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Une écologie cohérente est nécessairement anticapitaliste - benoitbohybunel. Une écologie cohérente est nécessairement anticapitaliste L’idée d’un capitalisme vert, l’idée de « développement durable », sont des contradictions dans les termes. Si des dirigeants du monde entier se réunissent pour, prétendent-ils, « sauver le climat » (COP21), alors de deux choses l’une : soit ils sont en cohésion avec toute écologie digne de ce nom, et alors c’est une économie post-capitaliste qu’ils projettent de mettre en place ; soit ils ne sont là que pour parader, et pour esquiver les problèmes écologiques fondamentaux, et alors ils nous éloignent réellement d’alternatives écologiques radicales dans la mesure où ils monopolisent les discours et la visibilité médiatique.

Plus simplement, cela s’appelle un écran de fumée. C’est bien sûr la deuxième option qui prévaut aujourd’hui, ce pourquoi il s’agit, si l’on défend une écologie cohérente, de ne pas se laisser impressionner par ces babils spectaculaires. Pourquoi tout capitalisme est-il en soi anti-écologique ? Luttes paysannes et populaires – Projet Histoire des luttes sociales. Vous avez lu les bases du Projet Histoire des luttes sociales, paysannes, populaires, féminines… Vous voici dans l’onglet Luttes paysannes et populaires. Vous avez vu / entendu quelque-chose de ce genre ? Écrivez-nous. L’affaire Durand, 1910 J’ai (RM) découvert l’affaire Durand sur le catalogue des éditions Rouge et Noir, il y a quelques temps. Ouvrant le livre de Patrice Rannou, qui se lit d’une traite, j’ai été particulièrement stupéfait par cette histoire, qui nous amène au Havre, chez les Charbonniers, et montre comment les grosses compagnies étaient capables d’instrumentaliser ce qui était un fait divers tragique (une rixe entre types ivres menant à la mort l’un d’entre eux, Louis Dongé, notoirement ‘jaune », ou « renard », c’est-à-dire anti-gréviste) en un combat anti-syndical.

La fabrique de l’histoire du 11 mars 2014 sur France Culture traita du sujet, dans un documentaire d’Anaïs Kien, réalisé par Françoise Camar : Mort d’un Renard – Enquête sur l’affaire Jules Durand. Quotient intellectuel : loin d’être bêtes. Quotient intellectuel : loin d’être bêtes près ds nns d ltt dns l’ndffrnc gnrl, ls rvltns ds mltnts d l cs nml cmmncnt prtr lrs frts. n Frnc, ls vds trns pr l’ssctn L214 nt dclnch ds nqêts dns ls bttrs t pss ds chîns d sprmrchs bnnr ls œfs d pls n bttr. brnls pr l dcmntr Blckfsh (2013), ls prcs mrcns SWrld vnt prgrssvmnt cssr lrs spctcls d’rqs n pscn. Ls rstrnts jtnt lr crt ds plts vgtrns, n vt ds crqs grnts sns nmx… L mssg, ntnd pr n prtn crssnt d l ppltn t llègrmnt rly sr ntrnt, mêm ttnt l sphèr pltq dbt 2015, qnd ls nmx nt nfn qtt lr sttt d «bn mbl» dns l cd cvl pr êtr rcnns cmm ds «êtrs snsbls».

Ql symbl ! L sct ds hmns smbl dcvrr q ls nmx nt, cmm x, ds nrfs pr rssntr l dlr t n crv pr l’ntrprtr, q’ls snt cpbls d pr, d dprssn, d strss, d sffrnc psychlgq. Peter Gelderloos - Comment la non-violence protège l’État Sommaire : Ebauche d’avant-propos pour une édition en français Introduction Chapitre 1 : La non-violence est inefficace Chapitre 2 : La non-violence est raciste Chapitre 3 : La non-violence est étatiste Chapitre 4 : La non-violence est patriarcale Chapitre 5 : La non-violence est tactiquement et stratégiquement inférieure Chapitre 6 : La non-violence est illusoire Chapitre 7 : L’alternative : Possibilités pour un activisme révolutionnaire Depuis un moment déjà, une étrange menace pèse sur le monde : le spectre de la non-violence.

