background preloader

PEDAGOGIE

Facebook Twitter

Comment écrire l’histoire du monde ? Lu sur The Conversation Histoire « globale », histoire « mondiale », histoire « connectée » : tous ces termes désignent un mouvement qui s’éloigne sans doute d’une forme un peu étriquée d’histoire nationale mais qui ne lui tourne pas le dos nécessairement. Ce ne sont en rien des entreprises idéologiques de dé-légitimation des histoires nationales. Changer de point de vue Il faut d’abord préciser les différentes possibilités narratives – car c’est au fond de cela qu’il s’agit – que portent ces démarches. C’est précisément pour se rapprocher des paysages, des visages et du temps que ce qu’on appelle « l’histoire connectée » tente un autre déplacement en écrivant au contraire une histoire locale de la manière dont chaque endroit du monde est travaillé et traversé par la mondialité.

Il ne s’agit pas tant de découvrir des faits nouveaux que de voir quelque chose que tout le monde avait sous les yeux. Une histoire pour notre temps ? Se désorienter pour écrire l’histoire Partagez la connaissance ! Comment mieux évaluer le travail des élèves. Des chercheurs testent actuellement, dans 70 collèges et lycées, une alternative au traditionnel système de notation : l’évaluation par compétences. Si les premiers résultats sont prometteurs, l’expérience est bien loin d’être finie. Décryptage. La nouvelle a fait les gros titres de la presse française il y a quelques semaines : une étude scientifique préconiserait l’abandon des notes à l’école. Dans un pays attaché de longue date à la notation de 0 à 20, l’annonce a aussitôt fait l’objet de débats aussi intenses que… prématurés. En effet, les résultats dont les commentateurs se sont emparés ne sont que les tout premiers d’une expérience en cours, menée depuis la rentrée 2014 dans 70 collèges et lycées de l’académie d’Orléans-Tours.

Cette étude ambitieuse livrera ses réelles conclusions dans de longs mois, en 2018. Des notes subjectives et anxiogènes Cours de français dans une classe de sixième. La note amplifie les inégalités scolaires et renforce le déterminisme social. Cette année, j'ai testé pour vous... Avec l’esprit de contradiction qui me caractérise, je me suis lancée dans les évaluations différenciées juste après une « formation » scandaleuse de non sens (d’où les guillemets) à ce sujet. Après avoir subi les logorrhées interminables du formateur qui ne m’ont pas fait progresser d’un iota sur la question, je m’y suis mise… toute seule. Alors, concrètement, comment ça se passe ? Ce que je m’apprête à vous dévoiler n’engage que moi, bien sûr !

L’idée était de trouver une façon de différencier qui ne soit pas chronophage, seule manière de tenir la durée, et de ne pas abandonner après la première fois. Voilà comment je fonctionne : Étape n°1 : Ouvrir un document texte, et créer un tableau avec trois colonnes : niveau 1 / niveau 2 / niveau 3. Certains me diront : « mais, du coup, est ce que tu n’as pas des problèmes de moyennes « trop » élevées ?!

Ah, et une dernière chose : souvent, lorsqu’on parle d’évaluation différenciée, ce qu’on redoute, c’est le temps de correction en plus. Alors ? 8 stratégies d’enseignement efficaces selon Hattie et Marzano. Enseigner plus explicitement : l'essentiel en quatre pages. Ce que dit le prescrit Le référentiel de l'Éducation prioritaire (« enseigner plus explicitement les compétences que l’école requiert pour assurer la maitrise du socle commun »), comme les programmes 2015 des cycles 2, 3 et 4, avec de nombreuses occurrences du terme «explicite», s’accordent sur la nécessité « d’enseigner plus explicitement ».

Nombre de modalités sont recommandées au fil des pages : expliciter des techniques, des pratiques, des attentes, des règles, des stratégies, des démarches, des savoir-faire, des implicites dans la compréhension des textes, des connaissances préalables aux apprentissages... Autant d’ambitions à confronter aux contraintes des situations de classe… Mais quelle en est la genèse conceptuelle ? Des cadres théoriques différents Depuis quelques années, le vocable « pédagogie explicite » est utilisé par plusieurs courants de recherche au risque de malentendus : Les savoirs scolaires ne sont pas une somme de connaissances à accumuler dans la tête des élèves. Cap ou pas cap ? Pourquoi ne pas jouer ?

Les fêtes de Noël approchent et je regarde mon fils jouer… Avec mélancolie, je me demande comment le temps peut filer si vite. Aujourd’hui il a grandi (4 ans ½ c’est déjà grand ! En tout cas il aime se l’entendre dire), ses jeux ont évolué avec lui. Je m’étonne toujours de le voir construire, détruire et reconstruire. Les enfants apprennent en jouant c’est bien connu. Certains adultes aussi… Cesse-t-on réellement un jour de jouer ? Nos jeux nous accompagnent à chaque moment de notre vie. Lorsqu’on enseigne aux petits, en maternelle et à l’école primaire, le jeu est une pédagogie qui semble naturelle, cela va de soi. Cette question, je me la suis posée assez tôt. Ma première expérience de jeu, je l’ai vécue lors de mon année de stage : j’avais créé une séance « chasse au trésor » pour la venue de ma conseillère pédagogique dans ma classe, et ça a été je crois une des plus belles séances de ma carrière !

INDICE 1 : Le trésor est non loin d’un lieu d’ivresse. . – Qui suis je ? Commentaires. Travailler sans note : en cours d'acquisition. Dans mon nouveau collège d’adoption (ou de mutation, comme on veut), il n’y a pas de notes en sixième. « Même pas peur ! » : avec ou sans note l’important est d’évaluer les compétences. C’est ce que je fais depuis déjà longtemps pour tous les élèves du collège où, en SVT, j’évalue 5 compétences différentes : restituer, s’informer, communiquer, raisonner et réaliser. Qu’il y ait des notes ou pas, cela ne doit pas changer grand-chose… Enfin, pas si simple ! Quelque soit la classe ou le niveau, évaluer les compétences permet de mieux cerner le profil d’un élève, et de lui faire pointer du doigt ses points forts et surtout ses points faibles ; travaillant par compétences depuis un moment j’avais déjà défini des niveaux à atteindre. Niveau débutant : lorsque les premières corrections arrivent, il ne faut pas perdre de temps car d’autres suivent souvent rapidement.

Niveau apprenti : juste avant les vacances de la Toussaint, il est temps de faire un bilan pour informer les parents d’élèves. Freinet au collège, comment mettre en place un plan de travail ? Quoi de neuf ? , texte libre ou plan de travail, les outils pédagogiques de la méthode Freinet sont entrés progressivement dans les salles de classe et séduisent de plus en plus au collège.

Régulièrement, les médias accordent un billet ou un reportage à l’héritage de Célestin Freinet. Né en 1896, cet instituteur, marqué dans sa chair par la Première Guerre mondiale, décida avec d’autres enseignants de penser une autre pédagogie pour construire une société plus juste où chacun trouverait sa place. Aujourd’hui, l’ICEM (Institut Coopératif de l’École moderne créé en 1947 par Célestin Freinet) continue de porter le projet… « …d’une école laïque, émancipatrice, coopérative où l’enfant-auteur a toute sa place et qui permet une méthode naturelle d’apprentissage par tâtonnement expérimental ;d’une école où chacun est reconnu, accueilli, respecté… pour l’égalité des droits ;d’une école ouverte à la vie et vers la vie Un exemple de plan de travail (source) Sa démarche expliquée en vidéo Aller + loin.

BANQUE D'OUTILS D'AIDE A L'EVALUATION. Apprendre à apprendre - IClasse 130.