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Paris fait la chasse à location de meublés touristiques. Les agences de locations meublés se sont multipliées, tout comme les sites Internet se sont remplis d’offres de toutes sortes, avec parfois des prix par nuit égalant les hôtels de luxe. "Les prix constatés sont proches de ceux du secteur hôtelier, soit un niveau compris entre le double et le triple des prix des locations traditionnelles, les locations meublées touristiques peuvent représenter jusqu’à 20% de l’offre locative de Paris", commente un employé à l’urbanisme de la mairie de Paris.

De fait, cette tendance provoque à la fois une diminution de l’offre locative privée traditionnelle et une hausse du coût des logements, tant à la location qu’à l’achat. Autre reproche fait aux loueurs, le bénéficie d'un régime fiscal avantageux qui n'est pas destiné (à la base) à la location touristique, enfin, ce "business maison" fait concurrence aux hôtels parisiens, gros pourvoyeurs de taxes professionnelles et de charges en tous genres. Que dit la règlementation en vigueur depuis 2009 ? New York vs. the Sharing Economy - Triple Pundit: People, Planet, Profit. Transportation innovation: How Lyft and SideCar are changing commuting. This feature originally ran on July 15, 2012. Update: We reported in July on the rise of two San Francisco ridesharing startups, Lyft and SideCar. Both companies have since expanded their reach in the Bay Area, and have yet to run into any thorny legal issues so far.

These ride-sharing companies claim that they are not taxi companies, even though they act very similar to taxi companies. The pair is serving a much smaller area than Uber, a smartphone-powered black-car service focusing on the upper tier of the market. Uber, which also operates in San Francisco, has been facing increasing legal scrutiny in cities around the country. SAN FRANCISCO—As I drove over the Bay Bridge and passed into the city on a recent Friday afternoon, I faced a crisis of will.

I pulled onto Harrison Street, into a section of the SoMa (South of Market, San Francisco’s startup hub) district that's full of new high-rise residential buildings. I invited Matt to sit up front and adjust the music as he liked. La création à l'heure du "crowdfunding" Sharing Economy Provides Extra Cash And Creative Expression - SXSW. Airbnb And The Unstoppable Rise Of The Share Economy. Will Ride-Sharing Apps Replace Car Ownership?

The Numbers Behind the Sharing Economy [VIDEO] The Rise of the Sharing Economy. Collaborative consumption, peer-to-peer marketplaces, the sharing economy — it's been called a few names by now, but no one is denying that the idea of accessing rather than owning is controversial — and it's taking the Internet by storm. Peer-to-peer marketplaces, of which Airbnb is the beloved poster child, have been popping up for the past few years, but 2011 was an explosive year for the sector.

Whether you wanted to borrow or rent someone's apartment, bike, car, parking spot or random household good, you could find a marketplace to do it. This is only the beginning, though; 2012 looks to be a promising year for those involved with the sharing economy. Super angel Ron Conway recently identified it as 2012's hot area for angel investment in The Economist. And Fast Company deemed 2012 the "year of peer-to-peer accommodations," thanks to the emergence of Airbnb clones that hinged off of the company's outstanding growth.

It's All About Value Knodes and SnapGoods founder Ron J. Renting vs. CROWDFUNDING – Les 2 millions de dollars du nouveau film de Zach Braff financés en cinq jours. Depuis quelques années, le crowdfunding – soit le financement d'un projet par des dons du public qui, en contrepartie, peut y participer et obtenir quelques retombées une fois qu'il est réalisé – rencontre un succès grandissant. Selon Crowdsourcing.org, près de 1,12 milliard d'euros ont été levés en 2011 sur les quelque 450 plateformes qui existent à travers le monde – comme celle de Kiss Kiss Bank Bank en France –, avec une hausse de 72 % des fonds amassés, dans des domaines aussi divers que la santé, l'environnement, le journalisme, la science et, surtout, la culture. >> Lire l'enquête du Monde : La création à l'heure du "crowdfunding" (édition abonnés) Le cinéma, également en quête de financement indépendant, se tourne de plus en plus vers ce modèle.

