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L'autorité à l'école a-t-elle un sexe ? - Florence Mottot, article Éducation. « La Fabrique des garçons  : comprendre l’opposition à la règle scolaire. J’aimerais aborder aujourd’hui un livre très intéressant publié par Sylvie Ayral, intitulé La Fabrique des garçons.

« La Fabrique des garçons  : comprendre l’opposition à la règle scolaire

Sanctions et genre au collège (Puf, Paris, 2011). En se penchant sur la question des incivilités à l’école, cette enseignante chercheuse a découvert en effet que 80% des élèves punis sont des garçons, et elle s’est alors interrogée sur cet état de fait. Essayons de suivre sa réflexion à travers ces extraits tirés de son ouvrage : "Les garçons sont quatre fois plus punis que les filles, mais ils le sont pour des motifs sexués « masculins » : indiscipline, insolence, incivilités, dégradations, violences sur autrui. Le "scandale des exclusions de cours" "Les exclusions abusives de cours sont un véritable fléau, une face noire de l'éducation nationale, une des causes importantes de perte des heures d'enseignement dues aux élèves" écrit l'inspecteur général Didier Bargas dans Administration & Education.

Le "scandale des exclusions de cours"

Il estime leur nombre à 100 à 500 par an en collège, 500 à 1000 en lycée. Et autant d'heures de classes perdues. Guide des clichés en tous genre. Etude LA REPRESENTATION DES FEMMES DANS LES MANUELS SCOLAIRES. EGALITE FILLES GARCONS Memento à l'usage des chefs d'établissement. CLIP SUR LES STEREOTYPES DE GENRES. L'Ecole et l'inflation des sanctions. Le régime des sanctions peut-il nuire à l'ordre scolaire ?

L'Ecole et l'inflation des sanctions

C'est ce qu'a montré Benjamin Moignard, maître de conférences à l'Observatoire Universitaire International de l'Education et de la Prévention, lors d'une conférence donnée à l'Observatoire des zones prioritaires (OZP) le 24 avril. La masse des sanctions, leur concentration sur certains élèves, le sentiment d'injustice que cela crée contribuent fortement à la détérioration du climat scolaire. Elèves perturbateurs : la sanction « n’est pas éducative » car « elle n’a que trop peu d’effet » sur eux (B. Moignard) Le nouveau plan du gouvernement pour l'égalité fille-garçon à l'école. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Mattea Battaglia et Gaëlle Dupont Ne pas généraliser l'expérimentation des ABCD de l'égalité sans donner l'impression de reculer : c'est l'exercice périlleux auquel vient de s'atteler le gouvernement.

Le nouveau plan du gouvernement pour l'égalité fille-garçon à l'école

Exit le slogan instrumentalisé par les lobbys traditionalistes pour faire croire à l'enseignement d'une prétendue « théorie du genre » à l'école. C'est un « plan d'action » en quatre volets que le ministre de l'éducation, Benoît Hamon, a dévoilé, lundi 30 juin, sur France Inter. Un volet formation, d'abord. « Les ABCD, c'était 600 enseignants volontaires », a rappelé le ministre, en référence aux 600 classes des 275 écoles qui expérimentent le dispositif depuis la Toussaint. « Tous les enseignants, de la maternelle au lycée, vont être formés avec une priorité aux 330 000 du premier degré. »

Egalité filles-garçons : le plan de Benoît Hamon et Najat Vallaud-Belkacem. Plan d'action pour l'égalité entre les filles et les garçons à l'école. L'évaluation par l'inspection générale de l'éducation nationale du programme pionnier, les "ABCD de l'égalité", mis en place dans 10 académies en 2013-2014 a été remise au ministre de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche.

Plan d'action pour l'égalité entre les filles et les garçons à l'école

Elle préconise non seulement de ne pas renoncer mais d'amplifier l'action pour l'égalité entre les filles et les garçons à l'école parce que l'égalité est une valeur essentielle de la République. Cette évaluation est globalement positive. Les formations à l'égalité dispensées aux enseignants sont un point fort et un levier de progrès : elles ont donné satisfaction et permettent aux enseignants de prendre conscience de leurs gestes professionnels et de modifier leurs pratiques professionnelles pour donner les mêmes droits, les mêmes chances, aux filles et aux garçons, de réussir à l'école. 1. La formation à l'égalité filles-garçons pour les enseignants et cadres de l'éducation nationale sera généralisée.

La fabrique des garçons : sanctions et genre au collège. J'ai reçu en cadeau le livre La fabrique des garçons.

La fabrique des garçons : sanctions et genre au collège

Sanctions et genre au collège dont je vais vous proposer le résumé. Sylvie Ayral a étudié le nombre de sanctions dans 5 collèges très différents et a constaté que 75.7% à 84.2% des élèves punis ou sanctionnés étaient des garçons. 84.2% à 97.6% des élèves punis pour violences sur autrui étaient des garçons. Détruire la virilité. Beaucoup d'hommes semblent très occupés à tenter de définir leur place dans le féminisme.

Détruire la virilité

C'est pour moi un phénomène assez curieux que de voir des hommes, qui ont déjà une place immense dans la société, venir encore en réclamer une dans le féminisme, perdre du temps à débattre de ce sujet alors qu'il y a d'autres urgences. Discuter de sa place c'est toujours un temps qui ne sera pas passé à discuter des inégalités subies par les femmes. Egalité garçons-filles à l’école, comment éviter un nouvel échec? Leurs premières classes mixtes. S. Ayral, Les enseignants et le genre.

M. Moreau, La fabrique des garçons. Sanctions et genre au collège. L’auteur interroge l’appareil punitif scolaire à la lumière du genre et démontre le rôle pervers des sanctions dans la construction de l’identité masculine au collège.

M. Moreau, La fabrique des garçons. Sanctions et genre au collège

L'ouvrage La grande majorité (80 %) des élèves punis au collège sont des garçons. Comment expliquer ce chiffre en contradiction avec le discours égalitaire officiel ? Pourquoi n’attire-t-il pas l’attention des équipes éducatives ? «Les élèves qui réussissent le mieux sont les moins marqués par les stéréotypes» Alors que la loi sur l’égalité hommes-femmes portée par Najat Vallaud-Belkacem vient d’être adoptée au Sénat, la sociologue Marie Duru-Bellat explique pourquoi les questions de genre divisent la société.

«Les élèves qui réussissent le mieux sont les moins marqués par les stéréotypes»

Pour cette spécialiste de l’éducation, les stéréotypes rattachés aux filles et aux garçons influencent significativement la vie des classes et nuisent à la réussite. Au nom de l’égalité, la mission de l’école est d’en réduire le poids. On l’a vu avec les défilés de la Manif pour tous : l’égalité hommes-femmes ne fait pas l’unanimité. Comment l’expliquez-vous ? Le nouveau plan du gouvernement pour l'égalité fille-garçon à l'école.