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Les 7 points qui différencient une entreprise libérée d’une organisation classique. Chroniques d’experts Organisation.

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L’entreprise à réinventer : pourquoi les techniques de motivation ne marchent plus. Les cabinets de consultants et de formation multiplient les interventions dont l’ambition est de réconcilier l’homme et l’entreprise, de créer du bien être au travail pour l’un, de la performance pour l’autre.

L’entreprise à réinventer : pourquoi les techniques de motivation ne marchent plus

Et les écoles de gestion s’efforcent de promouvoir les techniques de management qui, aux Etats Unis, seraient un gage d’efficacité. Et pourtant, la tendance au désengagement, malgré la crise, paraît s’amplifier. Il faut en conclure que les solutions les plus fréquemment mises en avant afin de susciter de la motivation sont inefficaces. Le risque est donc, comme les Shadocks, de pomper toujours plus, mais toujours sans résultats. Ce qui conduit à s’interroger sur les causes profondes d’un tel désengagement. « Entreprise libérée » : la fausse idée neuve. La pensée managériale évolue au rythme des mouvements de mode.

« Entreprise libérée » : la fausse idée neuve

Il y a eu la mode du management participatif, celle des cercles de qualité ; celle du moment porte sur « l’entreprise libérée ». La formule se fonde sur le livre d’Isaac Getz et Brian M. Carney publié en français sous le titre Liberté & Cie (Flammarion, col. Champs, 2013), l’un des deux auteurs étant professeur à l’ESCP, l’autre étant journaliste au Wall street journal et, selon toute apparence, le principal rédacteur de l’ouvrage.

Le principe sur lequel ils se fondent est celui d’une opposition à l’entreprise contrainte par ses procédures, sa hiérarchie rigide, ses contrôles, le tout débouchant sur une totale absence de liberté d’initiative pour la très grande majorité des salariés. Voilà pour l’essentiel. La critique de l’organisation taylorienne et l’invention de nouveaux modes d’organisation Aucun de ces auteurs n’est cité par Getz et Carney. De l’entreprise cartésienne à l’entreprise systémique : le changement de paradigme. Quoi qu’elle se dise rationnelle, la conception que nous avons de l’organisation de l’entreprise repose en réalité sur des postulats implicites, qui semblent aller de soi mais qui sont historiquement et culturellement datés.

De l’entreprise cartésienne à l’entreprise systémique : le changement de paradigme

Ces postulats se fondent ainsi sur des schémas mentaux qui relèvent de la pensée mécaniciste, telle qu’elle s’est imposée à partir du XVIIIème siècle. Celle-ci a été notamment développée par René Descartes dans son Discours de la Méthode. D’où, notamment, la conception usuelle de l’organigramme, des règles de reporting et des procédures de fonctionnement. Le problème, c’est que ces schémas mécanicistes sont aujourd’hui devenus un obstacle aux progrès du management. Le statut Scop - Macoretz Scop. Entreprendre en Scop Macoretz a été créée en statut scop en 1986 par les 4 associés de la première heure.

Le statut Scop - Macoretz Scop

Notre entreprise s’inscrit idéologiquement et historiquement dans le mouvement des sociétés coopératives et participatives (anciennement Sociétés Coopératives Ouvrières de Production). Aujourd’hui, 29 ans plus tard, les 190 salariés continuent d’entreprendre sur un « Fond Commun de Valeurs » de coopération, basées sur l’échange, la solidarité, et l’entraide. 1 homme=1 voix Au cœur du système :L’homme et la femme occupent une place centraleUn principe : « un homme = une voix », La pérennité de l’outil de travail est une priorité absolue Partage des risques et des responsabilités entre tous les sociétaires Rémunération équitable et juste partage des résultats « Partager le projet » Chez Macoretz scop, devenir sociétaire est une démarche volontaire. 110 salariés qui en réunissent les conditions ont choisi de le devenir (soit 74 %). Le statut Scop - Macoretz Scop. Les SCOP - L'économie coopérative et mutualiste. Les SCOP Si vous êtes intéressés par la création d'une SCOP, nous vous conseillons de télécharger ce guide édité par l'Union Régionale des SCOP Poitou-Charentes : Guide_création_Scop.pdf Résumé - Ce qu'il faut retenir, les Scop en chiffres: Une SCOP (Société Coopérative Ouvrière de Production) est une entreprise majoritairement détenue par ses propres salariés Il existe 2000 Scop en France qui emploient 43.860 salariés, et cumulant un chiffre d'affaire de 3.9 milliards d'euros Le principe est plutôt porteur car on a observé une création de 200 Scop en 2012.

