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Pourra-t-on bénéficier des super-pouvoirs des tardigrades ? « Ce qui est incroyable, c'est que la protéine qui prodigue au tardigrade cette résistance peut être transférée à d'autres cellules animales », a expliqué à l'AFP Takekazu Kunieda, de l'université de Kyoto et coauteur de l'étude publiée le 20 septembre 2016 dans la revue Nature Communications.

Pourra-t-on bénéficier des super-pouvoirs des tardigrades ?

Parfois surnommés « oursons d'eau » en raison de leur corps dodu, les tardigrades, représentés par un millier d'espèces, vivent un peu partout sur la Terre. Mesurant au maximum un demi-millimètre de longueur pour les espèces les plus grandes, ces arthropodes se déplacent très lentement, de façon pataude, sur leurs huit pattes griffues. Mais ce n'est pas leur physique de sac d'aspirateur qui fascine les scientifiques. L'atout du tardigrade, c'est son exceptionnelle capacité d'adaptation, son incroyable résistance aux conditions extrêmes qui tueraient n'importe quel autre être vivant. Un tardigrade, ou ourson d’eau, se promenant sur de la mousse. © NPG Press, Kunieda, Youtube. Image2. TEEB – The Economics of Ecosystems and Biodiversity.

Convention concernant la protection du patrimoine mondial, culturel et naturel. La Conférence générale de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture, réunie à Paris du 17 octobre au 21 novembre 1972, en sa dix-septième session, Constatant que le patrimoine culturel et le patrimoine naturel sont de plus en plus menacés de destruction non seulement par les causes traditionnelles de dégradation mais encore par l'évolution de la vie sociale et économique qui les aggrave par des phénomènes d'altération ou de destruction encore plus redoutables, Considérant que la dégradation ou la disparition d'un bien du patrimoine culturel et naturel constitue un appauvrissement néfaste du patrimoine de tous les peuples du monde, Considérant que la protection de ce patrimoine à l'échelon national reste souvent incomplète en raison de l'ampleur des moyens qu'elle nécessite et de l'insuffisance des ressources économiques, scientifiques et techniques du pays sur le territoire duquel se trouve le bien à sauvegarder, I.

Convention concernant la protection du patrimoine mondial, culturel et naturel

Article premier Article 2 Article 3 II. A. Accueil CITES. Convention. La Convention sur les zones humides d’importance internationale, appelée Convention de Ramsar, est un traité intergouvernemental qui sert de cadre à l’action nationale et à la coopération internationale pour la conservation et l’utilisation rationnelle des zones humides et de leurs ressources.

Convention

Négocié tout au long des années 1960 par des pays et des organisations non gouvernementales préoccupés devant la perte et la dégradation croissantes des zones humides qui servaient d’habitats aux oiseaux d’eau migrateurs, le traité a été adopté dans la ville iranienne de Ramsar, en 1971, et est entré en vigueur en 1975. La Convention est le seul traité mondial du domaine de l’environnement qui porte sur un écosystème particulier et les pays membres de la Convention couvrent toutes les régions géographiques de la planète. » Le texte de la convention est ici.

Fondation pour la Recherche sur la Biodiversité - FRB. CBD Home. Comité français de l'UICN. Intergovernmental Science-Policy Platform on Biodiversity and Ecosystem Services (IPBES) - Intergovernmental Science-Policy Platform on Biodiversity and Ecosystem Services (IPBES) Survival International - Le mouvement pour les peuples indigènes. La photo marocaine qui affole l’Etat islamique. « Le regard qui effraie l’EI », la photographie d’un journaliste marocain Moyennement médiatisée, cette image passée inaperçue dans la presse marocaine ne quitte plus jamais l’esprit une fois regardée.

La photo marocaine qui affole l’Etat islamique

Avec sa tignasse blonde et ses yeux bleus pénétrants, le regard de cette jeune fille yézidie de 6 ans en dit long sur l’exode de ce peuple las, victime d’un affreux génocide. La photographie publiée en novembre 2014 par le photojournaliste marocain de l’agence Reuters Youssef Boudlal fait partie d’une série de clichés pris en août dans le village de Fishkabur à la frontière irako-syrienne alors que la minorité irakienne fuit l’Etat Islamique. Attendant l’aide des kurdes peshmargas, la fillette assise auprès de sa mère sous le soleil brûlant éblouit le photographe qui se dit « fasciné par sa beauté sauvage dans cette situation dramatique ». Quand une œuvre d’art devient une arme politique.