background preloader

3ème mémorandum

Facebook Twitter

La Grèce sort officiellement de sa mise sous tutelle. Euractiv. Athènes et Skopje ont résolu un conflit de près de 30 ans sur le nom de la Macédoine, s’accordant sur « République de Macédoine du nord » et ouvrant ainsi la voie à l’adhésion du pays à l’UE et l’OTAN. Le Premier ministre macédonien, Zoran Zaev, a déclaré que les deux parties s’étaient mises d’accord pour renommer l’ancienne République yougoslave après des mois de diplomatie intensive. « Il y a un accord. Nous avons trouvé une solution historique après 25 ans [de négociation]. Notre accord porte sur la République de Macédoine du nord pour tous les usages », a-t-il annoncé aux journalistes à Skopje, la capitale.

La Grèce s’oppose depuis longtemps au nom que se donne son voisin du nord, la Macédoine, car une de ses provinces porte le même nom, et que le texte de la Constitution du pays est ambiguë sur de possibles ambitions territoriales. L’accord devrait être scellé d’ici à la fin de la semaine du côté grec du lac Prespa. Ce qui a été convenu Grande victoire Critiques Accord historique. La Grèce adopte son budget 2018, le dernier sous perfusion financière internationale. Athènes, qui bénéficie depuis 2010 de prêts consentis par les Européens et le FMI, espère se tourner vers les marchés, l’an prochain, pour se financer seule.

Le parlement grec a adopté mardi 19 décembre le budget de 2018, présenté par le gouvernement comme le dernier avant que le pays cesse d’être sous perfusion financière internationale en août prochain. La Grèce bénéficie depuis 2010 de prêts internationaux consentis par les Européens et le FMI. « Nous laissons derrière nous une époque dont personne ne voudra se rappeler », a déclaré le premier ministre grec, Alexis Tsipras, devant les députés. « Nous avons retrouvé de la crédibilité dans la gestion des fonds publics », s’est-il félicité. Lire aussi : En Grèce, malgré une légère reprise économique, la précarité s’installe Ces prêts internationaux ont été consentis à la Grèce au travers de trois programmes en échange de mesures successives d’austérité et de dérégulation.

Premier budget de normalité. La crise grecque a rapporté près de 8 milliards à la BCE - Les Echos. Moscovici dénonce le «scandale» démocratique du sauvetage grec – EURACTIV.fr. En termes de processus démocratique, la gestion du programme de sauvetage de la Grèce par l’Eurogroupe a été catastrophique, estime Pierre Moscovici dans un entretien avec le Corriere della Sera. Après huit ans de crise et de politiques d’austérité difficiles, le commissaire aux affaires économiques, le Français Pierre Moscovici, a admis que le processus de décisions « derrière des portes closes » du sauvetage grec a été catastrophique en termes de processus démocratique. En juin, la très attendue deuxième évaluation du troisième renflouement grec a finalement été bouclée.

Le 5 septembre, Pierre Moscovici rencontrera Euclid Tsakalotos, ministre grec des Finances, afin de lancer les discussions sur la prochaine évaluation. Le commissaire a également critiqué la structure de l’Eurogroupe, se référant aux décisions prises par des technocrates, sans transparence ou responsabilité démocratique vis-à-vis d’un parlement. Le retour de la Grèce sur les marchés est-il une si bonne nouvelle? - Page 2. Goldman Sachs va conseiller la Grèce pour son retour sur les marchés - Les Echos.

L'Allemagne a engrangé plus d'un milliard de profits sur la Grèce - Les Echos. L’UE recommande la clôture de la procédure de déficit excessif à l’encontre d’Athènes. Cette décision est un nouveau signe du redressement du pays et augure de son prochain retour sur les marchés. C’est une décision symbolique du redressement de la Grèce. La Commission européenne a recommandé, mercredi 12 juillet, la fin de la procédure disciplinaire contre la Grèce pour déficits excessifs, ouverte en 2009, à la suite de l’amélioration constatée des finances publiques du pays. « Notre recommandation de clore la procédure pour déficits excessifs pour la Grèce est un nouveau signal positif de stabilité financière et de redressement économique du pays », a déclaré le vice-président de la Commission européenne, Valdis Dombrovskis, dans un communiqué.