Les SCOP - L'économie coopérative et mutualiste.

Le taux de survie au bout de 3 ans est de 82% pour les scop (contre 66% pour les autres entreprises) Les salariés doivent détenir 51% du capital et 65% des voix. La gouvernance eclairee des cooperatives FR. Management coopératif. Ces techniques de management originales et qui marchent. Le management pyramidal classique n'est pas le seul moyen de gérer une équipe.

Ces techniques de management originales et qui marchent

Pour se démarquer et grandir, les entreprises ont souvent tendance à mettre l'accent sur le marketing ou le lancement de nouveaux produits et services. D'autres ont fait le choix d'innover en instaurant des pratiques de management originales qui vont à l'encontre des idées reçues. Célébrer des échecs, laisser les salariés fixer eux même leurs salaires, lier état d'esprit et augmentation, interpeller publiquement le top management sur le réseau social d'entreprise… Ces initiatives insolites peuvent à juste titre surprendre et effrayer de nombreux dirigeants. Pourtant, elles sont appréciées des salariés et sont susceptibles de constituer un vecteur de croissance. Elles peuvent être mises en œuvre dans tout type d'entreprise (PME, multinationales…) et dans tout secteur économique (high tech, industrie, conseil stratégique…).

5 choses à savoir sur l'holacratie. Supprimer les positions de pouvoir et la bureaucratie, donner plus d'agilité à l'entreprise...

5 choses à savoir sur l'holacratie

Les bienfaits supposés de l'holacratie sont tels que ce système de gouvernance mis au point en 2001 par un éditeur de logiciels américain, Ternary Software, a depuis fait des émules. Le cas le plus emblématique fut celui de Zappos, qui annonçait début 2014, qu'il passait à ce mode d'organisation enterrant la notion de hiérarchie. "Adopter l'holacratie, c'est tout à coup se voir renvoyer toutes les incohérences de son organisation et se donner la possibilité d'y remédier", explique, enthousiaste, Bernard Marie Chiquet, qui, à travers son cabinet iGi Partners, accompagne Kingfisher, Danone, ou encore bientôt Décathlon, pour tester le "concept" sur des unités pilotes. Les différents styles de direction – la délégation et la décentralisation du pouvoir. Introduction : Professeur de psychologie industrielle à l’Université du Michigan aux Etats-Unis, Rensis Likert (1903-1980) conduit des recherches sur les attitudes et les comportements humains au travail. […] I – Les styles de direction A – Les styles de direction selon Rensis Likert Professeur de psychologie industrielle à l’Université du Michigan aux Etats-Unis, Rensis Likert (1903-1981) conduit des recherches sur les attitudes et les comportements humains au travail. […] Il cherche à comprendre dans quelle mesure la nature des relations entre supérieurs et subordonnés peut conduire à des résultats très différents dans un contexte organisationnel identique.

Les différents styles de direction – la délégation et la décentralisation du pouvoir

Les résultats de ses recherches sont publiés en 1961 dans un ouvrage intitulé « Le gouvernement participatif de l’entreprise ». A partir d’enquêtes auprès de directeurs de grandes compagnies d’assurances, il observe que ceux qui ont les résultats les plus médiocres présentent des traits communs. 1 – Le manager autoritaire. Newsletter XV Finance Gouvernance1. 5 choses à savoir sur l'holacratie. Les parties prenantes et les contre-pouvoirs. Qu'est-ce qu'une partie prenante ?

Les parties prenantes et les contre-pouvoirs

Il s'agit d'un individu ou groupe d'individus qui peuvent influencer ou être affectés, directement ou indirectement, par les décisions prises dans une entreprise. Mais qu’est ce que la bonne gouvernance.