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Une journée pour nettoyer ses données numériques. Avez-vous pensé à vider votre poubelle virtuelle ?

Une journée pour nettoyer ses données numériques

De nombreux courriels, photos ou fichiers inutilisés et archivés contribuent à une pollution numérique qui reste invisible. Dans son étude « La face cachée du numérique » éditée en 2019, l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) estime que ce secteur serait responsable de 4 % des émissions totales de gaz à effet de serre (GES). Un chiffre qui pourrait doubler d’ici à 2025, au vu de la forte augmentation des usages du numérique. C’est pour sensibiliser les citoyens à ces enjeux que l’organisation citoyenne World Clean Up Day et le groupe de réflexion Institut du numérique responsable organisent, samedi 19 septembre, la première édition du « Cyber World Clean Up Day », autrement dit la journée mondiale du nettoyage numérique.

Article réservé à nos abonnés Lire aussi Cinq réflexes à adopter pour réduire sa pollution numérique. Qu’est-ce que la 5G va changer pour les particuliers ? Où en est la 5G ?

Qu’est-ce que la 5G va changer pour les particuliers ?

La seule partie visible, pour l’instant, ce sont les centaines de stations expérimentales qui sont apparues sur le territoire métropolitain. Mais le processus va s’accélérer d’ici à l’automne avec les enchères, qui doivent commencer le 29 septembre, pour une ouverture commerciale à partir de la fin de l’année ou au début de l’année 2021. Cette technologie, permettant d’obtenir un meilleur débit et d’augmenter les performances des appareils connectés, suscite toutefois de nombreuses controverses. Si son utilité semble acquise pour les entreprises, les particuliers s’interrogent, et de nombreuses théories ou hypothèses fantaisistes fleurissent sur les réseaux sociaux.

Le point sur six questions majeures pour le consommateur, et sur ce qui peut ou pas légitimement inquiéter le citoyen. 1. « Je ne peux pas refuser la 5G » Tant que vous utilisez un téléphone non compatible et que vous n’avez pas de forfait 5G, vous ne passerez pas par ce type de connexion très haut débit. France Culture - Chirurgienne du vêtement, couturière des... La pire erreur de l'humanité - DBY #55. On a testé… la salle de cinéma en réalité virtuelle. La première salle de cinéma consacrée à la réalité virtuelle ouvrait ses portes jeudi 19 mai à Paris.

LE MONDE | • Mis à jour le | Par Morgane Tual Cette salle de cinéma n’est pas plongée dans le noir. C’est même tout l’inverse : la lumière du jour inonde ses murs et ses fauteuils blancs. A la place de l’écran, une baie vitrée donne directement sur la rue de Turenne, dans le 3e arrondissement de Paris, où ce cinéma hors du commun a élu domicile.

C’est que le PickupVRcinema ne diffuse pas des films classiques, mais des films en réalité virtuelle (VR), en 360° . « Pendant le film, il arrive que les gens se tiennent la main » Une promesse intrigante, tant l’expérience de la réalité virtuelle paraît solitaire : casques visuel et audio vissés sur la tête, le spectateur est coupé de tout lien avec l’extérieur et ne risque pas de partager grand-chose avec son voisin. Lire aussi : Pourquoi l’Oculus Rift, le casque de réalité virtuelle, risque d’échouer commercialement Et demain ? Passionnés, artisans, entrepreneurs… Ils refont le monde en 3D. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Yves Eudes Les « makers », qui ont rendez-vous ce week-end à la Foire de Paris, pourraient révolutionner l’artisanat.

Passionnés, artisans, entrepreneurs… Ils refont le monde en 3D

Né aux Etats-Unis, au début des années 2000, le mouvement est en passe de conquérir la France. Bricoleurs d’un genre nouveau, passionnés de l’artisanat assisté par ordinateur et armés de leurs imprimantes 3D, les « makers » ont déjà créé de ce côté de l’Atlantique des centaines d’ateliers numériques, de « fablabs » et autres « makerspaces » où ils expérimentent de nouvelles façons de créer des objets et de transmettre les savoir-faire. « Un accident nucléaire majeur ne peut être exclu nulle part dans le monde » Président de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) française, Pierre-Franck Chevet a commencé sa carrière quelques mois après la catastrophe de Tchernobyl survenue le 26 avril 1986, au sein du Service central de sûreté des installations nucléaires.

« Un accident nucléaire majeur ne peut être exclu nulle part dans le monde »

Trente ans après, il revient sur le risque nucléaire. Y a-t-il eu, dans le domaine de la sûreté nucléaire, un avant et un après-Tchernobyl ? Pierre-Franck Chevet : Chaque accident significatif marque une rupture. Trente ans après son invention, la technologie de l’impression 3D avance à pas de géant. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Véronique Lorelle Il s’appelle InMoov.

Trente ans après son invention, la technologie de l’impression 3D avance à pas de géant

Ce robot humanoïde, né en France en 2012, vaut à lui seul le détour. C’est l’une des stars de l’exposition « Impression 3D – L’usine du futur », à voir jusqu’au 9 juillet au Lieu du design, à Paris : il peut accomplir des tâches diversifiées, vous saluer d’une franche poignée de main ou tenir un bébé dans ses bras. Et pourtant, il a été entièrement imprimé en 3D, pièce après pièce, et progresse grâce à des connaissances partagées, par le biais de plates-formes open source. Il résume à lui seul la puissance des technologies de fabrication additive, les « impressions 3D », inventées il y a trente ans. Trente ans après Tchernobyl, comment peut-on croire « que l’atome pacifique ne recèle aucun danger ? » LE MONDE | • Mis à jour le | Par Katja Petrowskaja (Ecrivaine) Par Katja Petrowskaja, écrivaine Une fillette de Pripiat se dresse sur la pointe des pieds pour essayer d’atteindre le bouton de l’ascenseur, mais elle n’y arrive pas.

Trente ans après Tchernobyl, comment peut-on croire « que l’atome pacifique ne recèle aucun danger ? »

Elle est trop petite et ne grandira plus. Cette fillette n’est qu’une ombre peinte, et l’ascenseur est resté bloqué, comme le temps. La SNCF veut surfer sur l’internet des objets pour améliorer sa productivité. LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Philippe Jacqué.

La SNCF veut surfer sur l’internet des objets pour améliorer sa productivité