Aux Etats-Unis, où la culture du mécénat est bien plus développée, la plateforme KickStarter mène la danse dans ce domaine. Signaler ce contenu comme inapproprié Cette entrée a été publiée dans Actualité. Bobos, aventuriers, écolos : qui sont ces Français adeptes de la consommation collaborative ? L’ADEME a publié, jeudi 25 avril, une enquête sur les Français et la consommation collaborative. Objectif : mieux cerner les valeurs, les modes de vie, de consommation et les critères socio-démographiques des français qui adoptent ces nouveaux modes de consommation. Résultats : les motivations sont très diverses, ces consommateurs sont plutôt jeunes, actifs, et les critères socio-démographiques ne sont pas discriminants. Voyons cela de plus près. Des caractéristiques communes L’enquête a été effectuée à partir de l’échantillon de l’observatoire des modes de vie et consommation d’IPSOS : « Les 4500 ».

La consommation collaborative from adesias. on Vimeo. Première observation, ces consommateurs partagent quatre caractéristiques communes : Seconde observation, ces consommateurs sont partagés entre la recherche de bons plans de consommation et des motivations collectives liées à des préoccupations collectives, écologiques, etc. Six profils différents Et vous, quel est votre profil ? A vot' bon cœur, m'sieurs-dames, pour finir ma thèse. Olga Turcan espère pouvoir boucler ses recherches grâce à la générosité du public (Doc remis) Olga Turcan est chercheuse en sciences du langage à l’Université de Strasbourg. Après avoir cumulé des petits boulots et des bourses, elle doit aujourd’hui faire appel à la générosité publique pour boucler sa thèse. Qui sait que le français est la première langue enseignée en Moldavie ? Et pourtant, dans ce petit pays coincé entre la Roumanie et l’Ukraine, on parle plus français qu’au Vietnam.

D’où vient cet intérêt pour notre langue ? Elle travaille sur sa thèse depuis bientôt six ans mais, dans sa matière, les bourses disponibles n’assurent que trois années de recherche. . « A la fin d’une thèse, quand on s’attelle à la rédaction, on ne peut plus être interrompu sans arrêt pour se consacrer à d’autres tâches… C’est un travail qui nécessite beaucoup de concentration, sur au moins huit mois dans mon cas. . « Pour l’amour du français » La construction de la thèse d’Olga Turcan. Wall Street Journal Cold Shoulders Co-ops.

The Wall Street Journal has the widest circulation of any paper in the United States, particularly famous for its coverage of business. And while it may not be surprising, new research by Gar Alperovitz and Keane Bhatt shows the dissapointing fact that the paper barely pays attention to workers cooperatives. In an article entitled “Revealed: Wall Street Journal More Interested in Caviar and Foie Gras Than Employee-owned Firms”, Alperovitz and Bhatt demonstrate the ways that the Wall Street Journal systematically covers the concerns of the rich while ignoring the flourishing solidarity economy. The UN designated 2012 the international year of the cooperative, and, as Alperovitz and Bhatt write, “more than 120 million Americans are members of co-operatives and cooperative credit unions”. But throughout 2012, the Wall Street has given “more than passing mention” to cooperatives in only 14 articles!

Why are these major shifts in American working life sidelined? La location peer-to-peer : la Consommation Collaborative et le Droit - Le blog DMI - Assas. Quand les entreprises de transport deviennent des entreprises de technologie de l’information. Jusqu’à présent, la révolution de l’information a d’abord touché les industries et les services qui sont ou peuvent être numériques : à savoir les nombres, le texte, le son, les images et les vidéos.

