, avec Michel Crozier, de l’école française de sociologie des organisations, tenait ce 1er décembre une conférence* à Sciences Po sur ce thème : « la fin de la hiérarchie dans les organisations : illusion ou révolution ?

Pauline Rochart. Cinq conseils pour en finir avec le management à l'ancienne. Management Le 16/09/2014 La transformation du travail à l’ère de la mondialisation numérique s’accélère. On choisit de plus en plus d’être son propre patron, et un nombre croissant d’entreprises et de travailleurs indépendants traitent par le biais de plateformes en ligne. Dans certains secteurs du monde des affaires, des stratégies innovantes sont en train d’émerger et misent sur une plus grande liberté et un plus grand choix accordés à tous les employés quant à leur lieu et leurs méthodes de travail. Des forces majeures sous-tendent cette mutation du travail, comme les rapides avancées que connaît le domaine des technologies de la communication, la mondialisation, les changements démographiques en matière de main-d’œuvre et le besoin urgent de lutter contre le changement climatique.

Dans le cadre de nos recherches pour la rédaction de mon livre, Future Work, nous avons découvert que les entreprises qui parviennent à implanter de nouvelles pratiques de travail ont beaucoup à y gagner. Quelques mots sur le travail collaboratif. Le terme "collaboratif" est assez répandu sur le web, nombreux étant les projets et travaux menés en commun par des groupes de personnes organisés selon des méthodes dérogeant un peu des méthodes de travail "traditionnelles". On pensera par exemple à GNU /Linux, Wikipédia (et tous les Wiki d'ailleurs), ou encore Framasoft... Dans les entreprises, et pour la plupart d'entre nous, ce n'est pas vraiment une façon habituelle de travailler. Et pourtant, il peut y avoir de nombreux avantages au travail collaboratif, à condition de s'y prendre de la bonne façon, et d'éviter certains écueils. J'ai trouvé à ce sujet des tonnes de ressources extrêmement complètes sur le web, mais qui nécessitent de vraiment se plonger dans le sujet.

Voici donc quelques idées synthétiques issues de ces lectures et de ma propre expérience, en renvoyant vers les sources si tu veux en savoir plus. Les caractéristiques du travail collaboratif Allez, une petite définition pour faire le mec qui a creusé le sujet : Avantages et inconvénients du travail collaboratif | Travailler en collaboration. De nos jours, de plus en plus d’entreprise favorise le travail collaboratif. C’est maintenant devenu une nécessité d’utiliser les technologies de l’information et de communication (TIC) dans les organisations, notamment pour l’intégration du travail collaboratif en entreprise.

Les principaux outils du travail collaboratif sont : le courriel, le clavardage, la vidéoconférence, les portails, l’intranet, les Wikis et les forums. L’organisation tire du travail collaboratif une multitude d’avantages. Voici les bénéfices recherchés par l’organisation qui utilise une solution collaborative selon le site Web La venue du travail collaboratif dans une organisation entraîne des avantages et des inconvénients à l’entreprise elle-même mais aussi à ceux qui la compose soit les employés qui ont à travailler en collaboration. WordPress: J’aime chargement… Les 4 piliers du management collaboratif. Face aux transformations techniques, les entreprises prennent progressivement conscience de l'inadaptation de certains modes de management, autrefois sources de performance.

L'entrée dans le XXIème siècle aura été marquée par une accélération de l'évolution de notre société, que ce soit sur le plan économique, technologique ou social.Face à ces transformations, les entreprises prennent progressivement conscience de l'inadaptation de certains modes de management, autrefois sources de performance. Se posent alors de nouvelles questions :* Comment s'adapter à un environnement imprévisible et en permanente mutation ?

* Comment faire face à de nouveaux concurrents, venus de toute part et de plus en plus "agressifs" ? * Comment répondre aux besoins de clients de plus en plus impatients, exigeants et individualistes ? * Comment rester serein dans un contexte de crise financière ? Parce que plus de la même chose produit les mêmes effets… Vers un renouveau managérial… 4ème pilier : la CONVIVIALITÉ. Le world café : le brainstorming qui efface les clivages hiérarchiques. Originaire des Etats-Unis, cette méthode met en avant l'intelligence collective et développe des pistes concrètes pour les organisations. Le brainstorming consiste bien souvent à réunir des participants autour d'une même table pour faire émerger des idées nouvelles. Le world café innove et propose un format tournant qui approfondit la réflexion et augmente le sentiment d'appartenance à un groupe.

Les origines : Le premier world café a été organisé en 1995 par Juanita Brown et David Isaac, deux universitaires américains qui ont par la suite formalisé leur protocole dans l'ouvrage Shaping Our Futures Through Conversations That Matters. L'organisation du world café : Dans un premier temps, une vingtaine de personnes est répartie autour de plusieurs tables de 3 ou 4 participants . Pour favoriser les échanges et éviter la lassitude, le format idéal est de 6 tables. Chacune d'entre elles compte un hôte qui dirige les débats et des ambassadeurs qui y participent.

Comment organiser des séminaires qui soient enfin efficaces. Mural.ly Mind mapping collaboratif. Guide pour créer un tiers-lieu (à destination des collectivités) Guide pour créer un tiers-lieu (à destination des collectivités) Les Chief Happiness Officers: nouveaux stratèges ? - Business O Féminin. Résolution 2014 : devenir un manager incontournable dans l'entreprise. Les 10 compétences-clés du monde de demain.