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Culture numérique

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Déferlement de tweets homophobes et racistes : la défaite de Twitter ? Après le « hashtag » (mot clé dont s’emparent les utilisateurs) #SiMonFilsEstGay, qui a fait plonger Twitter samedi dans le pire du réseau social, on s’enfonce un peu plus avec le nouveau #SiMaFilleRamèneUnNoir.

Déferlement de tweets homophobes et racistes : la défaite de Twitter ?

Ces deux apparitions ont de plus permis de ressortir #UnBonjuif, retiré par Twitter en octobre après de nombreuses plaintes d’associations. Déferlement d’homophobie primate, de racisme et de misogynie, création de comptes avec deux ou trois « followers » (abonnés), écriture adolescente, réactions scandalisées de « twittos » (utilisateurs de Twitter) influents qui ont propagé ce détournement de l’outil, lui permettant d’accéder au rang envié de « Trending topics » (sujets les plus discutés sur le réseau)... « Une loi contre l’homophobie, ce serait bien » En parler, ou pas ? RT (« retweeter », reproduire) les parodies les plus drôles ou pas, jouer à « monsieur et madame MonFilsEstGay ont un fils, comment s’appelle-t-il ? Ou bien laisser s’autodétruire cette explosion de conneries ?

Je me souviens de mon voyage d'avant Facebook. Ce billet clôt un sorte de « dossier Facebook » après les témoignage de la maman, du musicien et du blogueur.

Je me souviens de mon voyage d'avant Facebook

Les deux premiers ont décidé de quitter le célèbre réseau social. Ce n’est pas tout à fait le cas ici, juste le constat d’une situation d’avant qui avait son charme, sa nostalgie, voire son authenticité… Une vie moins « affichée » A life less posted. High-Tech : Anonymous ne soutient plus WikiLeaks. Les hacktivistes regrettent l'instauration d'une zone payante sur le site de WikiLeaks et dénoncent les dérives de l'organisation de Julian Assange.

High-Tech : Anonymous ne soutient plus WikiLeaks

Des documents accablants devraient bientôt être publiés. C'est la fin d'une histoire débutée fin 2010. À cette époque, les hacktivistes d'Anonymous avaient soutenu WikiLeaks, critiqué de toute part après la publication de télégrammes diplomatiques américains secrets, en conduisant plusieurs attaques par déni de service contre les sites de MasterCard, Visa et Paypal. Depuis lors, Anonymous n'avait cessé de défendre ce site et son fondateur, Julian Assange. Pourtant, ce jeudi, le collectif a annoncé la rupture de ses liens avec WikiLeaks, et dénonce une «trahison». Cette décision coïncide avec la mise en place sur le site de WikiLeaks d'un paywall (zone payante). «WikiLeaks veut forcer les donations» Sur Twitter, Anonymous a immédiatement protesté contre cette nouvelle manière de faire. «C'est la fin d'une époque. «WikiLeaks a trahi Anonymous» Les adolescents sur Twitter, acte I : "C'est histoire d'être 'in'".

Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Michaël Szadkowski Cet article est le premier d'une enquête en deux volets : "Comment les adolescents utilisent Twitter".

Les adolescents sur Twitter, acte I : "C'est histoire d'être 'in'"

>> Lire la seconde partie : "Les adolescents sur Twitter, acte II : la mise en scène frénétique de soi" Clients captifs et innovation coincée : pourquoi Apple peut décliner. Tribune.

Clients captifs et innovation coincée : pourquoi Apple peut décliner

De quoi le bouton “like” de Facebook est-il le nom ? - L'actu Médias / Net. C'est un petit clic anodin en apparence, mais qui revêt pourtant de multiples significations.

De quoi le bouton “like” de Facebook est-il le nom ? - L'actu Médias / Net

Pourquoi a-t-on besoin de signifier à son ami Facebook qu'on “like” son statut ou l'article qu'il a posté ? A l'occasion des 11 ans du réseau social, nous republions cet article. A l'ère du partage tous azimuts, le bouton « like » (ou « j'aime », en français) de Facebook n'est plus seulement cet incontournable thermomètre de popularité qu'il fut naguère, quand Mark Zuckerberg avait encore de l'acné.

