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Articles Octobre 2019

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Bear trouble spreads in the French Pyrenees: Pt.1. A French government plan to boost the brown bear population in the Pyrenees is causing concern among farmers about attacks on their sheep and raising anxieties over the future of the mountains.

Bear trouble spreads in the French Pyrenees: Pt.1

This first of three features explores the issues around the repopulation plans. Coexistence of bears and humans in the Pyrenees is an old story: paintings of the predators have been found on the walls of prehistoric caves, and shepherds have been wary of them since at least the Middle Ages. In the twentieth century, the large omnivores were hunted to near extinction as humans expanded roads, settlements and farming practices into the mountains. To stop them from disappearing, the French government began relocating brown bears from Slovenia in the mid-1990s.

In terms of conservation, the plan has been a success: their numbers have grown from a half dozen to an estimated 45 to 50. Farmers say attacks are out of control Farmers warn that if this happens, it will impact more than their own livelihoods. Une compilation de vidéos exclusives d'ours dans les Pyrénées. L’ONCFS (Office National de la chasse et de la faune sauvage) a publié sur sa chaîne Youtube un film compilant des vidéos d’ours captées dans les Pyrénées françaises.

Une compilation de vidéos exclusives d'ours dans les Pyrénées

On y voit des plantigrades dans leur environnement naturel, essentiellement dans la partie occitane du massif. Mais l’ours est actif de la Vallée d’Aspe, à l’ouest, jusqu’au massif du Madres (11) à l’est. C’est ce qu’explique le numéro 50 de l’écho des Tanières, la lettre d’information éditées par l’Office. Une nouvelle vidéo sur les ours bruns des Pyrénées mise en ligne par l’ONCFS. Une vidéo inédite des ours bruns dans les Pyrénées. On y voit des ours se gratter allègrement le dos contre un arbre, ou une maman ourse se promener dans les bois avec son jeune ourson.

Une vidéo inédite des ours bruns dans les Pyrénées

Entre le mois de juillet jusqu’à septembre, l’équipe ours de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (OFCFS) a compilé plusieurs photos et vidéos des ours bruns dans les Pyrénées françaises. Résultat, on y découvre des images inédites de ces mammifères dans leur environnement. Précieuses pour l’ONCFS, ces photos et vidéos permettent un suivi régulier de la population. Et pour ceux qui se posent la question, il faut savoir qu’un ours se frotte le dos contre les arbres pour laisser son odeur. « C’est un excellent moyen pour communiquer et se repérer entre eux », rapporte un membre de l’équipe ours de l’ONCFS. Ours : les images incroyables de l'animal dans les Pyrénées, captées par l'ONCFS.

L'essentiel L'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) a dévoilé des images de l'ours brun dans les Pyrénées.

Ours : les images incroyables de l'animal dans les Pyrénées, captées par l'ONCFS

L'animal a été filmé dans son habitat naturel, notamment en Ariège et en Haute-Garonne. Images incroyables saisies par l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS). L'organisme a dévoilé il y a quelques jours des images tournées au cœur des forêts et montagnes pyrénéennes : un montage de 2 minutes et quelques secondes de vidéos tournées cet été, entre juillet et septembre dernier.

Sur ces images, saisies par des caméras de surveillance, plusieurs ours bruns ont été filmés. Ours des Pyrénées : le collectif d'associations Cap Ours saisit le Conseil d'État. Le 24 octobre, le collectif d'associations Cap Ours a annoncé, dans un communiqué, avoir saisi le Conseil d'État et les tribunaux administratifs « compétents » pour contester l'arrêté du 27 juin 2019 sur la mise en œuvre de mesures d'effarouchement de l'ours brun dans les Pyrénées.

Ours des Pyrénées : le collectif d'associations Cap Ours saisit le Conseil d'État

Cet arrêté, pris par les ministères de l'Agriculture et de la Transition écologique, prévoit à titre expérimental, des mesures d'effarouchement des ours bruns pour prévenir les dommages aux troupeaux. Ces mesures sont de deux niveaux : un effarouchement simple à l'aide de « moyens sonores, olfactifs et lumineux » et un effarouchement renforcé à l'aide de « tirs non létaux ».

Ours : le gouvernement propose d'expérimenter des mesures d'effarouchement (article paru le 22/05/2019) Le ministère de la Transition écologique soumet à la consultation du public jusqu'au 14 juin un projet d'arrêté visant à autoriser de manière expérimentale des mesures d'effarouchement des ours en vue de protéger les troupeaux. La coordination Cap ours annonce 10 nouveaux oursons dans les Pyrénées.

