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Culture

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2017 12 05 Bulletin Bulle 14 CS CAPITALE. Sale multiculturaliste ! À lire les journaux, à écouter la télé et la radio, on croirait le Québec peuplé de vilains « multiculturalistes », expression à connotation négative qui se retrouve chaque jour dans les médias. L’expression sert habituellement à discréditer toute personne favorable au maintien ou à la hausse des seuils d’immigration. Elle vise sans discrimination le péquiste Alexandre Cloutier et le libéral Philippe Couillard. Elle est utilisée comme munition contre « la gauche mondaine et urbaine ». Or, l’emploi à outrance de cette « insulte » est pour le moins curieuse, car le véritable multiculturalisme n’existe tout simplement pas au Québec… La commission Bouchard-Taylor a rejeté le modèle du multiculturalisme canadien, qui n’est « pas adapté » à la réalité québécoise.

La quasi-totalité des intervenants qui se sont exprimés lors des consultations l’ont rejeté. L’ensemble des partis représentés à l’Assemblée nationale rejette aussi le multiculturalisme. Vos coups de cœur. Lumière et mouvement dans la couleur, de Jean-Paul Mousseau Entrée de l’édifice d’Hydro-Québec, 75, boulevard René-Lévesque Ouest Connue sous le nom de « murale de Mousseau », Lumière et mouvement dans la couleur a été créée par Jean-Paul Mousseau (1927-1991) en 1961-1962 avec de la fibre de verre et des résines colorées. Pesant 1360 kg, la murale de 22,86 m de large sur 4,57 m de haut est éclairée par-derrière au moyen de 1280 m de néons de huit couleurs. Chaque changement d’éclairage permet de découvrir une œuvre différente qu’on ne pourra revoir que… 175 000 ans plus tard ! La vélocité des lieux, de BGL Intersection des boulevards Henri-Bourassa et Pie-IX Créée en 2015 par BGL, le collectif d’artistes de Québec formé de Jasmin Bilodeau, Sébastien Giguère et Nicolas Laverdière, la sculpture monumentale La vélocité des lieux est vite devenue emblématique.

Les grandes formes qui dansent, de Marcelle Ferron Station de métro Champ-de-Mars, intersection des rues Viger Ouest et Sanguinet. 110 avril 2016. Louis-Jean Cormier | Retrouvailles à Sept-Îles. Tout Sept-Îles était fébrile à l’annonce du retour de Louis-Jean Cormier en terre natale et l’École secondaire Manikoutai a marqué le coup de belle manière. Son plan : tourner son spectacle Les grandes artères dans l’Est du Québec, au Sud maternel et au Nord paternel du Fleuve Saint-Laurent, pendant la saison de la pêche aux crabes et aux crevettes, tant qu’à faire! Louis-Jean Cormier, comme énormément d’autres jeunes ayant grandi loin des centres urbains, a quitté Sept-Îles pour Montréal, pour étudier la musique au Cégep St-Laurent. Une moitié de sa vie à l’embouchure du Fleuve, l’autre à sa source. Et il était attendu, ce retour au bercail. On s’arrachait les précieuses minutes de son agenda présidentiel lors de sa visite à Sept-Îles!

L’École secondaire Manikoutai qu’il a fréquentée, lui réservait d’ailleurs une grande surprise. Source : Bio Crédits Coordination : Virginie Lamontagne Caméra et montage : Guillaume Thibault. Sophie Prégent veut ramener la culture à l'école | Mario Cloutier | Nouvelles. Prenant la parole devant 250 membres du CORIM (Conseil des relations internationales de Montréal) mercredi dernier, Sophie Prégent a insisté sur l'urgence de « ramener la culture et les arts à l'école ». « L'art contribue à la persévérance scolaire, à l'amélioration des résultats et au développement des compétences de générations d'élèves », a-t-elle soutenu devant un parterre mixte de gens d'affaires et des arts.

Tout en remerciant Québec d'investir dans l'action culturelle en faveur des enfants âgés de 4 à 11 ans, la présidente de l'UDA souhaite un changement plus large. « Ce ne sont pas les pièces que j'ai vues ou jouées qui ont fait de moi une actrice, mais ça m'a ouvert les yeux sur le monde. L'art ouvre l'esprit. Même les gens qui étudient en sciences pures y gagneraient quelque chose », explique Mme Prégent. Elle constate un désintérêt de l'école envers les arts et ce n'est pas qu'une question de budget. . « On sent un intérêt qu'on n'avait même plus au gouvernement fédéral. TV5.ca. Une nouvelle politique de la culture en 2017. Québec va se doter d’une nouvelle politique culturelle en 2017.