Celle-ci se définit en opposition à un concept qui n’est que très vague mais dont tout le monde dit avoir une idée très précise. En réalisant l’exercice de demander à plusieurs personnes différentes ce que représentent pour elles la violence, il y a fort à parier que les réponses divergeront. Et d’autant plus à mesure que l’on étend la diversité des personnes à qui on pose cette question. Les Enragés - Mais c'est quoi au juste le capitalisme?... Du « Black-Blanc-Beur » à la « race sociale » : la confusion (...) - mondialisme.org. Accueil > Ni patrie ni frontières > Documents utiles > Du « Black-Blanc-Beur » à la « race sociale » : la confusion (...) vendredi 4 décembre 2015, par Yves Coup de gueule face à des "débats" bien mal entamés.... La Marche pour la dignité et contre le racisme du 31 octobre 2015, l’utilisation croissante de concepts comme « racisés », « race sociale » et « racialisation » dans toutes sortes de milieux, le lobbying du PIR et d’un certain nombre d’intellectuels semi-médiatiques ont poussé certains marxistes ou anarchistes à traiter de « racistes » ceux qui ne partageaient pas leurs analyses fondées sur « la classe ».

Ce texte essaie, au-delà des polémiques sectaires et stériles, de retracer les origines assez différentes du concept de « race sociale » dans le monde anglo-saxon et en France, et les mésinterprétations dont il est l’objet de la part de ses adversaires comme de ses thuriféraires gaulois. Il est temps de prendre le spécisme au sérieux. Comment élever son fils pour qu'il ne devienne pas sexiste - L'Obs. Pourquoi les mouvements sociaux se radicalisent. Comment percevez-vous la dynamique contestataire en France ? Comme plus incertaine que jamais. Je suis aussi convaincu que le monde que l’on connaît est en train de s’effondrer. 8% de votes blancs et 25% d’abstention au second tour des présidentielles, c’est un record ! On n’assiste plus à une simple méfiance vis-à-vis des institutions de la Ve République, mais à leur rejet massif.

On a beaucoup à craindre ou à rêver de l’avenir. Ce qui est sûr, c’est que cela ne va pas rester en l’état. Dans votre bouquin, vous dites que les mobilisations s’orientent de plus en plus vers des modes d’action « extra-légaux », c’est-à-dire ? C’est une autre dynamique que l’on observe. Qui sont ces « nouveaux désobéissants » ? Les combats se multiplient et se diversifient. Il ne faut pas non plus oublier que certains contestataires se retrouvent extra-légaux, sans l’avoir choisi. . « On ne se bat pas seulement contre l’aéroport à NDDL, mais aussi contre le monde qui va avec. » Manuel Cervera-Marzal, sociologue.

De l'action directe - Le passager clandestin. Du point de vue de celui qui pense être capable de discerner la route du progrès humain, si tant est qu’il doive y avoir un progrès ; du point de vue de celui qui discerne un tel chemin sur la carte de son esprit et s’efforce de l’indiquer aux autres, de le leur montrer comme il le voit ; du point de vue de celui qui, en faisant cela, a choisi des expressions claires et simples à ses yeux afin de communiquer ses pensées aux autres, pour un tel individu, il apparaît regrettable et confus pour l’esprit que l’expression « action directe » ait soudain acquis, aux yeux de la majorité de l’opinion publique, un sens limité, qui n’est pas du tout inclus dans ces deux mots, et que ceux qui pensent comme lui ne lui ont certainement jamais donné.

Cependant, il arrive souvent que le progrès joue des tours à ceux qui se croient capables de lui fixer des bornes et des limites. Réfutation des principaux arguments des chasseurs » RAssemblement pour une France sans Chasse (RAC) LES CHASSEURS REGULENT LA FAUNEAfin d’obtenir la caution de la population, les chasseurs veulent faire passer leur loisir pour un impératif de service public, se prétendant indispensables à l’équilibre de la faune. Qui peut croire que leurs motivations relèvent d’un quelconque souci de régulation ? Chaque année, près de 20 millions d’animaux (faisans, lièvres, lapins, perdrix, etc.) sont élevés ou importés pour être lâchés par les chasseurs dans la nature, parfois le matin même de la partie de chasse. Ceci dans l’unique but de fournir suffisamment de cibles vivantes.

