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Géographie

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Sans titre. L'actuelle pandémie est la sixième qui frappe l'humanité depuis la grippe espagnole de 1918.

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Mais la fréquence et la gravité de ces épidémies mondiales pourraient bien s'accélérer dans les années à venir, en raison de notre mode de vie et des incroyables capacités adaptatives des virus. Plusieurs experts tirent la sonnette d'alarme. Cela vous intéressera aussi [EN VIDÉO] Live : la cohabitation est-elle toujours possible entre hommes et grands singes après la crise du coronavirus ?

Futura a invité Fabien Quétier, ingénieur agronome et docteur en écologie au bureau d’étude Biotope, et Nicolas Granier, docteur en écologie et primatologue également pour Biotope, à partager avec nous leurs expériences de cohabitation avec des grands singes. « Des pandémies futures vont apparaître plus souvent, se propageront plus rapidement, causeront plus de dommages à l'économie mondiale et tueront plus de personnes que la Covid-19 si rien n'est fait ». 827.000 virus ont la capacité d'infecter les humains.

Le nouveau zonage en aires d’attraction des villes. Détroit, laboratoire du monde d'après le néolibéralisme. Des trottoirs et des parkings vides longent les vastes avenues.

Détroit, laboratoire du monde d'après le néolibéralisme

Une enfilade de magasins aux rideaux baissés quadrille le centre-ville de Détroit, berceau de l’industrie automobile américaine. Les banderoles « à vendre » et « à louer » se succèdent sur les façades des bâtiments. 80 000 logements seraient abandonnés, soit près de un sur cinq. Avec ses maisons saccagées, brûlées ou envahies par la végétation, « Motor City » donne l’impression d’une ville fantôme. Symbole de cette déroute, Détroit vient d’être mis sous la tutelle d’un « coordinateur d’urgence » pour au moins un an. « Pendant les soixante-dix dernières années, les habitants de Détroit ont cru à tort que leurs vies étaient liées à General Motors, Ford et Chrysler, explique Maureen Taylor, militante depuis des années dans la lutte contre la pauvreté.

Exode urbain Empruntant l’autoroute qui traverse la ville d’Est en Ouest, Peter Landon s’arrête sur la bande d’arrêt d’urgence, au sommet du pont enjambant Red-River. . / Les zones pavillonnaires, nouveaux « HLM à plat. François Hollande et le gouvernement viennent d’annoncer un élargissement des Prêts à taux zéro.

Les zones pavillonnaires, nouveaux « HLM à plat

Doit on en conclure que la « France des propriétaires » reste une priorité ? Anne Lambert. Oui et non. Si le gouvernement voulait réellement améliorer la l’accession à la propriété, il baisserait pour de bon les frais de mutation et les frais de notaires. Sauf qu’il s’apprête, au contraire, à les augmenter à compter du mois de janvier... Pourquoi la propriété demeure-t-elle un argument électoral ? Anne Lambert. Cela revient-il à dire que la propriété est une aspiration populaire ? Anne Lambert. La précarisation de l’emploi et les menaces pesant sur la protection sociale, ne renforcent-telles pas aussi le désir d’acquérir une maison pour se mettre à l’abri face à l’avenir ? Anne Lambert. Vous avez suivi une quarantaine de familles dans leur projet d’accession à la propriété en zone péri-urbaine. Anne Lambert.

Vous qualifiez néanmoins cette zone péri-urbaine de « HLM à plat ». Aux Etats-Unis, le mont McKinley n’existe plus. C’est la fin du mont McKinley, le point culminant des Etats-Unis.

Aux Etats-Unis, le mont McKinley n’existe plus

La montagne, qui s’élève à 6 194 mètres, va en effet retrouver sa dénomination d’origine, mont Denali, a annoncé dimanche 30 août Barack Obama, le président des Etats-Unis, attendu en Alaska pour une visite de trois jours. Ce nom, issu des langues amérindiennes, signifie dans un dialecte local « celui qui est haut ». Ce changement d’appellation répond à une attente forte des populations autochtones, mécontentes que la montagne ne soit pas reconnue avec son nom traditionnel malgré son importance dans l’histoire et la culture de la population locale des Athabascans.

Un débat vieux d’un siècle Le pic avait été baptisé officiellement en 1896, alors que William Dickey, prospecteur, explorait les montagnes au centre de l’Alaska. Comme le raconte The Washington Post, la question de la dénomination de cette montagne fait débat depuis des années. La fibre patriotique Le Monde avec AP.