Le chantier de renouvellement lancé officiellement lundi à Montréal par la ministre de la Culture et des Communications, Hélène David, s’appuiera sur une « vaste consultation » publique menée dans toutes les régions. Le Parti québécois avait fait du renouvellement de la politique culturelle une promesse électorale pendant la dernière campagne. Le Parti libéral a repris cet engagement sitôt élu. La politique nationale baptisée « Notre culture, notre avenir », toujours en vigueur, date de 1992.

. « Étant en poste depuis 22 mois, j’ai eu l’occasion d’étudier de près les nouvelles problématiques et les phénomènes de la culture en mutation, a dit la ministre devant des dizaines de gens du milieu réunis dans l’agora souterraine de la Place des Arts. Voici les principaux éléments dévoilés : Gouvernement. Conseil. Langue. Édition. Éducation. Patrimoine. Autochtones. Consultation. Fonds. Edgar Morin : « Nul ne naît fanatique »

Nul ne naît fanatique, rappelle le sociologue et philosophe. Pour empêcher le basculement dans la radicalité, l’enseignement devrait œuvrer sans relâche à délivrer la connaissance et à repérer les illusions. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Edgar Morin (Sociologue et philosophe) Par Edgar Morin, sociologue et philosophe La première déclaration de l’Unesco à sa fondation avait indiqué que la guerre se trouve d’abord dans l’esprit, et l’Unesco a voulu promouvoir une éducation pour la paix. Mais en fait, il ne peut être que banal d’enseigner que paix vaut mieux que guerre, ce qui est évident dans les temps paisibles.

Le problème se pose quand l’esprit de guerre submerge les mentalités. Eduquer à la paix signifie donc lutter pour résister à l’esprit de guerre. Cela dit, en temps même de paix peut se développer une forme extrême de l’esprit de guerre, qui est le fanatisme. Une structure mentale commune Réductionnisme, manichéisme, réification « La connaissance de la connaissance » Jouer au sein d'une harmonie, un acte social ? À l'origine, Bruno Hubert, docteur en sciences de l'éducation, s'intéresse à la biographie, à la vie des gens. Sa thèse, il l'avait rédigée sur le cahier d'école. Aujourd'hui enseignant à l'École du professorat et de l'éducation (ex-IUFM), rattaché à l'université de Nantes, il a collaboré à un ouvrage collectif portant sur les médiations culturelles et artistiques, dirigé par Frédérique Montandon et Thérèse Perez-Roux (aux Éditions L'Harmattan, 27 €).

Son chapitre d'une vingtaine de pages a relié son savoir à son expérience, celle de clarinettiste au sein de l'harmonie du Bailleul-Villaines-sous-Malicorne. « L'idée était d'interpeller les gens qui jouaient, sur ce que la musique leur apporte, sur le plan artistique et sur eux-mêmes. » Bruno Hubert voulait démontrer que l'on peut « s'épanouir artistiquement au sein d'une association, en milieu rural ou en ville » . « Faire ensemble » D'ailleurs, les musiciens interrogés emploient régulièrement le mot « famille ». Tous_les_numeros_1_a_7. Recueil de citations, maximes et pensées - abc-citations. 25 choses que vous ne savez peut-être pas sur la Belgique | Exil à Bruxelles. 1. La Belgique a l’une des plus faibles proportions de restaurants McDonald’s par habitant du monde développé. 2. La Belgique compte environ 178 brasseries qui produisent ensemble plus de 800 bières différentes. 3. La Belgique produit plus de 220.000 tonnes de chocolat par an. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. 22. 23. 24. 25.

