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Inegalites numériques

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Ados : le numérique et les pratiques culturelles. L’adolescence est une notion en bouleversement depuis une vingtaine d’années. Période de transformation et de construction de soi, elle prend une nouvelle dimension avec l’ère numérique. Les pratiques culturelles des adolescents sont des plus diverses et constituent désormais une véritable culture, souvent très hétérogène, qui s’exprime sur Internet via les réseaux sociaux. Pour les comprendre, il convient de les observer. S’informer Chez les adolescents, et les jeunes, les réseaux sociaux sont en train de s’imposer face aux médias traditionnels comme la télévision. « Regarder la télé sur un écran de télévision, c’est terminé, surtout chez les plus jeunes » affirme Nielsen. les réseaux sociaux, sont plus adaptés et correspondent d’avantage à leur style de vie. Article de Meta-Media, Direction de la prospective de France Télévision : Youtube, plus divertissant que la TV pour la génération Y.

Les médias de la culture pop : Créer et produire : Instagram, s’exprimer visuellement : Se divertir. Formation à la culture numérique : pourquoi est-il inacceptable que les enseignants s’en dispensent ? | Culture numérique ? Photo by Doremigirl Parce qu’un enseignant doit réfléchir à son métier d’enseignant dans l’environnement numérique et être en mesure d’assurer les missions qui lui sont confiées, missions d’éducation et d’enseignement. S’il est expert dans sa discipline et en matière de pédagogie et de didactique, il doit également travailler à être un adulte référent pour les jeunes dont il a la charge ce qui implique pour lui l’acquisition de connaissances dans des domaines dont il n’est pas spécialiste comme la psychologie de l’enfant et de l’adolescent ou les mécanismes sociaux et sociétaux.

Son devoir est ici de se donner les moyens de poser une réflexion pour éviter de s’ancrer dans l’idée reçue ou le poncif. Le numérique fait partie de ces domaines essentiels. Refuser de réfléchir son métier dans l’environnement numérique c’est à la fois être un adulte défaillant face aux élèves et se priver de technologies qui permettent de repenser sa pédagogie. Pourquoi un adulte défaillant ? Pour être capable de. Numérique : les collégiens des zones prioritaires très connectés mais peu accompagnés. Près de 90% des collégiens de 6ème et de 5ème scolarisés en zone d’éducation prioritaire possèdent un ordinateur ou y ont accès, ainsi qu'un téléphone portable. Une grande majorité sont inscrits sur un réseau social et certains passent deux à quatre heures sur internet par jour pendant la semaine, mais ils semblent peu accompagnés.

Ce sont les principaux résultats de l'enquête annuelle du cabinet d'études Trajectoires Réflex pour l'Association de la fondation étudiante pour la ville (AFEV). L'enquête réalisée auprès de 550 jeunes de l'éducation prioritaire est publiée mardi 20 septembre à l'occasion de la Journée du refus de l'échec scolaire. Les jeunes élèves de 6ème et 5ème des collèges d'éducation prioritaire sont ultra connectés.

Une majorité de ces collégiens n’a donc aucune difficulté d'accès au numérique utile pour effectuer des recherches pour les cours. L'éducation a donc une mission à accomplir. Ils sont tous nuls ! – Veille et Analyse TICE. A lire certains propos, parfois un peu rapides, les jeunes seraient nuls dans le domaine de l’informatique et dans le numérique. Ces propos sont souvent accompagnés de cet argument : « il ne faut pas croire que les jeunes maîtrisent le numérique parce qu’ils sont nés avec ». La conséquence logique est donc qu’il faut leur enseigner « les bonnes manières » et « les connaissances vraies » qui sont seules capables de leur garantir la véritable maîtrise du numérique. On ajoute à cela, dans l’argumentaire employé, que si l’on ne fait pas cet enseignement (qui serait obligatoire de préférence) on va approfondir les inégalités face aux usages du numérique et donc les inégalités sociales.

Le propos est fort, l’ambition non moins. Cet argumentaire est d’autant plus fort qu’il est employé depuis longtemps pour justifier les différentes disciplines d’enseignement (anciennes et nouvelles) et plus globalement le système scolaire et même l’école. A suivre et à débattre BD. Opinionway ministere de l enseignement superieur et de la recherche les usages pedagogiques du numerique octobre 2013. Les compétences numériques ne s’improvisent pas ! À l’heure où la Coalition française en faveur des compétences numériques se forme, avec l’adoubement du Medef par l’Union européenne, faire l’état des lieux, repérer les blocages et les freins, analyser les référentiels et les nomenclatures, et établir la cartographie des acteurs… est une urgence. Elle relève à la fois d’attentes d’employabilité comme de citoyenneté, comme le précise la très récente recommandation CM/Rec (2017)8 du Conseil de l’Europe sur « Les mégadonnées au service de la culture, du savoir et de la démocratie ».

Les résultats de l’ANR TRANSLIT peuvent être vus comme une contribution à cette actualité majeure. Ils sont en phase avec les changements institutionnels et les interrogations des acteurs de terrain. Ils apportent l’éclairage d’une recherche qui a duré trois ans. Le ressenti numérique se précise autour des trois cultures de l’information : infomédia (information-communication), info-doc (documentation) et info-data (informatique). I. II. III. Conclusions. Fracture numérique. La fracture numérique désigne le plus souvent l'inégalité d'accès aux technologies numériques, [dont principalement l'ordinateur,] et parfois le clivage entre « les info-émetteurs et les info-récepteurs »[1].

