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Essais

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La sagesse des loups Elli H. Radinger .epub.

De la démocratie en pandémie. Barbara Stiegler

Dictionnaire international Bourdieu. La voie du Go. Idées de lecture essai. L'homme et la mort Edgar Morin. Les capitalism’s à l’epreuve de la pandemic Rober Boyer. La passion de l’incertitude Dorian Astor. Victor Klemperer, décrypteur de la langue totalitaire. Il est l’auteur d’une analyse de la langue totalitaire qui fait désormais figure d’ouvrage de référence classique pour toute réflexion menée sur ce thème et pour les spécialistes du IIIe Reich.

Victor Klemperer, décrypteur de la langue totalitaire

Il fut le premier à comprendre que la rhétorique nazie, en corrompant la langue allemande, réussirait à faire passer pour vrai ce qui était faux. Pourtant que sait-on de Victor Klemperer, l’auteur de LTI, la langue du IIIe Reich, devenu l’étude de référence du langage totalitaire ? A peu près rien. Les deux volumes de son journal n’ont été traduits en français que depuis une vingtaine d’années (le Seuil, 2000) et son autobiographie (Curriculum vitae, plus d’un millier de pages) ne l’est toujours pas. «Une haine de la pensée» C’est pourquoi l’essai de Frédéric Joly, la Langue confisquée. Son ouvrage LTI (Lingua tertii imperii, c’est-à-dire «la langue du IIIe Reich») étudie les mots de la propagande nazie, la façon dont ils s’immiscent dans les esprits et imprègnent les comportements.

L'ère de l'individu tyran Éric Sadin

La civilisation du rire. Nouvelle enquête sur l'intelligence artificielle. “Un désir d’égalité”, enquête sur une communauté utopique en Virginie. Après Makers (Seuil, 2018), le sociologue Michel Lallement poursuit son exploration des utopies concrètes dans Un désir d’égalité, vivre et travailler dans des communautés utopiques (Seuil, 2019).

“Un désir d’égalité”, enquête sur une communauté utopique en Virginie

Il a notamment passé plusieurs semaines dans la communauté de Twin Oaks, en Virginie, où une centaine de personnes œuvre au quotidien à repenser un monde débarrassé de toute forme d’inégalité et de hiérarchie. On définit souvent les États-Unis comme le pays de tous les excès, de tous les contrastes. Pas étonnant, donc, que le pays de l’individu roi soit aussi celui où s’épanouissent le plus de communautés « intentionnelles », ces utopies concrètes trouvant leur inspiration dans les kibboutz israéliens (pour l’organisation du travail, notamment), les écrits de Henry David Thoreau (pour l’imaginaire naturaliste) et les travaux de Charles Fourier, le père du phalanstère (dont l’idéal d’organisation égalitaire de la vie imprègne ces lieux).

Transcendance et partage intégrale.

Juger: l'Etat penal face a la sociologie

Enquête sur la loi du 3 janvier 1973. La civilisation du poisson rouge. Pour une anthropologie anarchiste. La droitisation du monde de François cusset. Cultures numériques. Lordon. Libres d'obéir , Johann chapoutot. Joseph Campbell le héros aux mille visages. Neurones les intelligences stimulées. Cabinet de curiosités G.Bronner. Les hommes d'une tribu matrilinéaire en Inde réclament l'égalité des sexes. A 60 ans passés, Kaith Pariat ne veut plus "jouer aux baby-sitters" et encore moins subir la loi de sa belle-mère.

Les hommes d'une tribu matrilinéaire en Inde réclament l'égalité des sexes

Il vit cet enfer depuis déjà trop longtemps. Depuis le premier jour de son mariage, exactement. L'homme d'affaires, enfoncé dans un fauteuil de cuir, a le regard qui s'assombrit quand il plonge dans ses souvenirs : "Imaginez le traumatisme : vous quittez le domicile maternel pour devenir, du jour au lendemain, un paria dans la famille de votre belle-mère.

Vous vivez sous ses ordres. Vous devenez un domestique, un bon à rien. " La tribu des Khasi, qui compte environ un million de membres dans l'Etat du Meghalaya, à l'est de l'Inde, est l'une des rares communautés du pays à respecter la tradition matrilinéaire. "C'est uniquement la mère ou la belle-mère qui s'occupe de son enfant. Au Meghalaya, les hommes appartiendraient au sexe faible. « Les Sociétés matriarcales », d’Heide Goettner-Abendroth : là où le pouvoir est aux femmes. « Les Sociétés matriarcales.

« Les Sociétés matriarcales », d’Heide Goettner-Abendroth : là où le pouvoir est aux femmes

Recherches sur les cultures autochtones à travers le monde » (Matriarchal Societies. Studies on Indigenous Cultures Across the Globe), d’Heide Goettner-Abendroth, traduit de l’anglais par Camille Chaplain, Des femmes-Antoinette Fouque, 600 p., 25 €. Il avait fallu attendre quinze ans pour que Gender Trouble, de Judith Butler (1990), parvienne en France (Trouble dans le genre, La Découverte, 2005) et y fasse événement comme il l’avait fait outre-Atlantique.

On ne peut que se réjouir d’avoir eu cette fois-ci moins de dix ans à patienter pour que l’imposant pavé de la chercheuse ­allemande Heide Goettner-Abendroth, publié en anglais en 2012 et devenu un classique dans ­plusieurs pays, se jette dans la mare hexagonale. Tout à la fois manifeste méthodologique d’un champ nouveau, bilan de recherches anthropologiques et autobiographie intellectuelle, Les Sociétés matriarcales balaie les préjugés les plus tenaces et leur ­substitue un savoir de terrain.

Penser l'intime François Laplantine

La domination masculine.