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Consommation de l'information

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5 tendances mondiales de la consommation d’information | la revue des médias. Comme chaque année, le Reuters Institute for the Study of Journalism de l’université d’Oxford a étudié la consommation d’informations dans le monde. Malgré la pandémie de Covid-19, l’enquête qui sert de bas à ce rapport a pu être réalisée auprès de 80 000 personnes, dans 40 pays. Au-delà du constat d’une explosion de la consommation d’information lors du début de la crise sanitaire, cinq tendances se dégagent de cette étude. 1. La baisse de la confiance dans les médias est mondiale et se poursuit Cette année, seules 38 % des personnes interrogées déclarent faire confiance aux médias la plupart du temps : une baisse de quatre points par rapport à 2019. L’enquête indique enfin que le niveau de confiance est temporairement remonté au début de la crise de la Covid-19, alors qu’une large incompréhension régnait. 2. Le rapport indique que les plus de 35 ans privilégient fortement la télévision pour s’informer sur ce sujet. 3. 4. 5.

Comment les très jeunes s'informent sur les réseaux comme Instagram et TikTok. On les croit déconnectés de la réalité, à se dandiner sur les derniers tubes à la mode sur TikTok, ou cachés derrière leurs filtres « rabbit » sur Snap. Vous pensez que la Gen Z ne pense qu’à sa prochaine paire de snickers fluo ? Vous avez tout faux. Ceux qui sont nés entre 1996 et 2015 vont entrer dans l’âge adulte en ayant connu une pandémie, une récession et un temps à faire des barbeuk’ en Alaska. Alors, loin des images colorées et flashy qu’ils se partagent d’habitude en longue conversation ininterrompue avec leurs amis, la jeune génération a affiché son soutien politique sur les réseaux sociaux via une flopée de carrés noirs le 2 juin dernier.

Noire, comme la couleur de peau de George Floyd, asphyxié par un policier blanc aux États-Unis pendant son arrestation. Un événement qui a secoué le monde entier, et révélé que les jeunes ont une conscience politique forte qu’ils n’hésitent pas à afficher sur TikTok, Snapchat ou Instagram, leurs premiers lieux de revendication. A retenir. Culture numérique : les pratiques informationnelles juvéniles – Compte-Rendu d’une intervention de Carine Aillerie à la faculté de Montpellier. Karine Moreau Bevilacqua détient une maîtrise d’histoire (1992) et un DESS informatique double compétence appliqué aux sciences sociales (1993 de l’Université de Grenoble. Après avoir passé le concours de professeur des écoles (1994), elle a enseigné pendant 20 ans en école primaire. Depuis 2016, Karine Moreau Bevilacqua est intégrée dans le corps des professeurs certifiés par liste d’aptitude en tant que professeure documentaliste.

Elle est actuellement (2019-2020) inscrite dans le Master 2 Analyse des enjeux et des pratiques en information documentation à l’université Paul-Valéry Montpellier 3. Carine Aillerie est enseignante-chercheure en Sciences de l’information et de la communication à l’Université de Poitiers (EA TECHNE 6316). Elle s’interroge sur la place du numérique dans la culture informationnelle, ainsi qu’aux enjeux liés à la scolarité. Carine Aillerie a articulé son propos autour de trois points. Elle termine en abordant les modèles d’évolution pédagogique. [1] Thomas S. Les jeunes, leurs parents et l’info : “Cultiver le doute sans provoquer la défiance” Pourquoi les médias se mettent eux aussi à TikTok | la revue des médias. Le 15 juin 2020, le quotidien Le Monde poste sa toute première vidéo sur TikTok : un tuto expliquant ce qu’il faut faire de son masque utilisé, alliant stop motion et informations pratiques.

Quelques jours avant, c’est L’Équipe qui se lançait sur la plateforme vidéo, à l’occasion des 20 ans de son site internet. Les deux titres rejoignaient ainsi des concurrents plus ou moins directs : Brut, Paris Match et 20 Minutes, présents sur le service depuis plus longtemps. L’application, téléchargée deux milliards de fois depuis sa création, compterait 11 millions d’utilisateurs en France, qui regardent en moyenne une heure de contenus chaque jour. Elle permet de capter puis partager des vidéos de trois secondes à une minute. Il s’agit avant tout « d’aller où il y a de l’audience, avec pour objectif de toucher des gens pour qui le titre signifie assez peu de choses », nous explique Emmanuel Alix, directeur numérique de L’Équipe. Capture d'écran du compte TikTok de L’Équipe. Tweeter, snaper, scroller : quand les jeunes s'informent. "Je ne cherche pas les informations mais elles finissent toujours par m'arriver".

Florianne, 23 ans, étudiante en master 2 (Langues, Littératures et Civilisations Étrangères et Régionales, parcours média et médiation culturelle) à l'université de Clermont-Auvergne (Clermont-Ferrand) est loin d'être une exception. On pourrait même dire qu'elle représente assez bien sa génération dans son rapport à l'actualité, à l'information et aux réseaux sociaux.

D'après le 34ème baromètre Kantar Public-onepoint pour le journal La Croix publié en janvier dernier, les trois quart des 18-24 ans s'informent sur Internet et en particulier sur leurs smartphones. Ils sont même 46% à s'informer via les réseaux sociaux. D'ailleurs, le réflexe de Floriane le matin est "d'aller sur Twitter" avec son smartphone, pas d'allumer la radio, encore moins la télévision, sans parler de sortir chercher un journal.

A côté d'elle, trois de ses camarades de master acquiescent. S'adapter aux usages et aux codes Remerciements. ​45% de l’audience de la presse se fait désormais sur mobile.