Selon la réglementation européenne, les déficits publics d’un pays doivent représenter moins de 3 % de son produit intérieur brut (PIB) sous peine de sanctions. Clôture formelle à valider par les ministres des finances La Grèce a enregistré l’an dernier un excédent budgétaire représentant 0,7 % de son PIB. La justice ou l'argent ? L'étrange dilemme de la Grèce face à ses créanciers. La Grèce est sauvée ! Alors que le versement d’un nouveau prêt de 8,5 milliards d’euros, décidé par la zone euro le 15 juin, avait été bloqué in extremis mercredi, on apprenait vendredi que le feu vert avait finalement été déclenché pour ce prêt, «qui ouvre un nouveau chapitre pour la Grèce», s’est même enthousiasmé Pierre Moscovici, le commissaire européen aux affaires économiques. A y regarder de plus près pourtant, il n’y a pas de quoi pavoiser. Tout d’abord, seuls seront versés, dans l’immédiat, 7,7 milliards d’euros dont Athènes ne verra pas la couleur : sitôt encaissée, l’essentiel de cette somme retournera illico dans les poches des créanciers.

Vœux pieux Pour éviter le défaut de paiement, la Grèce doit en effet honorer d’urgence 7 milliards de créances de sa dette qui arrivent à échéance ce mois-ci. Mais ce ballet des vœux pieux et des fausses promesses, qui se joue à chaque fois, n’explique pas pourquoi avoir attendu vendredi pour débloquer les fonds disponibles dès mercredi ? Le flou sur un nouveau réaménagement de la dette grecque va persister. Les ministres des finances de la zone euro réunis cet après-midi à Luxembourg en présence de la directrice du Fonds monétaire international Christine Lagarde devraient, selon toute vraisemblance, donner leur feu vert au déboursement des 7 milliards d'euros dont le gouvernement Tsipras a besoin pour rembourser la Banque centrale européenne en juillet.

La clé de ce déblocage est attendue de l'accord de principe donné par le FMI à sa participation au programme. Cet assentiment permettra notamment au gouvernement d'Angela Merkel de recevoir l'aval du parlement allemand pour libérer les fonds. Restructuration de la dette : pas de décision immédiate Pour autant, il ne devrait pas y avoir de décision immédiate sur une nouvelle restructuration de la dette grecque. Bien au contraire. . « Il y a encore des gens qui pensent qu'il y aura des décisions prises sur l'allègement de la dette lors de cet Eurogroupe, mais [ils ne sont] pas dans cette ville... il n'y en aura pas », a déclaré cette source.

Les édifiantes « minutes » du dernier Eurogroupe sur la Grèce. A en croire le site grec d’informations « Euro2day », Athènes est l’otage du bras de fer entre le FMI et les « faucons » européens. LE MONDE ECONOMIE | | Par Cécile Ducourtieux (Bruxelles, bureau européen) Le site grec d’informations financières Euro2day a réussi un joli scoop ces derniers jours, avec la mise en ligne des minutes de l’Eurogroupe, la réunion des ministres des finances de la zone euro, du lundi 22 mai.

Une réunion cruciale, censée déboucher sur le feu vert pour un nouveau prêt à la Grèce et des mesures d’allégement de l’énorme dette publique hellène. L’Eurogroupe s’est soldé par un échec, malgré dix heures de discussions à huis clos. Les grands argentiers européens doivent trouver un accord le 15 juin, sinon Athènes se retrouvera à nouveau au bord du défaut de paiement (le pays doit plus de 7 milliards d’euros à ses créanciers début juillet).