Source: merci à mon ami André de m’avoir envoyé cette liste, je n’ai pas eu la possibilité (en fait, le temps…) de vérifier la véracité de toutes ces affirmations mais je fais confiance aux Belges:-) André me confirme que le numéro 11 qui paraît pourtant peu crédible, est correct! Source originale: Mylène Vandecasteele pour Express.be J'aime : J'aime chargement… Sur le même thème Les écrins gourmands Paris, ville de la mode. Dans "Méli-Mélo" De la Bière et des Jeux Au cas où vous ne seriez pas au courant...c'est la Coupe du monde de Football ! Charli, le boulanger vedette Dans "Autres Français" Mots-clés : Bruxelles, Insolite. Manifeste pour la culture numérique. MANIFESTE POUR LA CULTURE NUMERIQUE - par Alain Giffard Le numérique est partout : nous travaillons avec le numérique, communiquons avec le numérique, apprenons avec le numérique ; avec le numérique, nous faisons la guerre, des rencontres ou des affaires... la liste n’est pas prête d’être close, ni la ferveur avec laquelle nous soumettons nos activités, nos identités et nos vies à l’emprise du numérique.

Il est peut-être temps de poser la question : où apprenons-nous à comprendre ces technologies numériques ? À les anticiper ? À les détourner ? À nous les approprier ? Cette question n’est rien d’autre que la question de ce que nous nommerons ici : la culture numérique. Sans doute a-t-elle été relancée dans la période récente, en particulier à l’initiative de l’Administration Obama. Avec le thème de la «digital literacy», apparu pendant la décennie 2000, dans un contexte de politique publique, se dessine le nouveau paysage conceptuel de la culture numérique officielle.

Nos propositions. L'identité culturelle, raison principale des études en français? «Jusqu'à maintenant, on pensait que la proximité des institutions francophones avait le dessus sur l'identité culturelle pour poursuivre des études postsecondaires en français. Or, on s'aperçoit que ce n'est pas tout à fait vrai.»

Selon l'étude menée auprès de plus de 1000 jeunes Franco-Ontariens âgés de 16 à 17 ans, le désir de continuer ses études en français reste plus marqué pour les jeunes de l’est de la province que pour les jeunes d’Ottawa. Et ce malgré la proximité avec l’Université d’Ottawa et la Cité. «Il y a 45 % des jeunes de l’Est ontarien qui ont décidé de poursuivre leurs études en anglais parce que leur programme n’était pas offert en français, alors que ce pourcentage n’est que de 22 % à Ottawa, de 16 % dans le nord et de 18 % dans le sud de la province», explique le professeur Samson Cette différence s’explique selon lui par l’utilisation plus fréquente du français chez les étudiants de l’Est ontarien.

Ce week-end, Les trois petits cochons... en chinois à la Place des Arts ! La Place des Arts est fière de proposer au public d’ici un regard très actuel sur la création artistique chinoise avec la présentation de cet événement culturel chinois prestigieux, un des plus importants diffusé à l’étranger au cours des dernières années. SPECTACULAIREMENT CHINE présente cinq spectacles et une exposition couvrant un éventail de disciplines artistiques allant de l’opéra de Pékin à la danse contemporaine, d’un concert classique au carnaval chinois, d’un conte pour tous à une exposition grand public. C’est un rendez-vous privilégié donnant accès à un panorama des arts de la scène et des arts visuels en Chine, tant dans des formes plus traditionnelles que dans des formes contemporaines.

Un spectacle jeunesse en deux parties présenté par le Théâtre national de Chine pour enfants qui s’adresse aux familles de toutes les origines. Virtuosité, imagination, humour et trouvailles visuelles, de tout pour que les enfants passent un moment magique ! Des découvertes complémentaires. Lire, compter, découper, écrire, raisonner, dessiner, regarder, sauter, réciter, débattre, courir, chercher, analyser, corriger, fabriquer… ne se réfèrent pas seulement à des exercices construits, plus ou moins artificiellement, pour les besoins des apprentissages. Ils sont au cœur de nos pratiques humaines quotidiennes et mettent en oeuvre le corps, les sens, l’esprit, l’individu et le groupe.

Le développement de nos capacités en compétences, c’est-à-dire en savoirs actifs et mobilisables, est l’enjeu de toute démarche éducative dans et hors de l’École. Quels liens entre la géométrie des cercles, la découverte de la Chine, les œuvres de Kandinsky et la pratique du ping-pong ? A priori aucun… et pourtant, c’est la démarche que propose « éduc’ping », une opération éducative portée par la Fédération française de tennis de table pour la seconde année consécutive. Toutes ont ce point commun de ne pas entrer par les contenus disciplinaires et pourtant toutes en sont porteuses. Like this: