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Pédagogie ouverte

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Pédagogie ouverte : présentation à partir d’un exemple. La Pédagogie ouverte est une adaptation des concepts fondateurs de la démocratie ouverte au monde de l’éducation. Armel LeCoz et Cyril Lage ont réalisé un schéma très clair de la démocratie ouverte (organisée autour des trois piliers : coopération, transparence et participation). L’objectif est alors de voir comment ces mêmes principes peuvent se vivre dans un contexte de formation. Pédagogie ouverte Je vous propose de voir comment ils peuvent se décliner en analysant un module de formation de BTS IRIS de 38 heures.

Le sujet abordé était « XML et JSON : formats d’échange de données sur le web ». Très vite, nous sommes partis sur l’idée de travailler sur l’Open Data, concept émergeant dans le monde de l’informatique. 1 – Premier pilier : la coopération Un deuxième aspect de la coopération réside dans l’organisation du travail des étudiants, en exploitant des pédagogies actives (pédagogie par projets, approche par problèmes). 2 – Deuxième pilier de la pédagogie ouverte : la transparence. Faire apprendre : vocation, profession, occupation ou passe-temps ? Il existe plusieurs appellations pour nommer celui à qui on donne le mandat de faire apprendre. Qu’on le nomme enseignant, professeur, maître, formateur, animateur, pédagogue, instructeur, moniteur ou éducateur, sa fonction est toujours essentiellement la même : amener la personne en formation à changer.

Là où le bât blesse le plus souvent, c’est dans la manière d’agir de celui qui est en avant de la classe pour atteindre le but et les attentes de la formation qui fait en sorte que la raison d’être de la fonction s’en trouve dénaturée. Entre l’intention et l’action, il y a la compétence. Contrairement à la pensée populaire, être un enseignant ou un formateur compétent ne relève pas d’un don que l’on reçoit à la naissance. Il est vrai que certaines personnes ont des aptitudes à faire apprendre qui semblent nous indiquer que cela relève plus de ce qu’ils sont que de ce qu’ils savent.

Faire apprendre a toujours été, et est encore, une tâche complexe. Like this: J'aime chargement… Le transfert des apprentissages : Étape 4 de l’approche par compétences. Le transfert des apprentissages constitue l’aboutissement du développement de la compétence professionnelle. Souvent, les enseignants me questionnent sur le pourquoi du manque de transfert, chez les élèves, de la théorie dans la pratique. D’autres m’indiquent le manque de transfert des apprentissages, chez les élèves, entre le centre de formation et le milieu de stage.

À partir de ces questionnements, nous sommes en droit de nous questionner sur le transfert réel des apprentissages des élèves entre la formation qu’ils ont reçue et l’entreprise où ils vont travailler. Jean-François Russel (2011), dans son livre, «Gérer la formation, viser le transfert», indique des statistiques et des constats qui sont révélateurs sur cet aboutissement de la formation. 60 à 90 % des apprentissages réalisés en formation ne sont pas transférés en milieu de travail. Le schéma que je vous présente est un essai de ma part de représenter les idées de Russel sur le sujet. Like this: J'aime chargement… Sortir de sa zone de confort. 26 août 2011 Henri Boudreault Enseignant, Pratique pédagogique, Scénario de formation Je vous présente ici la projection des documents que j’ai réalisés lors d’une conférence à un groupe de professeurs. La thématique de la journée d’étude était de sortir de sa zone de confort.

J’en ai profité pour faire les liens entre le fait de faire apprendre, c’est-à-dire faire sortir l’apprenant de sa zone de confort, et les actions de l’enseignant qui doit sortir de sa zone de confort pour adapter ses cours aux caractéristiques des apprenants, de l’objet d’apprentissage et des intentions de la formation. <p>JavaScript est requis pour lire <a hreflang="fr" type="video/mp4" href=" Like this: J'aime chargement… Les états d’évolution vers la compétence.

2 octobre 2012 Henri Boudreault Didactique professionnelle La problématique la plus courante que l’on rencontre en formation est la croyance que les participants apprendront en écoutant un expert présenter son sujet pendant des heures. Il ne faut pas confondre une séance d’information ou de motivation avec une séance de formation. Les intentions, les buts et les objectifs sont très différents même si le sujet est le même. Il ne faut jamais oublier que la séance de formation a pour but de faire apprendre. Faire apprendre consiste à changer l’état des participants. Le changement me semble se présenter en trois états. Le deuxième état est celui de l’autonomie. Le troisième état est celui de l’adaptation. En se questionnant sur l’état de changement visé, cela doit nous amener à élaborer des stratégies et des environnements d’apprentissage pertinents. Like this: J'aime chargement… Des conditions à respecter pour susciter la motivation des élèves.

Pour que les élèves cherchent à s'améliorer, il faut bien sûr que la motivation soit au rendez-vous. De manière à susciter cette motivation chez les élèves, voici une proposition qui a déjà fait l'objet d'une expérimentation à l'enseignement supérieur. Rolland ViauDépartement de pédagogie, Université de Sherbrooke L'analyse des récentes recherches sur la motivation à apprendre en contexte scolaire, nous fait voir que les quatre facteurs qui influent le plus sur la dynamique motivationnelle des élèves en classe sont les activités d'apprentissage que l'enseignant propose, l'évaluation qu'il impose, les récompenses et les sanctions qu'il utilise, et lui-même, de par surtout sa passion pour sa matière et le respect qu'il porte à ses élèves.