Aujourd'hui, le « like » est une denrée qui s'échange et recouvre mille significations. Ma réponse aux «élites» qui détestent l'Internet. Les Français n’aiment pas Internet (1).

Ma réponse aux «élites» qui détestent l'Internet

Est-ce le résultat d’une nouvelle enquête menée auprès de 85 internautes? Nan. En fait, précisons: les élites françaises n’aiment pas Internet. Enfin… les élites… Disons les gens dont on parle dans les médias. Florilège des propos anti-web classés par «métiers» publicité Les politiques. Internet, facile bouc émissaire. Il est frappant de constater combien les transformations liées au numérique sont souvent le facile bouc émissaire de tous les maux de notre société contemporaine.

Internet, facile bouc émissaire

Le numérique est accusé de tout : de l'individuation de la société, de l'infobésité contemporaine, d'être le caniveau de l'information, de tuer le livre, le cinéma, la musique, de favoriser les échanges (non-marchands au détriment des échanges marchands), d'avoir déstructuré le travail, de la désindustrialisation, de tuer le lien social, de favoriser la violence, le terrorisme, la solitude, de détruire notre cerveau... La liste des reproches anxyogènes qu'on lui adresse semble sans fin - à l'image des espoirs qu'il cristalise en miroir. Pourtant dès qu'on y regarde de plus près, bien souvent, le numérique n'est pas à l'origine des problèmes qu'on observe.

Ceux-ci lui sont souvent antérieurs. Le numérique sert de bouc émissaire d'autres transformations à l'oeuvre dans notre société. La fin de la librairie (2e partie) : Pourquoi nous sommes-nous détournés des librairies. On a esquissé dans la première partie, l'influence des pratiques commerciales sur la décomposition du tissu des librairies pour rappeler que la crise actuelle de la librairie n'était pas due à l'internet, mais plutôt aux conditions commerciales imposées par la distribution, qui impose aux petits magasins de proximités que forment le coeur de la librairie, des conditions commerciales de plus en plus semblables à celles qu'elle accorde aux grandes surfaces (GS) et aux grandes surfaces spécialisées (GSS).

La fin de la librairie (2e partie) : Pourquoi nous sommes-nous détournés des librairies

La librairie est le commerce de détail qui a la marge la plus faible : on comprend que ce soit pour beaucoup d'entre eux, intenables. Image : Une vieille enseigne de librairie à Paris photographiée par par Sean Ganann. Il y a une seconde raison à observer pour comprendre le malaise de la librairie. Cette raison repose dans les transformations de nos pratiques culturelles. La montée du consommateur occasionnel Les lecteurs occasionnels se sont réduits et ont tendance à acheter moins.

La fin de la librairie (1ère partie) : Ce n’est pas l’internet qui a tué la librairie. « C’est la question du bouc-émissaire, qui est le piège !

La fin de la librairie (1ère partie) : Ce n’est pas l’internet qui a tué la librairie

» – François Bon – « À cause de mecs comme toi » Une économie trop fragile Voilà longtemps que la situation économique de la librairie est fragile (voir l’enquête 2007 sur la situation économique de la librairie indépendante .pdf). Les internautes, ce « douloureux probleme » "Si vous ne voulez pas avoir de problème de vie privée, n'allez pas sur le Net ! "Pascal Rogard, directeur général de la SACD et défenseur émérite de l'Hadopi, lors du colloque Droits et libertés dans la société numérique, organisé par Nathalie Kosciusko-Morizet (voir aussi le compte-rendu de Jean-Michel Planche). La proposition de Mr Rogard a le mérite de la franchise.