Induisant ainsi une transformation des secteurs connexes, tels que la banque, l’édition, la musique, la photo et le cinéma. Désormais, les réseaux mobiles sont en pleine expansion et permettent d’étendre cette révolution aux biens physiques mobiliers et immobiliers, que ce soit des lieux, des voitures, des équipements, des biens de consommation courante ou des outils. Pour illustrer ce phénomène, nous allons prendre l’exemple des nouveaux acteurs du secteur de l’automobile. (En notant que cela pourrait aussi bien s’appliquer au secteur de l’hôtellerie depuis l’arrivée de Airbnb qui permet la location de chambres, appartements, habitations entre particuliers). En quoi cela impacte-t-il ce secteur ? Share Everything: Why the Way We Consume Has Changed Forever - Emily Badger.

The “equipment library” at Union Kitchen in Northeast Washington, D.C., contains some of the more mundane artifacts of the modern “sharing economy”: an oversized whisk, a set of spatulas, ladles, chopping knives, sheet pans and tongs. “Collaborative consumption,” as it’s also known, is more often associated with the big-ticket items that have given the concept such bemusing cachet. Suddenly, it seems, people are casually lending and borrowing cars, bikes, even brownstones. But this basic kitchenware, hanging in a 7,300 square-foot warehouse, reveals the reaches to which all this sharing could ultimately expand, as well as the reasons why it will have to.

Union Kitchen moved into the space in late November of 2012, taking over what had been the commissary for a chain of local kabob houses. Jonas Singer and Cullen Gilchrist had been looking to expand the kitchen operations for a café they own in the city. Jonas Singer in Union Kitchen. Sharing is, of course, an old idea. Does money taint the sharing economy? By Erin Griffith On March 14, 2013 There is a lot to like about the sharing economy. “Un-jobs” are being created!

People are able to scrape together a boss-free living as part of the new distributed workforce. And companies like TaskRabbit, RelayRides and Airbnb are taking previously idle resources and recycling them back into the economy. But there is a larger, more philosophical rub to all this feel-good sharing economy fun. And that is the fact that these startups didn’t invent sharing.

For example Skillshare, which takes its name from a loosely organized, sometimes anarchist, always free and community-focused group of classes. Put another way, does money taint the real sharing economy? The short answer is that yes, it probably does. The flip of that argument is that money makes these services better in a crucial way. The question was raised earlier this year at our PandoMonthly featuring Brian Chesky of Airbnb. His answer was pretty straightforward — he simply didn’t know any better. Collaborative consumption is dead, long live the real sharing economy. By Neal Gorenflo On March 19, 2013 A rule of thumb on Wall Street is when national magazines discover a trend, the trend has peaked, and there’s only one way to go: down. Unfortunately, that’s beginning to happen to “collaborative consumption” (or “the sharing economy,” if you wish). When I first became aware of it in 2009 I saw it as a part of a movement of movements rising from the grassroots to give ordinary people the tools needed to take control of their economic destinies.

It fit neatly in with open source software, peer-to-peer networks, the cooperative movement, and crowdfunding, and seemed a natural extension of social media into “meatspace.” I was also excited about its potential for good. Take car sharing for example — every shared car replaces up to 13 owned cars, 50 percent of people join to get access to a car who didn’t have access before, and for every 15,000 cars a city takes off the ownership rolls, it could keep an estimated $127 million in the local economy annually. Www.rachelbotsman.com/assets/Boss_Brand community.pdf. L'économie de la confiance. De simple partisan, je suis récemment devenu adepte pratiquant du covoiturage, grâce entre autre à l’excellent site www.covoiturage.fr (prochainement rebaptisé BlaBlaCar). Ce qui est attractif dans cette pratique, c’est qu’il y a plusieurs manières de la considérer.

Le point de vue que j’appellerai utilitariste-gestionnaire, le point de vue environnemental, le point de vue sociétal. Et ce qui est encore plus attractif , c’est qui se cache au croisement de ces points de vue : une nouvelle vision de la valeur et un nouveau paradigme pour la communication et le marketing. Rien moins que passionnant ! Confiance et « consommation collaborative » Le covoiturage est une pratique qui se développe et dont on parle de plus en plus. La confiance a toujours conditionné les échanges, les transactions entre personnes. Consommation collaborative et « business » C’est là que la notion de « mission », si importante pour toute entreprise, intervient.