Comment osent-ils, face à ces faits, évoquer la « régulation » ? De plus, les prédateurs, authentiques régulateurs naturels, sont systématiquement détruits par les chasseurs. Renard, martre, fouine, belette, putois sont même classés « nuisibles », un non-sens écologique, et sont ainsi tués toute l’année. RICHARD DAWKINS. On le savait... - Cahiers antispécistes. L'étendue de mon ignorance | Démocratie 32. Défiances modernes, théories du complot et critique radicale. Deux mises en perspective critiques des succès actuels des scepticismes conspirationnistes et de leur détournement simpliste d'une critique sociale radicale... I - Défiances modernes, par Philippe Corcuff Texte paru dans Le Monde daté du 22 juillet 2010 à l'occasion des XXVe Rencontres de Pétrarque de Montpellier organisées par France Culture/Le Monde sur le thème « En qui peut-on avoir confiance ?

» La vague des théories du complot, signe du désarroi contemporain. Les discours conspirationnistes - 11 septembre 2001, grippe A (H1N1), climatosceptiques, etc. - s'engouffrent dans la conjoncture de délégitimation relative des paroles autorisées. Internet en est un des conducteurs principaux. Sont visées ici les théories du complot systématiques, c'est-à-dire des trames narratives expliquant principalement l'histoire humaine par les manipulations cachées qu'opèreraient quelques individus puissants. Des réducteurs d'angoisse Cet entretien est paru dans Alda ! Alda ! Alda ! Ph. Alda ! Ph. Alda ! Minidossier appélistes : Analyse : Une mystique communautaire. Ce qui caractérise la mouvance appéliste, c’est la nostalgie d’une communauté traditionnelle mythifiée, antérieure au « règne de la marchandise ».

Cet imaginaire aux relents réactionnaires n’hésite pas, pour appuyer sa critique de la « modernité », à se référer explicitement à un florilège de penseurs contre-révolutionnaires. Cet article s’insère dans un petit dossier sur la mouvance appéliste. Lire les autres articles : Campus : Une lubie radicale-chic : la haine de la démocratie Parmi les objectifs : « abolir les assemblées générales » Deux lignes de partage au sein de la mouvance autonome Aussi significatifs soient-ils, des textes comme L’Appel (2003), L’insurrection qui vient (2007) ou Les mouvements sont faits pour mourir (2007) ne suffisent pas à élucider la nature idéologique de l’imaginaire très particulier de la mouvance appéliste.

Parmi ces articles, celui qui figure au tout début du 1er numéro, « Qu’est-ce que la métaphysique critique ? Léon Bloy (1846-1917) Gaspard (AL Rennes) Pourquoi les faits ne suffisent pas à convaincre les gens qu'ils ont tort. Avez-vous déjà rencontré des gens qui changent d’avis quand vous leur exposez des faits qui sont contraires à leurs convictions ? Moi jamais. Pire, les gens semblent renforcer leurs croyances et les défendre avec acharnement quand il y a des preuves accablantes contre elles.

L’explication est liée au fait que notre vision du monde nous semble menacée par des preuves factuelles qui ne vont pas dans son sens. Les créationnistes, par exemple, contestent les preuves de l'évolution comme les fossiles ou la génétique parce qu'ils s'inquiètent que des forces séculières empiètent sur la foi religieuse.

Dans ces exemples, les conceptions du monde profondes de ces partisans sont perçues comme étant menacées par les rationnalistes, ce qui fait de ces derniers « l'ennemi à abattre ». Dans leur livre Les erreurs des autres. Si les corrections factuelles ne font qu'empirer les choses, que pouvons-nous faire pour convaincre les gens que leurs croyances sont erronées ? Les théories du complot réconfortent les perdants. Aux États-Unis, trois chercheurs en science politique – Christina Farhart, Joanne Miller et Kyle Saunders – ont fait récemment une curieuse constatation. Alors que dans ce pays, les partisans du Parti républicain sont statistiquement plus enclins à endosser des théories du complot que les Démocrates, la tendance paraît s'inverser ces derniers mois.

