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Effondrement

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Limits to Growth was right. New research shows we're nearing collapse | Cathy Alexander and Graham Turner. The 1972 book Limits to Growth, which predicted our civilisation would probably collapse some time this century, has been criticised as doomsday fantasy since it was published. Back in 2002, self-styled environmental expert Bjorn Lomborg consigned it to the “dustbin of history”. It doesn’t belong there. Research from the University of Melbourne has found the book’s forecasts are accurate, 40 years on. If we continue to track in line with the book’s scenario, expect the early stages of global collapse to start appearing soon. Limits to Growth was commissioned by a think tank called the Club of Rome. Researchers working out of the Massachusetts Institute of Technology, including husband-and-wife team Donella and Dennis Meadows, built a computer model to track the world’s economy and environment.

The task was very ambitious. So were they right? The results show that the world is tracking pretty closely to the Limits to Growth “business-as-usual” scenario. The issue of peak oil is critical.

Survivalisme

Debt.jpg 600 × 700 pixels. Nicebubblechart.gif 800 × 518 pixels. «Le scénario de l’effondrement l’emporte» En 1972, quatre jeunes scientifiques du Massachusetts Institute of Technologie (MIT) rédigent à la demande du Club de Rome un rapport intitulé The Limits to Growth (les Limites à la croissance). Celui-ci va choquer le monde. Leur analyse établit clairement les conséquences dramatiques d’une croissance économique et démographique exponentielle dans un monde fini. En simulant les interactions entre population, croissance industrielle, production alimentaire et limites des écosystèmes terrestres, ces chercheurs élaborent treize scénarios, treize trajectoires possibles pour notre civilisation. Nous sommes avant la première crise pétrolière de 1973, et pour tout le monde, la croissance économique ne se discute pas. Aujourd’hui encore, elle reste l’alpha et l’oméga des politiques publiques. Le sommet de la Terre démarre mercredi à Rio. Vous n’y croyez plus ? L’un des thèmes centraux de la conférence concerne l’économie verte.

Avons-nous un moyen de maintenir le mode de vie des pays riches ? The Cyprus eurozone bailout conditions are bank robbery pure and simple | Aditya Chakrabortty. Cypriots protest outside the parliament building. Photograph: Patrick Baz/AFP/Getty Images You don't need any economics to grasp what Europe and the IMF have just done to the Cypriots. Anybody can imagine how awful it would be to wake up one morning and discover that their savings have just been raided. Over the previous four "rescues" of bust eurozone countries, the details have always been swaddled in technicalities: debt restructuring this, fiscal consolidation that. With Cyprus, however, an immediate tax of up to 10% on savings accounts needs little explaining.

Officials may euphemise it as a bail-in but everyone else will agree with yesterday's Daily Mail headline: it's a bank robbery. Pensioners are losing part of their retirement savings in order to keep afloat the island's two big banks. Inevitably, assurances come in that this is strictly a one-off levy. There are winners, of course.

What's different this time is the nakedness of the Cyprus heist. Taxe sur les dépôts bancaires à Chypre : "Un tabou est tombé" Le Monde.fr | • Mis à jour le | Propos recueillis par Anna Villechenon Le plan de sauvetage de Chypre, conclu samedi à Bruxelles, est conditionné par l'instauration d'une taxe sur les dépôts bancaires – une première en Europe. Pour Céline Antonin, économiste à l'Observatoire français des conjonctures économiques, cette mesure risque de fragiliser non seulement l'économie chypriote, mais aussi la zone euro. Pourquoi le scénario d'une taxe sur les dépôts des épargnants, sans précédent, a-t-il été retenu ? Cette décision a été prise après que la zone euro et le Fonds monétaire international ont décidé de réduire considérablement l'ampleur du plan d'aide, de 17 à 10 milliards d'euros, pour éviter d'alourdir la dette publique du pays.

Comparé aux précédents montants accordés aux quatre autres pays européens aidés (Grèce, Irlande, Portugal et Espagne), celui-ci paraît assez dérisoire. Pourquoi cette mesure a-t-elle autant surpris ? Et sur l'économie européenne ? Le jeu en vaut-il la chandelle ? Avenir de l'humanité: Le Club de Rome tire encore la sonnette d’alarme - Économie. Avenir de l'humanité Quarante ans après son fameux rapport «Halte à la croissance?» , le club de réflexion revient avec une nouvelle étude alarmante. La survie de l’humanité est en danger, selon le Club de Rome. Le Club de Rome doute carrément de la survie de l’humanité sur cette planète si se poursuivent surconsommation et court-termisme.Image: Keystone En 1972, le fameux rapport du club réunissant scientifiques, économistes et hauts fonctionnaires avait fait fureur. Traduit en 29 langues, il envisageait les limites de la croissance économique.

Montrées du doigt: la pénurie des matières premières et des ressources énergétiques et la pollution. Quarante ans plus tard, le Club de Rome tire un bilan et de nouveaux plans sur la comète dans «2052: A Global Forecast for the Next Forty Years». Cinq crises L’humanité n’a pas appris grand-chose ces quarante dernières années, juge le club. Et ce qui vient n’est pas plus engageant.

Ces évolutions nous amènent aux limites du supportable pour la Terre. Limites de la croissance économique: la revanche de Meadows. Du même auteur Le professeur Meadows vient de remporter le « Japan Prize », l’un des prix scientifiques les plus prestigieux, pour un ouvrage qu’il a dirigé en 1972. Soit... 37 ans plus tard.

Le rapport du professeur Meadows s’appelait « Les limites à la croissance » et il a été traduit en France sous le titre « Halte à la croissance ! » En effet le professeur Meadows, et les autres, proposaient, tout simplement, une croissance zéro. Meadows n’est pas si vieux que ça, il a 66 ans. Il a été prof au prestigieux Mit, Massachussets Institute of Technologie. Son rapport reposait sur une hypothèse infiniment simple.