Les associations membres de la coordination Cap ours, se sont réunies le 26 octobre à Bagnères de Bigorre.

La coordination Cap ours annonce 10 nouveaux oursons dans les Pyrénées

Elles ont signé une motion dans laquelle elles " se réjouissent que 5 portées, 10 oursons, aient déjà été détectés cette année dans les Pyrénées". Les membres de la coordination Cap ours "renouvellent leur soutien à tous les éleveurs qui cet été ont fait la démarche de protéger leur troupeau et qui démontrent ainsi que la cohabitation est possible si les moyens préconisés sont adaptés et mis en œuvre". Mais les associations sont également très sévères avec l’Etat.

Heureux des 10 naissances, les pro-ours ciblent les effarouchements et la surindemnisation. L'essentiel Si elles se réjouissent de la naissance de dix oursons cette année, les associations, réunies à Bagnères-de-Bigorre ce week-end, regrettent la politique de l'Etat sur la question de l'ours.

Heureux des 10 naissances, les pro-ours ciblent les effarouchements et la surindemnisation

Les associations membres de la coordination Cap ours, réunies le 26 octobre à Bagnères de Bigorre, ont adopté une motion. Dans ce texte, le collectif "se réjouit que 5 portées, 10 oursons, aient déjà été détectées cette année dans les Pyrénées". La coordination Cap ours "renouvelle son soutien à tous les éleveurs qui cet été ont fait la démarche de protéger leur troupeau et qui démontrent ainsi que la cohabitation est possible si les moyens préconisés sont adaptés et mis en œuvre".

Le collectif s'en prend ensuite à l'Etat. Ours des Pyrénées : les associations de défense du plantigrade veulent saisir la justice. Photo AFP Le feuilleton de l'ours continue de plus belle.

Ours des Pyrénées : les associations de défense du plantigrade veulent saisir la justice

Les associations membres de la coordination Cap Ours n'ont pas souhaité participer à la réunion "d’échange et de partage" sur l’ours et le pastoralisme, organisé le jeudi 24 octobre dernier à la Préfecture de Toulouse. Les défenseurs du plantigrade dénoncent un "simulacre". Jugeant qu'"il n'y a aucun dialogue possible", ces derniers ont décidé de porter devant le Conseil d’Etat et les tribunaux administratifs compétents les principales mesures de la feuille de route "Pastoralisme et ours" de l’Etat, notamment "l’effarouchement systématique des ours et la sur-indemnisation, y compris quand l’ours n’est pas en cause, du bétail trouvé mort.

" Des solutions expérimentés cet été, par l'Etat, pour répondre aux exigences des opposants à l'ours. Selon les pro-ours, l’été qui vient de passer "a montré que ces mesures ne sont ni pertinentes, ni efficaces," en plus d’être, de leur point de vue, illégales. Nous sommes partis sur les traces des ours dans les Pyrénées. Aujourd’hui, il y a plus de 40 ours dans les Pyrénées, quand la France n’en dénombrait plus que 5 en 1995.

Nous sommes partis sur les traces des ours dans les Pyrénées

Pour assurer leur suivi, des agents de l’ONCFS se relaient sur le massif avec les membres du Réseau ours brun et ceux du Parc national pour collecter des indices de sa présence. Crottes et poils sont recueillis et analysés, tandis que les détecteurs de photos permettent désormais de localiser rapidement les plantigrades et avertir les éleveurs de sa présence dans le coin. La montagne, ça… se gagne. Ours : les associations pro-ours saisissent la justice. Les associations pro-ours montent le ton.

Ours : les associations pro-ours saisissent la justice

Membres de la coordination Cap ours, elles ont fait savoir, ce jeudi matin, via un communiqué, qu’elles ne participeront pas au "simulacred’échange et de partage" sur l’ours et le pastoralisme ce jeudi 24 octobre à la Préfecture deToulouse". Les associations préviennent aussi "qu’en l’absence de dialogue possible", elles ont l’intention de saisir le Conseil d’État et les tribunaux administratifs. Elles estiment que les mesures "d’effarouchement systématique" et la"surindemnisation", y compris quand l’ours n’est pas en cause, du bétail trouvé mort, ne sont "ni pertinentes, ni efficaces, en plus d’être de notre point de vue illégales". Agriculteurs et éleveurs campent depuis mardi devant la préfecture en Ariège. Mercredi soir, comme la nuit précédente, ils étaient environ 300 membres de divers syndicats d’agriculteurs, éleveurs, mais aussi de chasseurs et piégeurs devant la préfecture à Foix (Ariège), où ils ont installé des dizaines de tracteurs, des chapiteaux et un barbecue.

