Juments tuées à Etsaut : « L’ours s’est dressé sur ses pattes à 15 mètres de moi » L'ours Douillous est de retour dans ses Pyrénées natales. L’ourson Douillous a regagné les massifs pyrénéens, où il est né cet hiver, annonce la préfecture de la Région occitanie.
L’ourson Douillous a regagné les massifs des Pyrénées. Retrouvé isolé au mois de juin dernier en Ariège, l’animal de huit mois avait été placé dans un refuge dans le Tarn d’où il s’était échappé. Les agents de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) ont procédé au retour en pleine forêt (en Haute-Garonne) de l’ourson. Un retour dans son milieu naturel qui répond au protocole mis en place au niveau national.
Douillous avait été capturé le 10 juin dernier, abandonné par sa mère, près du village pyrénéen de Couflens (Ariège) à quelques kilomètres de la frontière avec l’Espagne. Attaques d’ours en Aragon : des soupçons visent Claverina ou Néré. Le gouvernement d’Aragon a confirmé ce mercredi que des attaques d’ours étaient à l’origine de la mort de neuf brebis et de la disparition de trois autres dans la vallée de Hecho, selon la presse aragonaise.
Les attaques auraient eu lieu la semaine dernière, dans la nuit de lundi à mardi et au cours du week-end. Les attaques sont survenues dans le secteur de Lenito, très près de la frontière française, à mi-chemin entre Isaba et Candanchu. Un secteur qu’a fréquenté notamment l’ourse Claverina (notamment au mois de juin dernier), réintroduite au mois d’octobre 2018. La présence de Néré y a également été attestée au cours des dernières années. Les agriculteurs demandent le retrait des ours. Pyrénées : L’ours Cachou dévore une pouliche et son GPS le trahit. Il ne reste plus grand-chose de la pouliche de quatre mois retrouvée ce dimanche à Vielha, commune des Pyrénées espagnoles frontalière de la France.
Et le coupable de la mort de l’animal est tout trouvé, indique le Conseil général du Val d’Aran sur son site Internet : il s’agit de l’ours Cachou, trahi par le collier GPS qui lui a été posé en mai, après sa capture, afin d’assurer son suivi. Ce jeune plantigrade, né en 2015, est du genre turbulent, selon les autorités locales : cet été, il s’était déjà attaqué à des ruches et à des chèvres. Mais c’est la première fois que Cachou s’en prend à des équidés, une « spécialité » réservée dans le secteur à son aîné Goiat (12 ans). Le sujet s’avère d’autant plus délicat que protéger les chevaux ou les ânes n’est pas aisé, observe le conseil général du Val d’Aran : « La prévention [des attaques] contre l’élevage équin est très difficile.
Dérochement à Cauterets : 127 brebis mortes retrouvées dans un trou. « Un véritable charnier ».
Les éleveurs qui ont participé ce vendredi matin aux recherches des quelque 250 brebis manquantes depuis le dérochement de la semaine dernière sur l’estive du Monné à Cauterets, en parlent la boule au ventre. 127 cadavres ont été découverts dans un trou. « Elles ont dû dérocher, parce qu’elles étaient effrayées. » Un appel à la mobilisation avait été lancé dans la soirée de jeudi. Des brebis mortes avaient été aperçues en contrebas d’un secteur escarpé. Près de 200 éleveurs étaient présents ce vendredi matin pour quadriller le secteur. Le décompte macabre enflait dans la journée. Ces 127 cadavres s’ajoutent aux 17 brebis tuées directement dans le dérochement et aux 41 euthanasiées au cours de la semaine.
L'ours vache sacrée. Alors, l'ours ou pas l'ours ?
Si pas l'ours, qui alors ? Des chiens errants ? Il peut y en avoir en plaine, mais pas à ces altitudes. Dérochement à Cauterets : le bilan s'alourdit, 127 brebis retrouvées mortes. L'essentiel La prédation qui a entraîné le dérochement d'un troupeau de brebis au-dessus de Cauterets, en fin de semaine dernière, avait pour l'instant occasionné 58 décès de brebis, 127 de plus ont été trouvées hier.
C'est jeudi que des gardes du Parc national ont repéré un charnier, plusieurs brebis mortes se trouveraient au pied d'une falaise. Aussitôt prévenus, Romain Jauréguiberry et Pascal Harispuru, les éleveurs impactés en fin de semaine dernière (17 brebis tuées directement, 41 euthanasiées, 300 manquant toujours à l'appel), battent le rappel chez leurs collègues et amis du Pays basque. «ça fait plaisir de voir tout ce monde pour nous aider, déclarait Romain, nous sommes plus de 200 personnes.»... Une semaine après leur dérochement, les cadavres de 120 brebis retrouvés près de Cauterets.