Nos travaux sur la motivation dans l'apprentissage du français nous ont amené à porter une attention particulière à l'un de ces facteurs : les activités d'apprentissage proposées aux élèves en classe. Dix conditions pour motiver Être authentique BROPHY, J. La pyramide des besoins de Maslow d’un point de vue pédagogique | madamemarieeve.

Le psychologue Abraham Maslow a établi une hiérarchie des besoins en faisant des recherches sur la motivation. Il a ainsi réalisé, dans les années 1940, la pyramide des besoins. Le fonctionnement doit être perçu tel un escalier. L’individu doit satisfaire les besoins qui sont à la base afin de pouvoir réaliser ceux qui sont au niveau supérieur. Le plus haut niveau étant le besoin de s’épanouir. Voici l’explication de chacun des niveaux. Besoins physiologiques: Ils sont liés à la survie.

Besoin de sécurité : Ce besoin se réfère au fait que tout individu doit se protéger des dangers. Besoin d’appartenance et affectif : Ce besoin a une dimension sociale. Besoin d’estime : Il est le prolongement du besoin précédent. Besoin de s’épanouir : Ce besoin se retrouve au sommet des aspirations humaines. Nous devons tenir compte, en tant qu’enseignant, de ces besoins. Voilà donc la pyramide vue sous un regard ayant une vision pédagogique: N’est ce pas l’objectif premier d’un enseignant?

J’aime ça : La pédagogie inversée. La pédagogie inversée : les flipped classrooms : de nouveaux espaces-temps pour enseigner et apprendre à l'ère numérique Conférence de Marcel Lebrun, professeur à la Faculté de Psychologie et des Sciences de l'éducation de l'UCL de Louvain ; Le mercredi 3 Octobre 2012 lors du Forum@tice Document support de la conférenceLe blog de Marcel Lebrun A propos de la pédagogie inversée Qu'est-ce que c'est ? (Cégep Levis-Lauzon : informations et ressources en technopédagogie)Pédagogie inversée (Pearltrees de V.

Marty)La pédagogie inversée : bouleversons nos manières d'enseigner (Le Web pédagogique)L'utilisation de la vidéo pour substituer l'enseignement magistral (Université du Québec)Pédagogie inversée et résultats scolaires (Infobourg)Tic et pédagogie inversée (P. Marcel Lebrun : livres, articles, conférences Des technologies pour enseigner et apprendre (édition De Boeck)Théories et méthodes pédagogiques pour enseigner et apprendre : quelle place pour les TIC dans l'éducation ? Faire ses premiers pas vers la classe inversée. Un dossier conjoint Infobourg – Carrefour Éducation Peut-être avez-vous entendu parler dernièrement de la fameuse dynamique de « classe inversée »?

Elle semble être sur toutes les lèvres! Parmi les enseignants qui l’ont expérimentée, certains ne peuvent plus s’en passer et y voient des avantages énormes, notamment grâce aux nouvelles possibilités de personnalisation de l’enseignement entraînée par l’augmentation du temps disponible pour les élèves. Mais tout d’abord, qu’est-ce que la classe inversée? C’est une façon d’organiser le temps de classe de sorte que la partie magistrale du cours est dispensée de façon électronique (capsules vidéo, lectures personnelles, visites virtuelles, etc.) et le temps de classe est consacré au travail d’équipe, aux discussions et aux activités d’apprentissage actives. Ce dossier conjoint de Carrefour Éducation et d’Infobourg propose de faire le tour de la question et de prendre connaissance de l’expérience de certains enseignants.

Plan du dossier : 1. 2. Montessori, Freinet, Steiner-Waldorf : des méthodes qui ont fait leurs preuves - Le monde bouge. Les pédagogies Montessori, Freinet et Steiner-Waldorf sont répandues dans le monde entier. Des méthodes alternatives qui abordent l'enfant avec bienveillance. La pédagogie Montessori Mise au point par Maria Montessori (1870-1952), première femme médecin d’Italie, cette méthode est la première à considérer l’enfant en tant qu’individu – « chaque enfant est unique » – et repose essentiellement sur l’éducation sensorielle. Particulièrement intéressante appliquée à la petite enfance, elle n’en concerne pas moins des enfants de tous âges : on compte aujourd’hui 22 000 écoles Montessori dans le monde (de la maternelle au lycée), dont quelque soixante-dix en France (soit environ 3 000 élèves), où cette pédagogie connaît un spectaculaire regain d’intérêt (une douzaine de nouvelles écoles créées ces derniers mois).

La pédagogie Steiner-Waldorf La pédagogie Freinet Yourte et méditation « Quelle planète laisserons-nous à nos enfants, et quels enfants à notre planète ? Bon élève grâce au vélo. Utilisation des cartes mentales pour des dispositifs pédagogiques (dossier) La cartographie d’idées connaît depuis quelque temps un vrai regain d’intérêt. Le site Savoirs CDI à destination prioritaire des enseignants-documentalistes consacre un dossier aux cartes mentales pour une utilisation pédagogique avec des exemples de dispositifs, la présentation de critères de réussite de projets de cartes heuristiques ainsi que les limitations de l’usage du mindmapping. A quoi sert le mindmapping ? L’utilisation des cartes heuristiques permet de travailler notamment la mémorisation, l’apprentissage, la compréhension, la prise de notes, l’organisation et la présentation. Pour les EPN, l’univers scolaire, les projets de formation et la gestion de projet associatif ou en entreprises, ce dossier complet s’avère fort utile.

Sommaire du dossier utilisation des cartes mentales pour des dispositifs pédagogiques Licence : Creative Commons by-nc-saGéographie : France Tags: carte heuristique, cartographie, EPN, formation, gestion de projet, pédagogie. Des hackathons pédagogiques, pourquoi pas ? 39 Shares Share Tweet Email Le 16 septembre, madame Axelle Lemaire, secrétaire d’État chargée du numérique a lancé un hackathon en vue de la production de « start-up éducatives » et le C2E de Poitiers organisait son premier Hackathon pédagogique avec Réseau Canopé. Le numérique m’intéresse. Je suis curieuse de ce qui se passe dans la société en regard de ces technologies. Dans cet esprit, je me suis pointée à l’Espace ECTO, un lieu de coworking coopératif (espace de travail coopératif).

Gabriel Galvis, un ingénieur en numérique croit le domaine culturel négligé par les technologies. Qu’est-ce qu’un hackathon ? Ce mot-valise est formé de la synthèse de «hacker » et « marathon ». Un hackathon pédagogique peut se rapprocher du thème de Ludovia12, « Appropriations et détournements dans les pratiques éducatives« , car pendant un hackathon, on détournera parfois l’usage familier d’un outil numérique pour le réorienter vers la résolution d’un problème particulier. et de temps limité . . . . . . Comment former des profs innovants ?

Comment forme-t-on les enseignants à l’innovation ? C’est une des questions à laquelle ont essayé de répondre les participants du 8e colloque des QPES (Questions de pédagogie dans l'enseignement supérieur) organisé à Brest du 17 au 19 juin 2015. Un enseignement difficile à définir et encore à l’état d’expérimentation, selon Tiphaine Liu, chercheuse en innovation à l’ENS Cachan. "Former à l’innovation signifie lui donner une forme, ce qui peut paraître paradoxal. L'enseignement permet d'‘outiller’ et de ‘pousser’ à l’innovation", avance la chercheuse. À Lasalle Beauvais, la pédagogie érigée en stratégie Depuis 2012, l’Institut Lasalle Beauvais s’est donné comme mission de soutenir le développement pédagogique des enseignants avant de proposer des outils innovants, explique Pascale Rigaud, directrice des études. Cette pratique réflexive individuelle puis collective favorise l'émergence de l'enseignant innovant.

La cellule d'appui à l'enseignement centralise l'ensemble de ces actions. Animer un grand groupe : quels outils. Les grands groupes nous contraignent-ils nécessairement à une approche "magistrale" et à une technique pédagogique basée sur les exposés et les diaporamas ? Cet article présente quelques techniques et des ressources qui montrent que des alternatives existent. Basées ou non sur des solutions numériques, elles créent d'autres formes d'interactions que celles qui prévalent dans les petits groupes et permettent un véritable apprentissage. Les classiques : les sous-groupes Le réflexe face à un grand groupe consiste à créer des groupes plus petits, et à leur confier soit la même tâche, soit des tâches différentes et complémentaires.

Le succès réside dans la clarté des consignes, car si les groupes hésitent sur ce qui est attendu, le formateur ou professeur est condamné à passer de l'un à l'autre pour apporter des précisions... et la dynamique est rompue. Hotseat Déjà chroniquée sur Thot, Hotseat se propose de réunir quelques fonctions simples. Le Phillips 6/6 Le groupe peut créer un support. Taxonomie de Bloom. La taxonomie de Bloom est un modèle de la pédagogie proposant une classification des niveaux d'acquisition des compétences[1]. Benjamin Bloom, bien qu'il n'en soit pas le seul créateur (34 universitaires américains participent aux conférences de 1949 à 1953), est souvent reconnu comme le « père » de cet outil[2],[3]. Description[modifier | modifier le code] Composition[modifier | modifier le code] Elle peut être résumée en six niveaux hiérarchiques[5]. Révision[modifier | modifier le code] Depuis sa formulation en 1956, les critiques de la taxonomie de Bloom ont généralement porté, non pas sur l'existence des six catégories, mais sur la réalité d'un lien hiérarchique séquentiel entre elles[7].

Certains considèrent les trois niveaux les plus bas (connaissance, compréhension, application) comme étant hiérarchiquement ordonnés, mais les trois niveaux supérieurs (analyse, évaluation et synthèse) comme égaux. Applications[modifier | modifier le code] Chaque niveau englobe les précédents. Carte mentale du nouveau socle commun de connaissances, de compétences.