Citant pèle-mêle « surenchère écologiste, agribashing, revenus des agriculteurs, menaces sur la pratique de la chasse, déroute du plan-ours avec plus de 1 200 brebis massacrés en Ariège », les manifestants pointent un « Etat partisan et coupé de (leurs) réalités ». Ils ont rempli de feuilles de papier un engin agricole servant habituellement à étendre le fumier, pour dire « non à la paperasse et dénoncer les retards administratifs des aides de la PAC ». « Debout pour une deuxième nuit et d’autres encore, nous ne quitterons les lieux que quand l’Etat aura apporté des réponses claires à nos revendications !

Pastoralisme et ours : les associations saisissent la justice. Les associations pro-ours, réunies sous la bannière "Cap Ours", bouderont la rencontre sur l’ours et le pastoralisme prévue ce jeudi à la préfecture de Toulouse. En lieu et place, elles entendent saisir la justice pour dénoncer plusieurs mesures prises au cours de l’été par l’État français. En ligne de mire, les autorisations d’effarouchement, "hors protocole ours à problèmes", et le barème d’indemnisation entré en vigueur au 9 juillet. Les agriculteurs en colère assiègent la préfecture de l'Ariège. Hautes-Pyrénées: les agriculteurs repartent en campagne dès ce lundi soir. Après un premier mardi d'action nationale, il y a deux semaines, puis une nouvelle journée de mobilisation plus locale autour du dossier de l'Ours lundi 14 octobre, les agriculteurs de Bigorre maintiennent la pression cette semaine avec une mobilisation en trois temps dans les prochaines heures.

Alerter les pouvoirs publics comme les consommateurs. Voilà l'objectif de cette nouvelle journée de grogne sociale qui va rassembler les agriculteurs. Ce sera le cas dans les Hautes-Pyrénées où trois temps d'actions sont prévus ce lundi et ce mardi, à l'initiative des Jeunes Agriculteurs 65 et de la FDSEA 65. "L’agriculture française d’aujourd’hui correspond aux attentes des consommateurs actuels : exploitation familiale, productions de qualités, bien-être animal... Nous nous adaptons et nous évoluons avec notre temps" expliquent les deux syndicats agricoles dans un communiqué commun.

Une nouvelle journée de mobilisation que vous pourrez suivre en direct sur nos sites et supports multimédias. Ours, loups : "La montagne n’en peut plus" Colomiers. Une histoire d'ours, d'ânes et de générateurs photovoltaïques. Des élèves du lycée Montel et leurs professeurs partent pour la Croatie dans quelques jours. Ils découvriront le projet photovoltaïque conçu par des jeunes de leur âge. Eux-mêmes ont créé un générateur portable pour âne. Depuis quelques mois, Nicolas Salviac, éleveur d'ânes et exploitant agricole au sein de la ferme d'Oulan Bât à Arbas est ravi : il peut emmener des groupes de randonneurs en autonomie pendant cinq jours dans les montagnes des Pyrénées dans des conditions des plus confortables.

Grâce à des générateurs photovoltaïques disposés sur le dos de leurs compagnons de marche ; des ânes, les randonneurs peuvent recharger leurs portables, s'éclairer, ou encore conserver leurs aliments dans une glacière électrique. Tout est rechargé par le soleil lorsque les promeneurs marchent. Foix : les "acteurs majeurs de la ruralité" vont manifester devant la préfecture. Force est de constater que l’ode aux agriculteurs ariégeois, prononcée par la préfète Chantal Mauchet lors de l’inauguration officielle de la Foire en Barguillère le 13 octobre (voir la Gazette de la semaine passée), n’aura pas apaisé les tensions… La représentante de l’Etat n’avait pourtant pas hésité à souligner combien, à ses yeux, “l’agriculture ariégeoise est un acteur exemplaire dans la mise en oeuvre de la transition écologique.

J’ai eu l’occasion de constater la qualité de ce travail à de multiples reprises. Mes déplacements en estives m’ont ainsi permis de voir à quel point l’élevage ariégeois contribuait à l’ouverture de nos paysages, en répondant dans le même temps aux exigences de nos concitoyens en matière de bien-être animal. J’ai également pu mesurer l’implication des agriculteurs en matière de sobriété en matière d’irrigation, qui a permis une gestion exemplaire de la res- source cet été. Hautes-Pyrénées : piégée, une vache évacuée par hélicoptère. L'essentiel L'animal se trouvait dans l'incapacité de se sortir du relief escarpé où une autre vache a trouvé la mort. Son propriétaire a donc sollicité un appareil pour l'évacuer par hélicoptère Au milieu de la falaise qui surplombe le bois, au-dessus du lac d'Estaing, elle patiente.

