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Agriculteurs et jardiniers seront-ils bientôt obligés de cultiver dans la clandestinité ? Les paysans qui ressèment leur récolte seront-ils considérés comme des trafiquants ?

Agriculteurs et jardiniers seront-ils bientôt obligés de cultiver dans la clandestinité ?

Oui, ont répondu les sénateurs en adoptant le 20 novembre à l’unanimité un projet de loi élargissant aux plantes le délit de contrefaçon. S’émanciper des droits de propriété détenus par les grandes firmes semencières sera désormais un délit. La loi prévoit aussi de nouveaux moyens de répression contre paysans et jardiniers clandestins. Pour les promoteurs de la loi, il s’agit simplement de « protéger les entreprises ». Semer sa propre récolte. L’État au service des entreprises privées Cette loi vient renforcer un arsenal juridique qui protège les entreprises commercialisant des semences. . « La nouveauté, c’est que ce projet de loi demande à l’administration d’aider l’entreprise à lutter contre les contrefaçons et de transmettre toutes les informations dont elle dispose », poursuit Guy Kastler. Des douaniers infiltrés en zone rurale ? Généralisation des OGM ? Paroles, paroles, paroles... Les dessous de l'écotaxe : quand Benetton et Goldman Sachs collectent l'impôt français.

Après six ans de reports et d’atermoiements, l’écotaxe poids lourds est devenue un sujet explosif.

Les dessous de l'écotaxe : quand Benetton et Goldman Sachs collectent l'impôt français

Et le gouvernement n’en finit plus de s’empêtrer dans des reculades qui le décrédibilisent. Les critiques se focalisent sur le coût de la taxe pour les transporteurs et les agriculteurs. Pourtant, l’essentiel est ailleurs : pour la première fois, la collecte d’un impôt est confiée à des entreprises privées. L’État a fait le choix de déléguer le recouvrement de l’écotaxe à un prestataire, par le biais d’un contrat de partenariat public-privé. Le produit de la perception de la taxe, estimée à 1 200 millions d’euros par an, sera reversé à l’administration des douanes. . « Un retour à la Ferme Générale de l’Ancien Régime ! Benetton, Goldman Sachs, Thales et SFR, collecteurs d’impôt « Le coût global du contrat de partenariat, bien qu’élevé, ne semble pas surestimé », conclut Marie-Hélène Des Esgaulx devant la commission des Finances. Les rentrées fiscales passeront-elles par les paradis fiscaux ? Métiers du digital : "les réseaux sociaux ont changé la donne" par Jacques Froissant (Altaïde)

Il y a 15 jours, je me rendais à la soirée blogueurs dite “Social drink up” de Adobe dans les superbes locaux de la maison du Danemark sur les Champs Elysées.

Métiers du digital : "les réseaux sociaux ont changé la donne" par Jacques Froissant (Altaïde)

La premère présentation fut celle de notre ami Jacques Froissant d’Altaïde qui nous a dressé un portrait particulièrement intéressant et éclairant en ces temps de crise de l’emploi, des nouveaux métiers du digital Voici mes notes, prises en cours de réunion, sur ma précieuse tablette (et d’autant plus précieuse qu’elle me fut volée quelques jours plus tard). Grâce à Evernote, et au cloud computing, les voici sauvegardées, ressuscitées et commentées : Les nouveaux métiers du digital en 2013 Jacques a “fait une étude quali en début d’année. Photo : Jacques Froissant lors de sa présentation à la soirée Adobe Les facteurs de changement principaux, issus de cette étude, ont été décrits comme suit par Jacques Froissant : Quelles conséquences sur les métiers du digital ? Quelles sont les fonctions digitales de demain ? Que faut-il retenir ?