Dérochement à Cauterets : une centaine de brebis retrouvées mortes dans un trou. Le week-end dernier, à Cauterets dans les Hautes-Pyrénées deux bergers du Pays Basque, de Bunus et Jutsue, découvraient qu'une partie de leur troupeau en estive était mort, suite à un dérochement.
Le bilan étaient jusqu'à présent de 17 brebis mortes, 37 euthanasiées suites à leurs blessures, et 250 manquantes. INVITÉ Alain Reynes, défenseur de l'ours dans les Pyrénées: "il faut savoir cohabiter" "Rien ne prouve qu'il s'agisse de l'ours".
Alain Reynes revient sur l'attaque d'un troupeau originaire du pays Basque. Il s'est produit vendredi sur les hauteurs de Cauterets, mais de là à dire que l'ours est coupable, pour le directeur de l'association Pays de l'Ours ADET "ça n'est pas clair, ça n'est pas évident. La montagne est un milieu dangereux, les causes de dérochement sont nombreuses". Vivre ensemble La cohabitation entre les bergers qui transhument l'été, et l'ours, est "possible et même incontournable" pour Alain Reynes. "Il y a deux éléments incontournables dans le patrimoine pyrénéen en montagne, c'est le pastoralisme et la biodiversité dont l'ours fait partie et il va falloir organiser cette cohabitation. Ours : une manifestation des éleveurs à Cauterets. Cette descente d’estive anticipée n’est pas passée inaperçue à Cauterets, ce mercredi, à la mi-journée.
Les éleveurs ont ainsi voulu marquer leur colère après le dérochement qui a abouti à la mort de 15 brebis, puis d’une quarantaine euthanasiées. Près de 250 brebis restent introuvables. Mardi, une cinquantaine de brebis ont été retrouvées à plus de 3 heures de marche de l’estive. Cinq ont été euthanasiées. Les éleveurs ont donc décidé de descendre. « L’an dernier, j’étais descendu le 22 octobre, souffle Romain Jauréguibéry, un des deux jeunes éleveurs touchés. Foix. Jean-Christophe Bonrepaux (PS) : «M. Larive, moins de polémiques et plus d'efficacité» En lançant la campagne des municipales en Ariège pour la France Insoumise, le député Michel Larive n'y a pas été de main morte, hier dans nos colonnes, contre le PS.
Il se trouve que le patron de La Fédération Socialiste n'est pas tendre non plus dans sa réponse exprimée sous forme de communiqué. Jean-Christophe Bonrepaux relève ainsi «un certain nombre de contre-vérités à des fins purement électorales» dans les propos du député. «Fustigeant le Parti Socialiste et se plaçant en donneur de leçons, il oublie de préciser qu'il n'est pas si lointain le temps où il demandait l'investiture au PS pour être élu !» Et le dirigeant socialiste d'enchaîner les tacles : «Peu compétent pour délivrer des diplômes de vrai socialisme, il choisit ses sources de manière tendancieuse. Brebis mortes à Cauterets : la question des indemnisations. C'est un véritable cauchemar pour les deux bergers basques. En estive à Cauterets dans les Hautes-Pyrénées, ils ont ce week-end découvert 15 de leur brebis mortes , deux autres ont ensuite étaient retrouvées décédées également. 37 autres brebis blessées ont dues être euthanasiées par les services vétérinaires.
Le bilan est donc pour le moment de 54 brebis mortes, suite à un dérochement, la chute d'un roc. Si pour le moment, la raison de cette chute reste inconnue, les éleveurs et le syndicat ELB pointent du doigt l'ours, qui avait été aperçu non loin de là une semaine auparavant. En attendant, sur le seul fait du dérochement, les éleveurs pourront prétendre à une indemnisation par brebis morte. Ca peut aller de 58 euros à 720 euros par brebis, en fonction de son âge, de sa classification. Puis seront pris en compte des dégâts connexes, comme les frais vétérinaires, les pertes consécutives à la perturbation du troupeau, etc. Hautes-Pyrénées : craignant de nouvelles attaques de l'ours les bergers redescendent des hauteurs de Cauterets. REPORTAGE. En Ariège, l’ours met les estives et ses bergers à cran. Réintroduit depuis plus de vingt ans dans les Pyrénées, l’ours brun excède les éleveurs transhumants.
La situation est particulièrement tendue en Ariège, là où la population ursine est la plus importante. Nous sommes montés sur l’estive de Pouilh, où 2 300 brebis passent un périlleux été. Première lueur d’aube. France-Un ours suspecté après le dérochement d'un troupeau de brebis. Connectez-vous pour conserver cet article et le lire plus tard. Connexion client TOULOUSE, 3 septembre (Reuters) - Un hélicoptère de la gendarmerie nationale devait survoler mardi la zone de Cauterets (Hautes-Pyrénées), après un nouveau dérochement le 30 août d'un troupeau d'environ un millier de brebis, peut-être dû à la présence de l'ours.