Depuis des semaines. «Elle est remontée», s'écrie Jean-Stéphane, une fois la vache localisée grâce à sa cloche. Si l'éleveur ne peut assurer qu'il s'agit là de la crainte suscitée par une attaque d'ours, l'ombre du plantigrade plane. Faute de pouvoir désigner avec certitude un coupable, Alexandre Sarrotte a entrepris de sortir sa vache de ce mauvais pas, dans ce secteur difficile d'accès. Le cri des élus sur l’ours et le loup : « La montagne n’en peut plus » «L’homme et l’ours ne savent plus vivre ensemble» Cet automne, sur le pâturage du Sénard, l’herbe est encore imprégnée d’une odeur de charogne.

Les rapaces n’ont pas fini le travail et les carcasses pourrissent toujours, stigmates de la nuit du 25 au 26 juin, à 2 200 mètres d’altitude en Ariège, aux confins des Pyrénées. Une attaque d’ours, 260 brebis mortes dans un «dérochement». On imagine des obstacles de pierres mais cette étendue herbeuse en est dépourvue. Et ce ravin à pic est une pente que les bêtes ont l’habitude d’emprunter. Dans un mouvement de panique, poursuivies par l’ours, elles ont chuté dans un sentier étroit, asphyxiées, écrasées les unes contre les autres. «C’est la révolution ! Cette «prédation» est l’une des plus retentissantes dans les Pyrénées depuis cinquante ans mais, au-delà, par la succession des incidents, l’année 2019 a atteint des records en Ariège, selon un rapport de l’ONCFS, qui dépend du ministère de l’Environnement. À lire aussiHuit parades contre les plantigrades.

Huit parades contre les plantigrades. Ours : en Espagne, une poudrière des Balkans. «L’élevage extensif agonise. Défends-le !» Tel était le slogan d’une manifestation d’un genre jusqu’alors inédit à Ansó, bourgade montagneuse de l’Aragon. Risque zéro. Édito. Ours : les élus de la montagne demandent l'abandon définitif de toute réintroduction. Prédation : Manifestation contre l’ours. Prédation réservé aux abonnés. La ministre Jacqueline Gourault confirme qu'il n'y aura pas de nouvelle introduction d'ours dans les Pyrénées. La ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, Jacqueline Gourault est en visite au Pays Basque ce jeudi, invitée dans le cadre du 35ème congrès de l'Association Nationale des Elus de Montagne (ANEM) qui se déroule sur deux jours à Saint-Jean-Pied-de-Port.

Des élus qui, pour nombre d'entre eux, ne veulent ni de l'ours ni du loup et ce malgré les indemnisations, que le gouvernement a revu à la hausse. Ours: Les éleveurs restent mobilisés. 15/10/2019 | Plus de 150 éleveurs béarnais, basques, bigourdans, ariégeois et espagnols ont manifesté leur colère ce 14 octobre à Tarbes. Aulus-les-Bains. Un troupeau de vaches au village. Quel beau spectacle par ces belles journées d'automne ! Tarbes. Entre le pastoralisme et l'ours les éleveurs veulent un choix clair.

L'essentiel Ils étaient environ 200 éleveurs des Pyrénées, à manifester, ce lundi 14 octobre, à Tarbes, pour la défense du pastoralisme et contre l'ours. Reportage. Attaque d'ours dans les Pyrénées : des éleveurs déversent du fumier sur la préfecture de Tarbes. La laine sur le dos. L'ours des Pyrénées au centre de la colère des agriculteurs à Tarbes. Ours : les agriculteurs pyrénéens déversent leur colère devant la préfecture de Tarbes. Indemnisation des dégâts liés à l’ours : le Fiep dénonce « une surenchère » Sentein. Foire de la descente : des éleveurs très remontés. Jour de colère à Pamiers et Foix. Dégâts d’ours : un chèque de 1212 € pour une brebis sera rendu, ce mardi, par les éleveurs.

Heureux comme un ours dans les monts Cantabriques en Espagne. OURS CAMARRA JJ Hebdo La montagne 04 Oct 2019. Pyrénées : des oursons au printemps pour Sorita et Claverina ? Pyrénées espagnoles : l’ours Claverina soupçonnée après le dérochement de 70 brebis. Luz-Saint-Sauveur. Le mouton au menu. Attaques d'ours : vers un été record en Ariège ?