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Economie de la fonctionnalité

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L'"obsolescence programmée" des produits... - Enquêtes sur la consommation en France. L'"obsolescence programmée" par les fabricants pourra être punie comme une tromperie "sur la durée de vie du produit intentionnellement raccourcie lors de sa conception", prévoit un amendement écologiste voté vendredi dans le projet de loi sur la transition énergétique.

Cela pourra donc entraîner une peine de prison de deux ans au plus et une amende de 300.000 euros, au vu des sanctions prévues pour les autres types de tromperie jusqu'alors inscrits dans le code de la consommation. "Les produits que nous utilisons dans la vie quotidienne sont trop souvent programmés par le producteur pour ne plus fonctionner après un certain nombre d'utilisations. Ces pratiques sont néfastes pour l'environnement et pèsent sur le pouvoir d'achat des ménages", soulignent les auteurs de l'amendement, Eric Alauzet, Denis Baupin et Cécile Duflot.

Trop d'emballages? Prenez vos bocaux et allez à La Recharge à Bordeaux. ENVIRONNEMENT - Vous aviez pris l'habitude d'apporter vos sacs et paniers pour faire les courses, il faudra désormais ne pas oublier vos bocaux et autres tupperwares. Les Bordelais peuvent depuis ce mardi 8 juillet faire leurs courses dans la première épicerie sans emballage jetable de France. L'initiative existe déjà en Allemagne et en Angleterre. Cette épicerie baptisée La Recharge fonctionne comme un rayon géant de produits en vrac.

En apportant vos contenants, vous pouvez en prendre la quantité désirée, peser puis payer. Comme dans une épicerie classique, il sera possible d'acheter des pâtes, des produits frais, de la charcuterie, des produits d'entretien ou encore des boissons qui viendront de producteurs et d'usines de la région. La vente au détail et au poids n'est pas nouvelle en France. Des produits vendus sans emballage cela permet autant de réduire la quantité de déchets à traiter et à recycler que d'éviter le gaspillage en ne payant que pour la quantité désirée. Le BTP s’ouvre à l’économie circulaire - Entreprises de BTP. Réutilisation, écologie industrielle, économie de la fonctionnalité et, bien sûr, recyclage : l’économie circulaire, priorité du gouvernement, est en passe de modifier la façon d’envisager la construction.

Tour d’horizon avant la tenue le 17 juin à Paris des 1ères Assises de l’économie circulaire. Le schéma traditionnel de l’économie linéaire « extraire, fabriquer, consommer, jeter » a vécu ! Vivent les « 3 R » - pour réduire, réutiliser, recycler - du modèle de l’économie circulaire ! C’est le message que le gouvernement souhaite faire passer via la loi de programmation sur la transition énergétique, attendue en Conseil des ministres en juillet et dont l’économie circulaire constitue l’un des quatre piliers.

Mais quelles opportunités nouvelles ce système économique imaginé pour minimiser les prélèvements de ressources et les émissions polluantes peut-il proposer aux acteurs du secteur de la construction ? L’économie de l’intelligence face à la rareté Tout démarre par l’écoconception. Comment protéger les consommateurs de l’obsolescence programmée. La nouvelle loi sur la consommation s’applique aux achats réalisés depuis le 13 juin. Elle vise notamment à freiner « l’obsolescence programmé », la durée de vie de plus en plus courte des biens d’équipement électroniques et électroménagers.

Les consommateurs bénéficieront d’une garantie prolongée sur leurs achats et d’une meilleure information sur les possibilités, ou non, de réparer une défaillance. Des avancées qui demeurent cependant bien timides au vu de l’ambition initiale de la loi. Et si la « class action », l’action collective de consommateurs contre un fabricant, devient légale, elle ne pourra pas concerner la protection de l’environnement ni de la santé. Le lobbying industriel est passé par là.

Benoît Hamon a laissé une loi derrière lui avant son transfert du ministère de la Consommation à celui de l’Éducation. L’obsolescence programmée, fantasme ou réalité ? Nous changeons de smartphone en moyenne tous les 18 mois. Pratique commerciale trompeuse Rachel Knaebel. Economie de fonctionnalité. Contexte Définition Conséquences pour les fabricants Exemples Pour aller plus loin Contexte Avec les débats actuels sur la diminution des impacts environnementaux d’un facteur 4 ou 10, l’important nombre des produits de grande consommation, leurs changements rapides et les flux de déchets qui en résultent, les approches : « réparer au lieu de jeter » et « louer au lieu d’acheter » sont aujourd’hui d’actualité.

S’inscrivant dans cette logique, l’économie de fonctionnalité est une approche émergente qui vise à remplacer la vente de produits par la vente de l’usage. Définition L'économie de fonctionnalité consiste donc en la substitution de la vente d’un produit par la vente de l'usage. Cette approche a un bon nombre d’exemples de réussite à son actif : - Michelin facture les kilomètres parcourus par les camions équipés de ses pneus au lieu de les vendre - Xerox facture les photocopies à l’unité, au lieu de vendre ou de louer les machines Conséquences pour les fabricants Impacts pour l’entreprise :

Définition de l'économie de la fonctionnalité. L'économie de la fonctionnalité et de la coopération consiste à concevoir et à produire des solutions intégrant des biens et des services selon deux dynamiques : La première (stade 1 ) consiste à passer de la vente de biens ou de services, dissociés les uns des autres, à la contractualisation d'une performance d'usage et/ou d'effets utiles fondée sur leur intégration. La seconde (stade 2) consiste à élargir le périmètre des activités et des acteurs de telle manière que le saut systémique que cela engage permette à l'écosystème productif de prendre en charge des externalités négatives environnementales et sociales, repérables sur un plan territorial.

Ces solutions se contractualisent sur la base d'engagements réciproques, favorisant la convergence d'intérêts entre les différentes parties prenantes sur un plan territorial. Pour se pérenniser, l’économie de fonctionnalité a besoin de faire évoluer les dispositifs institutionnels d’innovation d’évaluation et de professionnalisation. L’actu tech de la Silicon Valley : Google et Facebook, nouvelles stars de l'environnement. Emballage à la demande : une solution écoresponsable ? Culture Numérique de l'enseignant Droits et Obligations. Emission : Développement durable - les blogs de LSA.