Lire aussi : Mesures de dette, nouveaux prêts : les Grecs devront encore attendre La conversation dévie très vite Douche froide M. M. Echec des discussions sur un allègement de la dette grecque. Echec des discussions sur un allègement de la dette grecque Ls crncrs d l Grèc, zn r t Fnds mntr ntrntnl (FM), n snt ps prvns s’ntndr lnd Brxlls sr n llègmnt d s dtt t l dblcg d nvx prêts. «Ns n’vns ps dgg d’ccrd glbl», rcnn trd lnd sr Jrn Djsslblm, l prsdnt nrlnds d l’rgrp, q rnt ls mnstrs ds Fnncs ds 19 pys ynt dpt l mnn nq, l’ss d pls d ht hrs d dscssns.n ccrd sr n llègmnt d l dtt grcq st spr dps ds ms pr crtr l spctr rnssnt d’n «Grxt» t slgr ls nqtds d l zn r. «Ns smms très prchs d ct ccrd», cpndnt nsst M. La Grèce, mauvaise conscience de l'éditorialiste économique.

Alors que l’économie hellénique continue à s’enfoncer sous le poids des réformes et de l’austérité, les médias français feignent l’incompréhension et les éditorialistes regardent ailleurs. Il est vrai que la Grèce est une épine dans le pied de leurs certitudes… Il est des silences très parlants. Ainsi celui des éditorialistes et chroniqueurs économiques français sur la situation grecque depuis quelques mois. Regardons le sommaire de la semaine passée : on n'y trouvera que des réflexions assez semblables sur la façon dont Emmanuel Macron a ensorcelé Angela Merkel ou sur les défis des deux nouveaux locataires de Bercy.

De Grèce, point. Et, à vrai dire, l’Olympe du journalisme économique ne s’est plus guère penchée sur le sort de ce pays depuis ce 13 juillet 2015 où le premier ministre grec, a dû accepter un troisième programme. Le Parlement grec approuve de nouvelles mesures d’austérité. Coupes dans les retraites, hausses d’impôts et suppression des avantages fiscaux des députés doivent permettre de débloquer une nouvelle tranche de prêts internationaux. Le Parlement grec a adopté jeudi soir 18 mai de nouvelles mesures d’austérité réclamées par les créanciers, Union européenne (UE) et Fonds monétaire international (FMI). Cette adoption doit permettre le versement d’une nouvelle tranche de prêts internationaux. Les principaux articles de la loi qui comprennent de nouvelles coupes dans les retraites et des hausses des impôts, ont été approuvés par la faible majorité de la coalition gouvernementale, soit 153 députés du parti de gauche Syriza du premier ministre Alexis Tsipras et du petit parti souverainiste ANEL.

Sur 281 députés présents, 128 ont voté contre. Lire aussi : Nikos Dimou : « Les Grecs ont l’impression d’être innocents » Les 17 députés du parti néonazi Aube dorée étaient absents. Compensation pour les plus démunis. Accord surprise entre la Grèce et ses créanciers à l’Eurogroupe. Athènes a accepté des mesures d’économies supplémentaires de 3,6 milliards d’euros entre 2019 et 2020.

LE MONDE ECONOMIE | | Par Adéa Guillot (Athènes, correspondance) L’accord conclu lors de l’Eurogroupe (la réunion des ministres des finances de la zone euro) de Malte, vendredi 7 avril, entre la Grèce et ses créanciers (Banque centrale européenne, BCE, Mécanisme européen de stabilité et Fonds monétaire international, FMI) sonne comme une surprise à Athènes. « Nous avons résolu les gros problèmes concernant les réformes à faire », s’est félicité le président de l’Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem. « Je veux saluer l’accord de principe qui est conclu après plusieurs mois de travail difficile. (…) Le moment est venu de mettre fin à l’incertitude sur l’économie grecque », a renchéri le commissaire européen chargé des affaires économiques, Pierre Moscovici. Des mois d’impasse Deux solutions proposées Le FMI propose donc deux solutions. . « Si les discussions s’enlisent, l’incertitude va revenir » La Grèce victime de l’entente entre le FMI et ses créanciers « Le Mouvement Réel. La Grèce et ses créanciers sont sur le point de trouver un « accord ».