Immédiatement après les élections de novembre, une enquête sur un échantillon représentatif a en effet montré que la disposition à croire des énoncés conspirationnistes classiques a augmenté chez les Démocrates, alors qu'elle a baissé chez les Républicains, passant de 28 % à 19 % ! L'enquête portant sur l'adhésion aux mêmes énoncés, comment expliquer cette curiosité sociologique ? En ce sens, les interprétations conspirationnistes permettent d'évacuer le caractère arbitraire des événements en les rapportant à des intentions. Argument d’autorité : le cas Vandana Shiva – Bunker D.

Vandana Shiva, “héroïne environnementale” selon le Time Magazine [1], “déesse écolo” pour l’Obs [2], “déesse des semences” chez National Geographic [3]. En 2010, Eve Ensler (auteure des Monologues du vagin) la plaçait pour Forbes parmi les sept féministes les plus puissantes [4]. Aujourd’hui, elle cumule plus de 41 400 followers sur Twitter [5] et 35 700 likes sur Facebook [6]. Elle est incontestablement une des figures incontournables des mouvements anti-OGM et anti-Monsanto, au sein desquels “on ne la présente plus” [7]. C’est notamment à elle, principalement, que l’on doit le mythe selon lequel les fermiers indiens se suicideraient en masse du fait de Monsanto et du coton OGM.

Et si ce mythe a si bien pris, c’est parce que Vandana Shiva est aussi un exemple typique de la figure d’autorité : lorsqu’elle parle, on l’écoute, et on la croit. Shiva, indienne “Indienneté” Vandana Shiva est indienne. L’américaine d’origine indienne va même plus loin. Gandhi “Un auteur african” Shiva, féministe. Devenu vegan, le prince saoudien Khaled bin Alwaleed est en train de métamorphoser son pays. En 2015, le prince Khaled bin Alwaleed critiquait publiquement le changement climatique et le gaspillage énergétique face à une assemblée d’hommes d’affaires ayant bâti leur empire sur le pétrole . Et il s’exprimait en connaissance de cause : son pays, l’Arabie Saoudite, est le premier pays producteur de pétrole au monde, ainsi que le sixième consommateur.

C’est aussi l’un des quelques pays qui ont refusé de signer l’accord de Paris sur le climat à l’ONU — pourtant critiqué pour son manque d’ambition. Pourtant, le futur s’y annonce beaucoup plus riant : vegan depuis 5 ans, véritable défenseur de la cause animale, préoccupé par le réchauffement climatique, le Prince Alwaleed sera l’artisan du changement. Son galvanisant discours au Business Forum se traduit en actes : Khaled bin Alwaleed refuse les investissements financiers liés à l’élevage, et préfère investir dans des restaurants 100% végétaux au Moyen-Orient, tels que le Plant Café au Bahreïn, et dans les énergies renouvelables .

Le postmodernisme, une mode qui sape la critique sociale ? - OCL - Organisation Communiste Libertaire. Le postmodernisme est un courant de pensée qui peut être assimilé à une mode intellectuelle qui a migré de l’université et des sphères « radicales-chic », à certains courants de gauche qui peuvent fricoter avec le gouvernement mais aussi qui se réclament de l’anticapitalisme (Clémentine Autain, le NPA ou certains milieux anarchistes), en s’orientant vers une certaine critique tous azimuts de la domination. Définition a minima Si le terme de postmodernisme est très marqué au niveau universitaire il demeure quand même assez flou. Par exemple Fredric Jameson, un universitaire marxiste américain analyste de la pensée postmoderne, conclut après 600 pages que cette dernière n’est pas quelque chose que l’on peut fixer une fois pour toutes et qu’il est par conséquent difficile de la définir.

Il précise simplement que selon lui il s’agit d’une logique culturelle liée à un capitalisme tardif : avec la fin de l’étalon or, l’hégémonie culturelle américaine se met en place entre 1945 et 1973. 1. 1. L’identité au temps de la postmodernité : de l’usage du concept d’ « hybridité » | Le blog des Têtes Chercheuses. WebNietzsche - Le penseur du web! Féminisme postmoderne et bien-être animal : en parfaite harmonie. Éléments pour l’atelier/débat avec la CNT-AIT sur le Postmodernisme | REFRACTAIRE. [Dossier] Qu’est-ce qu’une Théorie Scientifique ? [Chiennes de garde] Le masculinisme de « La domination masculine » de Bourdieu. Le lesbianisme ou l'amour entre femmes dans l'histoire. Les fondements anthropologiques de la domination masculine. Un homme aux origines réunionnaises se cacherait derrière les commentaires "ignobles" visant le policier tué sur les Champs-Elysées - outre-mer 1ère.

