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Pourquoi définir un champ lexical pour son référencement ? Un champ lexical est un ensemble de mots (clés) ou d’expressions se rapportant à un même thème.

Pourquoi définir un champ lexical pour son référencement ?

Pourquoi faut-il définir son champ lexical avant de concevoir votre site web ? Pour le comprendre, il suffit de savoir comment fonctionnent les moteurs de recherche (Google ….). Ce sont des ordinateurs, donc sans émotion ni réelle capacité d’analyse. Ces ordinateurs mémorisent les termes que les internautes tapent dans la barre de recherche (exemple : ou trouver un restaurant libanais à Amiens). On nomme cela : mots clés,Ces ordinateurs analysent ensuite régulièrement les pages publiées sur le web et les termes qui y sont écrits,Les pages sont alors classées par Google,Dès lors qu’un internaute va taper un mot clé (exemple : où trouver mots clés un restaurant libanais à Amiens), il va sortir de sa bibliothèque les pages qu’il considère pertinentes et les présenter à l’internaute par ordre de pertinence.

C’est ici que la magie opère. Méthode pour créer son champ lexical. S01 thesau objets. S02 - OCIM. S02 - archives premiers pas. Faire ses premiers pas dans la recherche Commencer une recherche peut paraître insurmontable : Où chercher ?

S02 - archives premiers pas

Comment chercher ? Quelle méthodologie adopter ? Toutes ces questions seront en partie résolues grâce à des fiches pratiques et des outils vous expliquant les rudiments d’une recherche fructueuse. Des fiches d’aide à la recherche : Pour préparer une recherche dans les archives contemporaines, vous pouvez consulter les explications des Archives départementales de l’Indre-et-Loire. Des outils pratiques : Abécédaire archivistique (pour vous y retrouver dans le vocabulaire spécifique des archives et des archivistes)Archives départementales de la Drôme Archives départementales de la Haute-Vienne Archives départementales du Var Portail international archivistique francophone (Piaf) S02 archives Page d'accueil.

S02 Architecture & Patrimoine. S01 Thésaurus03. S01 Thésaurus02. S01 Thésaurus01. Anonymat.org - Sécurité informatique, mouchard, espiogiciel, spyware, espionnage, intrusion. Surfer anonymement. Il ne faut jamais oublier que, quand nous surfons sur internet, nous laissons des traces.

Surfer anonymement

A peine sommes-nous connectés à un site que notre ordinateur est identifié par son adresse IP, stockée par le site distant et tous les sites affichant des bannières ou du contenu dynamique sur le site en question. De plus, les cookies utilisés par les sites, sont de petits fichiers permettant de mémoriser les préférences de l'utilisateur durant sa session, en particulier les données saisies dans les différents formulaires. S'ils servent d'abord à personnaliser la navigation, ces cookies peuvent aussi être utilisés pour enregistrer des informations à des fins commerciales, notamment afin de revendre votre adresse électronique (cas du spam) ou vos habitudes de navigation et de consommation à des sites de profiling. MapAList - Créer et gérer des cartes de listes d'adresses.

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Create Maps. Journalisme graphique. Lectures diverses outils datajournalism. CartoDB. GeoCommons. Tableau Public. Datajournalisme. Wedodata. Data journalism. Étude. Ouvrons les archives des journaux. Quelle est la couverture que les journaux donnent à tel ou tel évènement ?

Ouvrons les archives des journaux

Existe-t-il des règles quant à la quantité de couverture donnée à un lieu ou une personne ? En 2008, j’avais fait l’expérience en montrant ‘le monde dans les yeux d’un rédac chef’, en comptant le nombre de fois où un pays était mentionné dans la presse. Résultat : Plus un pays est riche et plus il est peuplé, plus les médias en parlent. Rien de très surprenant, si ce n’est les exceptions à la règle (surreprésentation de l’Espagne et de l’Italie, sous-représentation du Japon et de l’Allemagne).

Pour rendre ce genre de recherche accessible à tous, j’ai codé un programme, dans le cadre d’un projet OWNI, permettant d’extraire le nombre d’occurrences d’un mot dans 3 médias (Libération, Le Monde et Le Figaro) en fonction de la date. Il permet par exemple de vérifier si Le Monde s’est plié à la volonté du gouvernement, votée par le parlement en 2010, de parler de ‘vidéoprotection’ et non plus de ‘vidéosurveillance’.

Journalistes, les infirmières californiennes peuvent vous faire aimer les chiffres! Les journalistes français sont-ils si mauvais ? Se demande, dans un ouvrage récent, François Dufour, rédacteur en chef de Mon quotidien et ex vice-président des Etats généraux de la presse écrite. Je reviendrais bientôt en détail sur ce stimulant essai, mais je peux vous donner la réponse de François Dufour : oui, les journalistes français sont mauvais. Je ne souhaite pas reprendre en bloc ce jugement. Mais il est certain que les journalistes français démontrent régulièrement des faiblesses inquiétantes. Plutôt que de pointer tel ou tel raté, je voudrais souligner notre marge de progression, en vous racontant l’histoire d’une enquête exemplaire.

Une fois n’est pas coutume, je vous invite à prendre l’avion pour traverser l’Atlantique. Enquête fondée sur des statistiques Charles Ornstein et Tracy Weber, auteurs de l'enquête C’est sur la méthode des deux journalistes que j’aimerais m’attarder. Données publiques et journalisme. Libérez les données publiques gratuitement !

Données publiques et journalisme

Une fois de plus, cette demande a été émise lors de la seconde conférence Lift France (technologie & prospective). Leur utilisation dans le domaine de l'information présente un intérêt énorme. Le journalisme de données commence à prendre son essor en France, mais les données publiques, contrairement à d’autres pays, n’y sont pas encore totalement libérées ou facilement accessibles. Cette semaine à Marseille, lors de la seconde conférence Lift France (technologie & prospective), les appels se sont multipliés pour libérer gratuitement les données publiques. L’enjeu est économique, démocratique et social. Hélas, aujourd’hui, « nous avons l’état d’esprit du 19ème siècle, les méthodes du 20ème et les besoins du 21ème », a joliment résumé Sam Pitroda, conseiller en technologies de l’information du Premier ministre indien.