Des agents du Parc National des Pyrénées, avec l'appui des éleveurs et d'un berger de la pastorale pyrénéenne, recherchent 300 brebis manquantes. Selon un communiqué de la préfecture des Hautes-Pyrénées, "vendredi 30 août, 15 brebis ont été découvertes mortes, 90 étaient blessées et 300 étaient introuvables". Pyrénées : Les 300 brebis portées disparues ont été retrouvées vivantes (et le mystère reste entier) Fin de l’alerte du côté de l’estive du Moné-Lys, à Cauterets, dans les Hautes-Pyrénées. Les 300 brebis portées disparues depuis vendredi « ont été retrouvées vivantes », indique la préfecture, qui avait sollicité l’appui d’un hélicoptère de la gendarmerie pour les recherches. Ces brebis à tête noire, qui ont été récupérées par leurs éleveurs, faisaient partie d’un gros troupeau frappé par un « dérochement » la semaine dernière.
Plusieurs bêtes effrayées se sont jetées d’une falaise, 15 ont été retrouvées mortes vendredi, 36 ont été blessées et ont dû être euthanasiées. Pyrénées : des éleveurs manifestent après une probable attaque d'ours. Hautes-Pyrénées. Des brebis portées disparues après le dérochement de Cauterets ont été retrouvées vivantes. L'ours dans les Pyrénées : il faut le mettre là où il n'y a pas de brebis selon le syndicat ELB. Le porte-parole d'Euskalherriko Laborarien Batasuna (ELB - Confédération Paysanne), Panpi Saintemarie, s'avoue remué trois jours après l'attaque d'un troupeau de brebis, au dessus de Cauterets (65), à plus de 2000 mètres : "Les cadavres c'est une chose, mais les brebis blessées!
_Quand on voit les brebis avec les mâchoires hachées, plus de dents, les yeux arrachés, les cornes arrachées, les ventres déchirés, les pattes cassées, c'est impressionnant_! Moi pourtant je suis paysan, j'ai 56 ans, et j'en ai vu ! Un ours suspecté après le dérochement d'un troupeau de brebis. Cauterets : colère dans les estives après l'attaque d'un troupeau. L'essentiel. Des éleveurs manifestent contre les ours à Bayonne. Pyrénées: des éleveurs manifestent après une probable attaque d'ours. Bayonne (AFP) - Plusieurs dizaines d'éleveurs basques et béarnais ont manifesté lundi matin à Bayonne, déposant des cadavres de brebis devant la sous-préfecture, après ce qu'ils dénoncent comme une attaque d'ours contre un troupeau en estive, survenue avant le week-end. "Voilà, la réalité c'est celle-là.
Bayonne : des éleveurs manifestent après une probable attaque d’ours. Des cadavres de brebis déposés devant la sous-préfecture de Bayonne, ce lundi matin. "Voilà, la réalité c’est celle-là. C’est le résumé du panorama qu’on avait sous les yeux à Cauterets vendredi. Ça fait longtemps qu’on dit que la cohabitation avec l’ours n’est pas possible", a déclaré au micro Pampi Sainte-Marie, représentant du syndicat agricole basque ELB. Le rassemblement était également à l’appel de la FDSEA des Pyrénées-Atlantiques. Pyrénées : Une cinquantaine de brebis mortes, 300 portées disparues et l’ours comme suspect principal.
Pyrénées: des éleveurs manifestent après une probable attaque d'ours. Bayonne : le syndicat ELB dépose une trentaine de brebis mortes devant la sous-préfecture. Bayonne : les bergers en colère face à une nouvelle attaque d’un ours dans les Pyrénées. Une centaine d’éleveurs de brebis s’est retrouvée ce lundi matin devant la sous-préfecture de Bayonne pour protester contre une nouvelle attaque d’un ours sur un troupeau en estive ce week-end. Des éleveurs du Pays basque avaient un millier de brebis en pâturage proche de Cauterets. Cauterets : de très lourdes pertes dans un troupeau d'un millier de brebis. Une attaque d’ours suspectée du côté de Cauterets. Ours : un troupeau attaqué à Cauterets. Nouvelle suspicion d'attaque d'ours à Cauterets dans les Hautes-Pyrénées. Saint-Girons. Les Ariégeois ne sont pas contre toutes les réintroductions…
Cauterets : un troupeau de brebis décimé par un dérochement, l'ours suspecté.