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L'Europe

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L’Union Européenne est entrain de s’écrouler comme l’ex URSS. En Europe, comme en France, une crise chasse l’autre.

L’Union Européenne est entrain de s’écrouler comme l’ex URSS

Pendant quelques jours ou quelques semaines tous les médias se focalisent sur un événement majeur puis le délaissent au profit d’une actualité encore plus brûlante, voire dramatique. Ces derniers mois, nous avons connu trois crises en lien avec l’Union européenne : la grecque avec l’élection de Tsipras (qui rebondit à la suite des nouvelles élections), la crise agricole autour du marché du porc et enfin celle que nous vivons actuellement avec les quotas de « migrants » désormais appelés « réfugiés » car les clandestins ont disparu… de la bouche de nos dirigeants. Ces crises qui se succèdent et s’effacent les unes après les autres nous empêchent de les situer dans un ensemble et de discerner les liens entre elles. Rappelons les piliers de la construction européenne : libre circulation des personnes, des biens et des capitaux dans le cadre d’une « concurrence libre et non faussée ».

Clarté. « Le grand problème de l’Europe, c’est l’occupation américaine » L’été règne sur toute l’Europe, de la Grèce jusqu’à la Suède.

« Le grand problème de l’Europe, c’est l’occupation américaine »

Les vacances ont vidé les bureaux, et rempli les plages. Des fleurs partout, des fleuves de parfums. Des festivals sans fin, des performances et autres installations artistiques agrémentent les anciennes cités désuètes. Schäuble veut priver la Commission européenne de ses pouvoirs. La DWN (Deutsche Wirtschafts Nachrichten) croit savoir que Wolfgang Schäuble est en pétard après Junker, lequel, selon Schäuble, outrepasse ses fonctions en négociant directement avec Tsípras.

Schäuble veut priver la Commission européenne de ses pouvoirs

L’Allemagne est en conflit ouvert avec la Commission européenne (CE). Le Frankfurter Allemeine Zeitung rapporte que Wolfgang Schäuble aurait préparé un plan pour priver la Commission de ses pouvoirs. Selon Schäuble, la Commission n’est pas une administration politique. Les fonctionnaires sont soumis aux politiques et n’ont aucun mandat pour négocier ! Jean-Claude Milner: "Hollande et DSK ont un projet européen de type impérial" - Bibliobs. BibliObs.

Jean-Claude Milner: "Hollande et DSK ont un projet européen de type impérial" - Bibliobs

Comment avez-vous perçu l’accord européen sur la Grèce ? Jean-Claude Milner. Beaucoup de questions me sont venues à l'esprit. Je me suis rappelé la chute de Robespierre; le seul adversaire qu'il ait jugé digne de nommer, le 9 Thermidor, était Cambon. Celui-ci, déjà expert reconnu des finances publiques, proposait, pour équilibrer le budget, de cesser de payer les rentes viagères garanties par l'Etat. La Grèce avait une dette financière à l'égard de ses créanciers extérieurs et une dette politique à l’égard de ses citoyens. Jean-Pierre Chevènement : «Si la Grèce sortait de l'euro, elle pourrait se redresser» (1/2) FIGAROVOX/COLLECTION - Chaque week-end jusqu'à la fin du mois d'août FigaroVox vous offre exceptionnellement un entretien réservé aux abonnés Premium.

Jean-Pierre Chevènement : «Si la Grèce sortait de l'euro, elle pourrait se redresser» (1/2)

Cette semaine Jean-Pierre Chevènement que nous avions interviewé en plein cœur de la crise grecque. Première partie. Le 3 juillet dernier à la vielle du référendum grec, l'ancien ministre de l'Intérieur et de la Défense confiait à FigaroVox qu'une sortie éventuelle de la Grèce de la zone euro ne serait pas une catastrophe. Crise Grecque : heureusement qu’Angela Merkel existe. Par Le Parisien Libéral.

Crise Grecque : heureusement qu’Angela Merkel existe

Angela Merkel à Davos (crédits : World Economic Forum, licence Creative Commons) Des jobs à fort défi, il en existe beaucoup. Cela va de gestionnaire des 10 milliards d’euros de déficit de la Sécurité Sociale a chargé de communication à la SNCF, un jour de départ en vacances. Mais celui qui présente le challenge le plus fort du moment, c’est probablement publicitaire en charge du dossier allemand. Quelque soit la justesse de l’analyse d’Angela Merkel dans le dossier grec, force est de constater que, comme le pense Jurgen Habermas, le gouvernement Merkel a peut-être anéanti un demi-siècle d’efforts de reconstruction de la réputation allemande, en tout cas chez un grand nombre d’observateurs français ou au sein de la gauche européenne.

On voit refleurir, en effet, des propos anti-allemands, voire complètement germanophobes, des plus posés et argumentés, chez Coralie Delaume notamment, aux plus outranciers (Merkel traitée de nazie). L’accord top secret qui doit dépecer les services publics. La gauche et l’euro : liquider, reconstruire. » Le choquant Rapport AIG de 2008 sur les véritables motifs derrière la « crise perpétuelle » de l’Europe et la mort de la Grèce.

Source : Zerohedge, Tyler Durden sur 15/07/2015 17:52 -0400 – Traduction Librement Adaptée © Didier ARNAUD le 16/07/2015 Source : “Hier, Richard Koo de Nomura a présenté l’une des meilleures évaluations de la situation en Grèce, quand il a déclaré que le « FMI commence lentement à comprendre l’économie grecque », ce qui explique son revirement stratégique, à propos de celle qui exige désormais des réductions de sa dette bien plus importantes que ce que l’Europe, et l’Allemagne tout particulièrement, sont prêts à concéder.

» Le choquant Rapport AIG de 2008 sur les véritables motifs derrière la « crise perpétuelle » de l’Europe et la mort de la Grèce

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