background preloader

Accords de libre-échange

Facebook Twitter

Libre-échange : une bonne décision de Trump. Trump a annoncé que les États-Unis allaient se retirer du Traité de libre-échange transpacifique.

Libre-échange : une bonne décision de Trump

La nouvelle est réjouissante. Tout simplement parce qu’un tel traité ne peut pas fonctionner à l’avantage des États-Unis ou du Canada. La plupart des États-membres sont des États qui d’une manière ou d’une autre dirigent et protègent leur marché intérieur. Croire qu’un traité commercial pourra contrer le protectionnisme systémique de ces pays relève d’une navrante naïveté. Comme si, pour prendre un exemple parmi tant d’autres, le Parti communiste du Vietnam allait renoncer à diriger l’économie du pays à travers son réseau. Négociations bilatérales et multilatérales Malheureusement, la véritable nouvelle dans l’abandon de ce traité est que les États-Unis ont décidé de ne plus négocier de manière multilatérale, mais de manière bilatérale.

Négocier de manière multilatérale veut dire s’asseoir à une table de négociation avec plusieurs pays à la fois. Tafta : la France réclame l’arrêt des négociations sur le traité de libre-échange transatlantique. Paris dénonce des discussions trop déséquilibrées entre les Etats-Unis et l’Europe.

Tafta : la France réclame l’arrêt des négociations sur le traité de libre-échange transatlantique

Les positions entre les deux camps seraient encore très éloignées. LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Cécile Ducourtieux (Bruxelles, bureau européen) et Cédric Pietralunga Après des mois de tergiversations, la France a décidé d’en finir avec les négociations concernant le traité de libre-échange transatlantique (appelé TTIP ou Tafta), censé doper les échanges commerciaux entre les Etats-Unis et l’Union européenne. « A la fin du mois de septembre, lorsque les ministres du commerce extérieur se réuniront à Bratislava pour avoir un échange sur ce sujet comme sur d’autres, je demanderai, au nom de la France, l’arrêt des négociations sur le Tafta », a annoncé Matthias Fekl, mardi 30 août, sur RMC. Lire aussi : Qu’est-ce que le Tafta, dont la France demande l’arrêt des négociations ? « La négociation s’est enlisée, les positions n’ont pas été respectées, le déséquilibre est évident. (...) #CETA : 3 minutes pour comprendre une imposture. L’accord de libre-échange CETA sera officiellement signé dimanche.

Les parlements de Wallonie, de Bruxelles-Capitale et de la Communauté francophone ont finalement accepté de valider le traité controversé entre le Canada et les Européens.

L’accord de libre-échange CETA sera officiellement signé dimanche

Le Monde.fr avec AFP et Reuters | • Mis à jour le Après deux semaines de psychodrame et de négociations marathon, le Parlement de Wallonie a donné son accord, vendredi 28 octobre, à la signature du CETA (Comprehensive Economic and Trade Agreement, ou accord économique et commercial global), traité de libre-échange entre l’Union européenne (UE) et le Canada. Il sera ratifié lors d’un sommet, dimanche, a précisé Donald Tusk, le président du Conseil européen. Le Parlement de région de Bruxelles-Capitale et celui de la Communauté francophone lui ont emboîté le pas en approuvant, comme cela était attendu, l’accord dans la soirée. La composition politique de ces entités, dirigées par des coalitions socialistes, est similaire à celle de la Wallonie.

M. Si le premier ministre fédéral Charles Michel, rival politique de M. Les anti-Ceta et Tafta se retrouvent pour une manifestation nationale. Plusieurs centaines de personnes manifestaient samedi après-midi à Paris pour dénoncer le Ceta, l'accord de libre-échange entre l'Union européenne et le Canada qui doit être signé le 27 octobre.

Les anti-Ceta et Tafta se retrouvent pour une manifestation nationale

Non au Ceta et au Tafta. C'est le message des opposants aux traités de libre-échange avec le Canada (Ceta) et avec les États-Unis (TTIP ou Tafta). De Quimper à Aix-en-Provence en passant par Macon, des mouvements de protestations ont été organisés dans 35 villes à l'appel du collectif Stop Tafta, qui regroupe des ONG comme Attac, les Amis de la Terre ou encore des syndicats. CETA : décryptage d'une semaine de rebondissements. - Libre-Echange.info. Contraint d’avoir l’aval de ses parlements régionaux, le gouvernement belge s’est en effet confronté à l’opposition de trois entités dans son pays : la région de « Bruxelles-capitale », la « communauté francophone » et le parlement wallon.

CETA : décryptage d'une semaine de rebondissements. - Libre-Echange.info

Après avoir affirmé leurs oppositions ces trois entités ont forcé au report du sommet UE – Canada, prévu de longue date le 27 octobre. Ce report est une vraie victoire pour la société civile, retrouvez la réaction du collectif Stop TAFTA. Craignant la mort du CETA, et soucieux de trouver une solution rapide pour éviter la cristallisation des contestations, la Commission européenne et le gouvernement canadien ont dégainé leur meilleurs atouts pour parer à cette situation : pleurs en direct de la ministre canadienne du commerce [1], pressions sur le parlement wallon [2], etc.

Le gouvernement belge a été enjoint de réunir les opposants autour de la table et de trouver une « sortie de crise » rapide. Tout comprendre au CETA, le « petit-cousin » du traité transatlantique. Le traité de libre-échange entre l’Union européenne et le Canada entre en vigueur jeudi.

Tout comprendre au CETA, le « petit-cousin » du traité transatlantique

LE MONDE | • Mis à jour le | Par Maxime Vaudano Il aura fallu près d’une décennie pour que l’Union européenne (UE) et le Canada parviennent à se doter d’un partenariat commercial. L’accord économique et commercial global (AECG), plus connu sous son acronyme anglais CETA (Comprehensive Economic and Trade Agreement), est provisoirement entré en vigueur jeudi 21 septembre, huit ans après le démarrage des négociations, en 2009. Ses défenseurs le présentent comme l’archétype d’un accord commercial moderne et bien négocié, qui va ouvrir des opportunités aux entreprises européennes sur le marché canadien. Le traité compte toutefois de nombreux détracteurs, qui estiment qu’il menace l’agriculture, les services publics et les politiques publiques favorables à la santé et à l’environnement.

Si les premiers ont gagné la première manche, les seconds n’ont pas dit leur dernier mot.