Il faudra encore faire des économies, cette fois à hauteur de 2 % du PIB. Athènes est encore une fois sacrifiée sur l’autel des intérêts de ses créanciers et de la fiction du « succès des réformes ». Une fuite en avant inquiétante. Ce vendredi 7 avril au matin, le président de l’Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem, toujours en place en dépit de ses provocations depuis quelques jours, se disait de « bonne humeur » sur l’issue de la énième « réunion décisive » du conseil des ministres des finances de la zone euro. Voici donc où en est réduit la Grèce : voir son sort dépendre de « l’humeur » d’un responsable largement discrédité dans son pays (où son parti a vu son électorat divisé par cinq) et au niveau européen (le parlement européen l’a déclaré persona non grata mardi après un refus de se présenter devant les élus).

Prétexte Le FMI comme « père fouettard » Athènes n’a pas le choix Facture salée Persister dans l’échec. Pourquoi la Grèce doit renoncer à l'euro. FIGAROVOX/TRIBUNE- Alors que l'économie grecque est toujours dans l'impasse, la réunion de l'Eurogroupe du 20 février dernier s'est achevée sur une non-décision qui préserve le statu quo. Pour David Cayla, une brutale sortie du pays de la zone euro est plus que jamais d'actualité. David Cayla est économiste à l'Université d'Angers, membre du collectif des Économistes atterrés et coauteur avec Coralie Delaume de La fin de l'Union européenne (Michalon, 2017). Ils ont décidé de gagner du temps. N'en déplaise à Michel Sapin qui déclarait à l'issue de la réunion de l'Eurogroupe qui s'est tenue le 20 février que «la Grèce est sortie de la spirale de l'austérité», c'est bien une nouvelle purge qui se prépare pour la république hellène. La facilité avec laquelle tout le monde s'est mis d'accord ne manque pas d'étonner pour qui connaît les désaccords profonds qui subsistent entre les créanciers d'une part et avec les autorités grecques d'autre part.

Du rififi au sein du FMI. Grèce : nouvelle contraction du PIB en 2016. Voici quelques jours, alors qu'il était en voyage officiel en Grèce, le premier ministre français Bernard Cazeneuve faisait part de sa « grande confiance » envers le « succès des réformes ». Et d'ajouter qu'il ne s'agissait pas de « wishful thinking » (de la « pensée désirée ») mais de « faits ». Et de se réjouir des performances du pays en matière d'ajustement budgétaire et de croissance. L'hôte de Matignon devra sans doute (mais y croit-on ?) Revoir son jugement. Une croissance stagnante et un niveau de PIB très faible Entre octobre et décembre, le PIB hellénique s'est contracté de 1,2 % contre les 0,4 % initialement prévu. Sur l'ensemble de l'année 2016, le PIB qui a bénéficié d'un bon troisième trimestre (+0,6%, soit la meilleure performance depuis le premier trimestre 2015) reste quasiment stable, mais il perd tout de même 0,1 % face à son niveau de 2015.

Le poids de la consolidation budgétaire Le bilan du troisième mémorandum, lui, est déjà clairement négatif. Grèce : le troisième mémorandum ne cesse de se durcir. Dans son roman, Grandeur et Décadence de César Birotteau, Balzac trace le portrait du « petit père Molineux », un propriétaire dont le loisir préféré consiste à tourmenter ses locataires et créanciers. Lorsqu'il le rencontre au bal du parfumeur qui signera sa chute, l'ennemi de Birotteau, le banquier Le Tillet, se fait à lui-même cette réflexion : « Si le père Birotteau fait faillite (...), ce petit drôle sera certes un excellent syndic. (...) Il doit, comme Domitien, s'amuser à tuer les mouches quand il est seul chez lui. » Or, à mesure que la crise grecque s'éternise, l'Eurogroupe, la réunion des ministres des Finances des Etats de la zone euro, ressemble de plus à ce « petit père Molineux ». Il semble prendre plaisir à torturer « sa » mouche, la malheureuse Grèce.