Comment Covoiturage.fr s’y est-il pris ? Covoiturage.fr, une croissance non sans difficultés | Nicolas Richer. Edito : Cet article est une analyse marketing de Covoiturage.fr / BlaBlaCar et des déboires que le service a connu lors de l’été 2012. Je suis moi-même un fervent covoitureur et j’affectionne tout particulièrement les avancées qu’ils ont fait dans l’économie collaborative. Si jamais vous voulez en savoir plus sur qui je suis et ce que je fais, c’est par ici ! J’adore le covoiturage. Je conduis ainsi des voyageurs à peu près une fois par mois sur le trajet Toulouse-Bordeaux-Saintes pour rejoindre ma douce.

Et franchement, je ne pourrais pas me permettre des trajets aussi réguliers si je ne partageais pas les frais d’essence et de péage avec d’autres personnes. Au delà d’une moyen de se déplacer de façon économique, le covoiturage est une solution de voyage sociale, pratique et rapide. Il n’existe aucune solution aussi sympa ou peu chère pour voyager à part peut-être le stop. Covoiturage.fr, autrefois « un parmi tant d’autres » Le nouveau business-model Un tri sélectif dans la communauté. Et si la consommation collaborative sauvait le marketing. Aujourd’hui, 64 % des Français disent ne plus avoir les moyens de consommer (Source Observatoire Cetelem 2013), mais surtout, sur les 36 % restant qui déclarent donc pouvoir consommer, 21 % disent ne pas en avoir particulièrement envie… L’individu face à la consommation apparaît de plus en plus désenchanté, blasé, voire carrément éteint… Rencontrant ledit consommateur toutes les semaines lors de focus groupes ou d’entretiens, je mesure la difficulté de susciter enthousiasme et adhésion.

Saturé par l’hyperchoix, ayant réalisé que le hard discount n’était pas non plus la réponse simplifiée à son envie de consommer autrement, le consommateur cherche d’autres réponses. La consommation collaborative (qui est un modèle qui privilégie l’usage à la possession) en apporte une : aujourd’hui, 83 % des Français d’après l’Obsoco (Observatoire société et consommation = approuvent l’idée qu’"aujourd’hui, l’important c’est de pouvoir utiliser un produit plus que de le posséder".

Uniiverse. Balance Minds and Bodies On a neurochemical level, the hormone oxytocin plays a central role in the stress-protective effects of social interaction. Meta-analyses of the effects of this golden chemical have demonstrated that it immediately and drastically quenches stress and alleviates mood in response to psychosocial stressors (Heinrichs 2003). Not yet convinced? Oxytocin has been shown to exert as far-reaching effects as lowering blood pressure and increasing the rate of wound healing (Uvnas-Moberg 1998).

Also in the realm of physical benefits of sociality, palpable benefits of social living range from decreased heart attacks to increased vitality and life expectancy. Believe it or not, social support is a prime factor in remission from and psychological adjustment to illness as ravaging as cancer (Helgeson and Cohen 1996). Fulfill Hearts Finally, beyond shadow of a doubt, social living is a key ingredient to the recipe of Life and Well-Being. But you can get your buzz without drugs. How Big Retail Could Mainstream Collaborative Consumption Overnight. 83% des Français préfèrent l'usage à la possession. Collaborative Consumption for the Enterprise: What CIOs Should Know. Beyond Zipcar: Collaborative Consumption.

Agréger la réputation de la consommation collaborative, l’exemple de Fidbacks | L'émergence de la Consommation collaborative. The Top 8 Collaborative Consumption Stories Of 2012. Peer-to-peer rental: The rise of the sharing economy.