Et il n'est -hélas- pas le seul à le penser. On l'entend souvent, en effet (ou "anéfé ;-), émanant, qui de policiers ou de leurs affidés, qui de personnes d'autant plus méfiantes de l'internet qu'elles n'y vont généralement jamais, ou presque (on les reconnaît facilement : elles ne s'en servent que comme d'un "minitel 2.0, pour y faire leurs courses ou réserver une place dans le TGV -et encore : il s'en trouve même qui ont peur d'...acheter sur l'internet).

Le web 2.0 ? Dit autrement : les internautes sont les "bougnoules" de la république. “Rien ne sert de s’énerver : il faut juste les ignorer” Net Attacks ! Nos cerveaux attaqués par le net… vraiment. Arrêtez tout de suite de lire cet article, il pourrait vous rendre stupide ! Ne cliquez pas sur les liens, ils pourraient vous distraire ! Tel est le cri d’alarme que lancent (à nouveau) quelques Cassandres des nouvelles technologies, estime Nick Bilton pour le New York Times. Nicholas Carr (blog), dans son nouveau livre, The Shallows (qu’on pourrait traduire par le bas-fond, pour désigner quelque chose de peu profond, de superficiel, de futile : le livre est sous-titré “ce que l’internet fait à nos cerveaux”), affirme qu’internet, les ordinateurs, Google, Twitter et le multitâche transforment notre activité intellectuelle au détriment de notre capacité à lire des choses longues, activité critique pour le fonctionnement de nos sociétés.

Carr estime que le web avec son hypertexte coloré et son abîme sans fin d’information morcelée, nous rend stupide, comme il le résume dans une tribune introduisant son livre qu’il a publié récemment sur Wired : L’expérience modifie le cerveau… et alors !? Internet, bouc émissaire des lâchetés journalistiques. On croit rêver : un des principaux ministres de la République fait une plaisanterie raciste sous les regards d’une caméra de télévision, et le problème, ce serait...

Internet ! Dans la déferlante des commentaires qui entoure l’« affaire Hortefeux » depuis deux jours, il n’y a rien de plus stupéfiant, de plus consternant à mon sens, que ces brillantes analyses qui ne voient qu’un seul coupable : le Web. Notre confrère Jean-Michel Blier, dans le journal Soir3 vendredi, en a donné l’exemple le plus caricatural, en opposant les « rumeurs » et le « caniveau » véhiculés par Internet, et « les informations vérifiées comme celles du journal télévisé ». Pourquoi réagir à ce commentaire en particulier ? Parce que cet excellent confrère n’a cité qu’un seul site Internet dans son éditorial, Rue89, en déformant la réalité. Internet nous rend-il seul ? Non ! « Nous vivons dans un isolement qui aurait été inimaginable pour nos ancêtres, et pourtant nous n’avons jamais été plus accessibles » via les technologies de la communication et les médias sociaux, estime l’écrivain Stephen Marche pour The Atlantic. La montée de la solitude ?

Selon lui, nos médias sociaux interfèrent avec nos amitiés réelles. Pour preuve, Stephen Marche (@StephenMarche) en appelle aux travaux du sociologue Erik Klinenberg (@ericklinenberg), auteur de Going Solo : la montée de l’extraordinaire et surprenant appel à vivre seul . Dans son ouvrage, Klinenberg explique que la vie solitaire se développe plus que jamais : 27 % des ménages américains sont composés d’une seule personne, alors qu’on ne comptait que 10 % de foyers composés d’une seule personne dans les années 50. 35 % des adultes de plus de 45 ans sont chroniquement solitaires, estime une étude de l’AARP (voir le détail .pdf), l’association américaine des personnes retraitées (soit 20 % de plus qu’il y a 10 ans). Doctissimo m'a tuer.

Stupidbook. 3615 Alex. HumanKindWall.

Vie privée

Jean Michel Billaut. Info-veille.com. FrenchWeb.fr: Actualités internet, business, marketing, tech, design. IRI. Fing. Lift conference, what can the future do for you? Owni. Place de la toile.