Concessions de l'Eurogroupe De nouvelles mesures exigées... La logique perdante se poursuit Très clairement, donc, les créanciers entendent poursuivre la politique menée depuis 2010 en continuant à l'aggraver. Séduire le FMI. Grèce : le piège de Wolfgang Schäuble se referme. Pour l'anniversaire de Maastricht, le «Grexit» revient. Grèce: l’effondrement à bas bruit. Grèce : Alexis Tsipras tente de redresser sa popularité. Grèce : faut-il croire le FMI dans son rejet de l'austérité ? Grèce : le ton monte entre l'Eurogroupe et le gouvernement. Grèce : Alexis Tsipras une nouvelle fois humilié par les créanciers. Grèce : un "toilettage" de la dette pour encore "gagner du temps"

Grèce : Alexis Tsipras affiche son obéissance totale aux créanciers. Grèce : François Hollande et sa fausse légende. Grèce : le monde sans pitié de l'Eurogroupe. Grèce : Berlin remporte une victoire décisive sur le dossier de la dette. Grèce : Tsipras entre le marteau des créanciers et l'enclume de l'opinion. Grèce : la logique des créanciers, jusqu'au bout de l'absurde. Grèce : une nouvelle loi électorale pour quoi faire ? Leçon de Grèce : « La thérapie de choc exige l’opacité », par Philippe Lamberts (Le Monde diplomatique, octobre 2015) Grèce : la BCE accepte enfin de faire un geste. Grèce : la BCE, bras armé des créanciers. Grèce : le bluff fragile de l'Eurogroupe. Grèce : les paris perdus d'Alexis Tsipras. Chefs d’entreprises ou retraités, les Grecs digèrent dans la douleur les nouvelles hausses d’impôts. Le FMI propose de geler le remboursement de la dette grecque d'ici à 2040.

Grèce : une nouvelle victoire pour les créanciers ? Grèce : les créanciers prêts à discuter de la dette. Pourquoi la Grèce et le FMI s'opposent frontalement. Grèce : où sont passés les milliards de la BCE ? Grèce : le gouvernement Tsipras en crise ouverte. Le paradoxe Tsipras attire les dirigeants sociaux-démocrates européens. La Grèce va-t-elle accepter de devenir le Calais de l'Europe ? Alexis Tsipras prépare-t-il son évasion de son poste de premier ministre ?

Grèce : Alexis Tsipras va faire adopter son "programme anti-austérité" Crise des migrants : l'Allemagne propose un marché à la Grèce. Grèce : le gouvernement présente sa réforme des retraites. Crise des réfugiés: la Grèce est à nouveau sous forte pression de l'Europe. Grèce : Alexis Tsipras renonce à son plan anti-austérité.

Grèce : nouvel accord avec les créanciers. Grèce : pourquoi Alexis Tsipras veut se débarrasser du FMI. Pourquoi l'Europe menace la Grèce d'une expulsion de Schengen. Grèce : l'économie s'est effondrée au troisième trimestre. Un Land allemand transmet des noms d'évadés fiscaux à la Grèce. Grèce : vers une "grande coalition" ? Grèce : un député de Syriza démissionne, sans dommage pour Alexis Tsipras. Grèce : la teneur de l'accord avec les créanciers. Grèce : une grève générale contre la politique du gouvernement... soutenue par Syriza ! L'UE ne versera pas d'aide à la Grèce sans réformes fermes. Grèce : Alexis Tsipras déjà dos au mur. Le retour du bras de fer entre Athènes et ses créanciers ?

Grèce : le "quartet" arrive à Athènes et veut plus de "réformes" Chypre envisage de revenir sur les marchés. Grèce : pourquoi Alexis Tsipras veut être le "bon élève" de la troïka. L'Allemagne proposerait à la Grèce de garder plus de réfugiés contre un assouplissement du programme. Grèce : des marges de manoeuvre très limitées pour Alexis Tsipras.

Depuis l'accord de juillet, où en sont les réformes de la Grèce ? Oligarques : comment quelques familles contrôlent la Grèce.