Woman tax. GENDERED MARKETING.
Sexisme geek. Enfance. Education. Sexisme ordinaire. Féminisme. Parité. Culture du viol. ZONES. La série brosse en particulier un tableau saisissant de la condition des femmes. Betty Draper, la mère au foyer, élevée dans le souci exclusif de son apparence et de sa beauté, qui a tout pour être heureuse selon les critères de son milieu, mais qui crève de solitude et d’ennui ; Peggy Olson, la jeune rédactrice volontaire – seule femme à occuper ce poste –, aux prises avec le dragon ultra-catholique qui lui sert de mère, furieuse à la fois de subir les mains baladeuses de ses collègues et d’être jugée trop menaçante pour correspondre à leur idéal amoureux ; Joan Holloway, la plantureuse secrétaire rousse, qui tente de faire une force de son statut d’objet sexuel, sans que cela la mette à l’abri de la frustration et de la déception : toutes, si différentes soient-elles, se débattent dans les limites que leur assigne la société américaine de cette époque.
Et, pourtant, on peut se demander si ce n’est pas cela, précisément, qui est en train de changer dans les mentalités. The Genderbread. Sexual Harrasment. Video game communities can have wildly different standards of conduct, but a recent Capcom-sponsored event has proven just how ugly the fighting game community can become.
During a week long reality show about fighting games, contestants took part in sexual harassment and in fact argued that sexual harassment is an important part of the fighting game community that needs to continue. This happened on camera, across multiple days. The show “Cross Assault is the world's first fighting game reality show. It will feature ten contestants, including five Street Fighter experts and five Tekken experts, competing for $25,000,” IGN posted about the Capcom-backed streaming reality show that pits fighting game enthusiasts against each other. Then Miranda forfeited a match “…Things got a little more heated than usual when one player, Miranda ‘Super Yan’ Pakozdi, forfeited a match,” Destructoid reported.
Un jour, j'ai voulu avorter... Un jour, j’ai voulu avorter.
Eh oui, c’est comme ça, ça arrive aux meilleures d’entre nous. J’ai voulu avorter et il y a deux choses à savoir. Non pas parce que je tiendrais à me justifier (règle numéro 1 : ne jamais se justifier quant à son choix de recourir à une IVG) mais juste afin de poser un peu le décor. La super-fertilité frappe toujours trois fois Image via Choisir Sa Contraception La première, c’est que je suis du genre super-fertile. Les médecins qui constatent la grossesse et s’empressent de déclarer : « Ah, vous étiez sous pilule ? La seconde chose qu’il faut savoir c’est que j’avais déjà deux enfants à cette époque. Carte des soignantEs.