Cette inégalité est fortement marquée entre les pays (Pays vient du latin pagus qui désignait une subdivision territoriale et tribale d'étendue restreinte (de l'ordre de quelques centaines de km²), subdivision de la civitas gallo-romaine. Comme la civitas...) développés d'occident (L'Occident, ou monde occidental, est une zone géographique qui désignait initialement l'Europe. L'extension de l'espace considéré a varié au cours de l'Histoire. À une...) et les pays du Sud (Le sud est un point cardinal, opposé au nord.), dits en voie de développement. Problématiques La Journée mondiale de la Société de l'information qui prend place tous les ans le 17 mai depuis 2006 a été créée avec pour but de sensibiliser sur le sujet mais aussi sur les ouvertures que peut offrir l'internet.

Conclusion. La Fracture Numérique : Zoom sur les oubliés d'internet - AgoraVox le média citoyen. Dans une France de plus en plus accro aux nouvelles technologies, nous revenons aujourd'hui sur une réalité presque oubliée : la fracture numérique. Vous ne vous sentez peut-être pas personnellement concerné par ce phénomène bien présent mais pensez à une personne âgée, un non diplômé, ou un habitant de zone rurale, oui car toutes ces personnes sont sujettes à être délaissées par un réseau téléphonique et à être exclues de la société numérique et donc victime de nouvelles sources d'inégalités. Aujourd'hui, la moitié de la population mondiale est connectée, soit 42 % (3,04 milliards de personnes). L'an dernier, « 19,3 % de foyers français ne possèdent pas d'accès Internet en France, soit 5,4 millions de foyers. Ce chiffre était de 29 % en 2009, et de 65,6 % en 2005. »1. La fracture numérique est la disparité d'accès aux technologies informatiques et notamment Internet.

Plusieurs modes de connexion La révolution numérique est très rapide. Une fracture tout d'abord générationnelle. ARMANDM fr. Tilburg. Fracture numérique (géographique) La fracture numérique est la disparité d'accès aux technologies informatiques, notamment Internet. Elle recouvre parfois le clivage entre « les info-émetteurs et les info-récepteurs »[1]. Cette disparité est fortement marquée d'une part entre les pays riches et les pays pauvres, d'autre part entre les zones urbaines denses et les zones rurales.

Elle existe également à l'intérieur des zones moyennement denses. Cette notion est calquée sur celle de fracture sociale. Le rapport de la Commission pour la libération de la croissance française[5], dit rapport Attali, propose une définition de la fracture numérique en France, fixe plusieurs objectifs et propose plusieurs décisions pour réduire la fracture numérique : La fracture numérique concerne les inégalités dans l'usage et l'accès aux technologies de l'information et de la communication (TIC) comme les téléphones portables, l'ordinateur ou le réseau Internet. . — Elie Michel in « Le fossé numérique. . « Bienvenue dans un monde meilleur. »

La fracture numérique Plantard Version Auteur. Cartographies des fractures numériques : natifs digitaux, diversité numérique, connectivité…les chantiers en cours | FFTELECOMS - Page 2. La problématique de la fracture numérique a longtemps été traitée de façon unilatérale entre ceux qui auraient accès à internet et les autres. Mais aujourd’hui, les faits sont plus complexes et il est préférable de parler de « fractures numérique » en prenant en compte par exemple les inégalités entre l’accès et l’usage, entre les jeunes eux-mêmes dit tous natifs digitaux ou encore entre les endroits dans le monde depuis lesquels on se connecte...

Ainsi contrairement aux mythes des digital natives et de la Génération Y, une enquête nous apprend que seuls 30% des jeunes de 15 ans à 24 ans sont actifs dans le monde sur Internet avec des « surprises » dans des pays pas toujours parmi les plus « riches » ayant misé sur l’éducation numérique. L’accès aux contenus est également inégalement réparti avec d’un côté des pays où règne la censure et dans le reste du monde, une hégémonie de Google et Facebook. Introduction. Des classes sociales 2.0 ? | Coavoux | RESET - Recherches en Sciences Sociales sur Internet. Fracture numérique. Le numérique peut-il vraiment réduire les inégalités scolaires ? Les inégalités scolaires ne sont-elles pas d’abord produites par l’école ? Le numérique peut-il résoudre ce problème. A force de vouloir la même école au même âge pour tous les enfants, on pouvait croire que tous les enfants devaient apprendre les mêmes savoirs au même moment et les maîtriser en même temps.

Rapport après rapport, on s’aperçoit que dans le système scolaire tel qu’il est actuellement, il y a des inégalités qui perdurent. Plutôt que de déplorer cela, il est temps de se questionner sur le fait qu’une certaine image de l’école se traduit par une « normalité » dans le rythme auquel tous les enfants doivent apprendre. S’ils ne suivent pas ce rythme, soit ils sont précoces, soit ils sont en difficulté, soit ils sont « à besoins particuliers ». Cette question n’est pas nouvelle, des établissements expérimentaux comme le lycée d’Hérouville Saint Clair en ont même fait un axe de leur projet, mais il se renouvelle avec le numérique. Dès lors que peut, que doit faire le monde scolaire ?

Tout sauf l’ignorer d’abord. A suivre et à débattre. En finir avec la fracture numérique REUNIC 2014. 3.Pascal PLANTARD : Numérique et inégalités éducatives dans la famille et à l’école.