De Kroc Blanc à Amalek : plongée dans le rap d'extrême droite. L’essentialisme et le problème des politiques d’identité – Lawrence Jarach | Ravage Editions. The Largest Ever Analysis of Film Dialogue by Gender: 2,000 scripts, 25,000 actors, 4 million lines. Le retour à la figuration, un vrai tournant politique pour l'art contemporain. Nous n’attendrons pas la révolution pour lutter contre le racialisme.

Les Français ont mangé plus de viande en 2016. < LA NECESSITE DE METTRE EN PLACE UNE... - 269Life Libération Animale. – Le culte contemporain de la « travailleuse du sexe  Vers un féminisme antispéciste. Comment doigter une vulve ? — madmoiZelle.com. Autocritique sur le mouvement de libération animale – Diomedea. Notre lettre ouverte à Nagui : le dilemme tests sur animaux contre enfants malades n'existe pas - Pro Anima. B mir gep. Le freudisme : un conte scientifique. Vaccination : peurs, rumeurs et obscurantisme.

Les principes du mouvement 269Life. « Radicalisé » : le mot qui tue, par Pierre Rimbert (Le Monde diplomatique, février 2017) Pourquoi sommes-nous des véganes pro-OGM ? – THE PLEA BARGAIN. Charles Patterson : l'abattage, un laboratoire de la barbarie. Vandana Shiva démythifiée. Problem loading page. Comment le genre trouble la classe ». Agone, N° 43. Contre le mythe autogestionnaire. Le rap militant fait-il encore du bruit ? Les erreurs d'utilisation du terme non-binaire. Contre l'amour. Ethique deontologique. Les défenseurs des animaux ont-ils raison ? Le Biais Sophistique (« Pardon Youtube ») Gary Yourofsky - Analyse d'une imposture. Férocité Insurrectionnelle - Non Fides - Base de données anarchistes. Cartographie de l’extrême droite : mieux la connaître pour mieux la combattre.

Libération Animale & Socialisme - abolition.ch. Répondons ! liens utiles. La grève des électeurs. Un pavé dans les rouages. L'anarchiste. Portrait de la femme invisible devant son miroir. L’effet placebo mis à nu – curiologie. MANUEL DE CONVERSATION POUR UN DEBAT SUR LE VEGETARISME SUR LES FORUMS – Insolente Veggie. Aurélien Barrau : "Le combat animalier est frère des combats d’émancipation". Mais que veulent vraiment les Black Blocs ? Entretien avec Francis Dupuis-Déri. Les stéréotypes de genre sont dangereux pour la santé. Des black blocs pas vraiment sans Gênes... Humilier les véganes nuit aux animaux – Peuvent-ils souffrir ? Ces neurotypiques qui nous diminuent. Pour une approche matérialiste de la question raciale.

Quelque chose qui manque | Finimondo. Une « toute nouvelle approche » ou simplement plus de welfarisme? Spécisme et capacitisme: quand l’intelligence se fait violence | Frédéric Côté-Boudreau. Coordination des Groupes Anarchistes (anti antispé) La question animale : un débat à ouvrir dans le mouvement anticapitaliste. Fédération « Anarchiste » – Le Chat Noir Emeutier. L’Anarchie, sa philosophie, son idéal.

L’Action anarchiste dans la révolution. [Affiche] La vie est courte, soyons sauvages ! - Non Fides - Base de données anarchistes. Essentialisme 12p A5 pageparpage. DoreenA2FR. Pourqui. Les classes dans la société capitaliste. La prison à la maison ? Quelques notes sur le contrôle judiciaire... Le plus voleur des deux. Notre individualisme 36p pageparpage. Page non trouvée | Fédération végane. L’éthique végétale, ou comment animaliser les plantes pour mieux subordonner les animaux (partie 1) | Frédéric Côté-Boudreau.

Le mythe de l'agriculture biodynamique - La biodynamie. Emma Goldman - La Révolution sociale est porteuse de valeurs (1923)